Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris était à l'équilibre à mi-séance mercredi, notamment soutenu par les gains du secteur financier, même si les investisseurs restaient prudents avant la réunion mensuelle de la Banque centrale européenne.
Les résulats trimestriels du géant américain de l'aluminium, Alcoa, ont également soutenu le moral des investisseurs. Le group a dégagé un bénéfice conforme aux attentes sur les trois derniers mois de 2012 et son chiffre d’affaires est meilleur que prévu.
Alcoa table, par ailleurs, sur une hausse de la demande en 2013, notamment dans les secteurs de l’aéronautique, de l’automobile et de la construction.
Sur le front des statistiques, la production industrielle en Allemagne a augmenté de 0,2% en novembre, alors que le marché tablait sur une hausse de 1%. En octobre, la production industrielle avait reculé de 2%.
Au Royaume-Uni, le déficit commercial a diminué à 9,16 milliards de livres en novembre, contre 9,48 milliards en octobre.
Du côté des valeurs, France Télécom signait l'une des plus fortes progressions de l'indice parisien. Le titre engrangeait 3,10% à mi-séance, alors que le Financial Times rapportait plus tôt que le commissaire européen à la concurrence Joaquin Almunia et les dirigeants des principaux opérateurs européens ont évoqué la possible création d’un réseau paneuropéen de télécoms.
Par ailleurs, ArcelorMittal a profité des bons résultats d'Alcoa et s'appréciait de 0,71% à la mi-journée. Morgan Stanley est également passé de épondération en ligne" à "surpondérer" sur le titre.
Egalement dans le vert, Lafarge progressait de 0,35% après que le groupe a annoncé la création d’une coentreprise au Mexique avec Elementia qui regroupera les actifs cimentiers des deux sociétés.
Le groupe français compte apporter ses usines de Vito et Tula d’une capacité de près d’un million de tonnes et Elementia son usine d’un million de tonnes en cours de construction dans le centre du pays.
A l'inverse, Renault reculait de 0,73% à mi-séance après que son concurrent Peugeot a pourtant annoncé une baisse de 8,8% de ses ventes mondiales de véhicules montés à 2,82 millions d’unités en 2012.
La marque au lion abandonnait 1,84% en milieu de journée.
Quant aux banques, eles évoluaient en ordre dispersé. A mi-séance, BNP Paribas pliait de 1,84%, tandis que Société Générale et Crédit Agricole progressaient de 1,87% et de 2,11% respectivement.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 avançait de 0,15%, le DAX s'appréciait de 0,10% et le Footsie 100 progressait de 0,35%.
Aucune statistique américaine majeure n'était attendue dans la journée.
Les résulats trimestriels du géant américain de l'aluminium, Alcoa, ont également soutenu le moral des investisseurs. Le group a dégagé un bénéfice conforme aux attentes sur les trois derniers mois de 2012 et son chiffre d’affaires est meilleur que prévu.
Alcoa table, par ailleurs, sur une hausse de la demande en 2013, notamment dans les secteurs de l’aéronautique, de l’automobile et de la construction.
Sur le front des statistiques, la production industrielle en Allemagne a augmenté de 0,2% en novembre, alors que le marché tablait sur une hausse de 1%. En octobre, la production industrielle avait reculé de 2%.
Au Royaume-Uni, le déficit commercial a diminué à 9,16 milliards de livres en novembre, contre 9,48 milliards en octobre.
Du côté des valeurs, France Télécom signait l'une des plus fortes progressions de l'indice parisien. Le titre engrangeait 3,10% à mi-séance, alors que le Financial Times rapportait plus tôt que le commissaire européen à la concurrence Joaquin Almunia et les dirigeants des principaux opérateurs européens ont évoqué la possible création d’un réseau paneuropéen de télécoms.
Par ailleurs, ArcelorMittal a profité des bons résultats d'Alcoa et s'appréciait de 0,71% à la mi-journée. Morgan Stanley est également passé de épondération en ligne" à "surpondérer" sur le titre.
Egalement dans le vert, Lafarge progressait de 0,35% après que le groupe a annoncé la création d’une coentreprise au Mexique avec Elementia qui regroupera les actifs cimentiers des deux sociétés.
Le groupe français compte apporter ses usines de Vito et Tula d’une capacité de près d’un million de tonnes et Elementia son usine d’un million de tonnes en cours de construction dans le centre du pays.
A l'inverse, Renault reculait de 0,73% à mi-séance après que son concurrent Peugeot a pourtant annoncé une baisse de 8,8% de ses ventes mondiales de véhicules montés à 2,82 millions d’unités en 2012.
La marque au lion abandonnait 1,84% en milieu de journée.
Quant aux banques, eles évoluaient en ordre dispersé. A mi-séance, BNP Paribas pliait de 1,84%, tandis que Société Générale et Crédit Agricole progressaient de 1,87% et de 2,11% respectivement.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 avançait de 0,15%, le DAX s'appréciait de 0,10% et le Footsie 100 progressait de 0,35%.
Aucune statistique américaine majeure n'était attendue dans la journée.