Investing.com - L’indice-phare de la Bourse de Paris progressait de 0,44% à mi-séance mercredi, soutenu par les espoirs de voir la Banque centrale européenne annoncer une nouvelle intervention destinée à soutenir l’économie de la zone euro.
Plusieurs statistiques publiées plus tôt dans la journée ont, en effet, relancé les espoirs d’une intervention de la BCE, susceptible d’être annoncée lors de la réunion du comité de politique monétaire de la banque centrale, prévue jeudi.
Le PMI manufacturier de la zone euro est ressorti en juillet à son plus bas niveau depuis juin 2009, soit 44 contre 44,1 en estimation flash et 45,1 en juin, alors que celui de l'Allemagne est sorti à 43, contre 43,3 en première estimation et 45 en juin, laissant ainsi penser que la BCE voudra enrayer la mauvaise dynamique.
Dans l’attente, les investisseurs privilégiaient toutefois la prudence avant les déclarations du comité de politique monétaire de la Réserve fédérale américaine, prévues plus tard dans la journée. Les investisseurs guettent notamment tout indice qui laisserait à penser que la Fed prépare un nouveau round d'assouplissement quantitatif (QE3).
Par ailleurs, l'indice PMI officiel des directeurs d'achat de la Chine est ressorti à 50,1 en juillet, contre 50,2 en juin et 50,3 attendu selon le consensus, soit son niveau le plus bas depuis novembre.
Du côté des valeurs, EADS affichait l’une des plus fortes progressions de l’indice parisien, mercredi. Le titre engrangeait 3,18% à mi-séance, alors qu’UBS a relevé son objectif de cours de 35 à 39 euros, estimant que le groupe est ‘le plus important bénéficiaire de la faiblesse de l’euro’.
Egalement dans le vert, Schneider Electric a progressé de 2,98% après avoir confirmé ses objectifs annuels. Le groupe a également annoncé que son bénéfice net a progressé de 11% sur les six premiers mois de l’année, légèrement en-dessous des attentes.
Par ailleurs, Total gagnait 0,44% en milieu de journée, alors que le groupe pétrolier est menacé d'être placé sur liste noire par l'Irak après avoir annoncé mardi une prise de participation dans deux blocs d'exploration au Kurdistan, en conflit avec le gouvernement central de Bagdad sur les questions pétrolières.
En ce qui concerne les valeurs financières, elles évoluaient en ordre dispersé. BNP Paribas s’appréciait de 1,86%, tandis que Société Générale et Crédit Agricole abandonnaient 1,42% et 0,43% respectivement.
Société Générale a annoncé, plus tôt, que son bénéfice net du deuxième trimestre a chuté de 42%, à 433 millions d'euros, plombé par des dépréciations de 476 millions liées à la Russie et aux Etats-Unis.
Enfin, Vinci pliait de 3,30% à mi-séance après s'est montré prudent mardi sur la conjoncture économique mondiale du second semestre. Le constructeur a toutefois confirmé ses objectifs 2012 après une première moitié d'année en ligne avec les prévisions d'analystes.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 avançait de 0,25%, le DAX cédait 0,01% et le Footsie 100 progressait de 0,71%.
Trois statistiques américaines étaient attendues plus tard dans la journée : l'enquête emploi ADP du secteur privé de juillet, l'indice ISM des directeurs des achats du secteur manufacturier du même mois et les dépenses de construction de juin.
Plusieurs statistiques publiées plus tôt dans la journée ont, en effet, relancé les espoirs d’une intervention de la BCE, susceptible d’être annoncée lors de la réunion du comité de politique monétaire de la banque centrale, prévue jeudi.
Le PMI manufacturier de la zone euro est ressorti en juillet à son plus bas niveau depuis juin 2009, soit 44 contre 44,1 en estimation flash et 45,1 en juin, alors que celui de l'Allemagne est sorti à 43, contre 43,3 en première estimation et 45 en juin, laissant ainsi penser que la BCE voudra enrayer la mauvaise dynamique.
Dans l’attente, les investisseurs privilégiaient toutefois la prudence avant les déclarations du comité de politique monétaire de la Réserve fédérale américaine, prévues plus tard dans la journée. Les investisseurs guettent notamment tout indice qui laisserait à penser que la Fed prépare un nouveau round d'assouplissement quantitatif (QE3).
Par ailleurs, l'indice PMI officiel des directeurs d'achat de la Chine est ressorti à 50,1 en juillet, contre 50,2 en juin et 50,3 attendu selon le consensus, soit son niveau le plus bas depuis novembre.
Du côté des valeurs, EADS affichait l’une des plus fortes progressions de l’indice parisien, mercredi. Le titre engrangeait 3,18% à mi-séance, alors qu’UBS a relevé son objectif de cours de 35 à 39 euros, estimant que le groupe est ‘le plus important bénéficiaire de la faiblesse de l’euro’.
Egalement dans le vert, Schneider Electric a progressé de 2,98% après avoir confirmé ses objectifs annuels. Le groupe a également annoncé que son bénéfice net a progressé de 11% sur les six premiers mois de l’année, légèrement en-dessous des attentes.
Par ailleurs, Total gagnait 0,44% en milieu de journée, alors que le groupe pétrolier est menacé d'être placé sur liste noire par l'Irak après avoir annoncé mardi une prise de participation dans deux blocs d'exploration au Kurdistan, en conflit avec le gouvernement central de Bagdad sur les questions pétrolières.
En ce qui concerne les valeurs financières, elles évoluaient en ordre dispersé. BNP Paribas s’appréciait de 1,86%, tandis que Société Générale et Crédit Agricole abandonnaient 1,42% et 0,43% respectivement.
Société Générale a annoncé, plus tôt, que son bénéfice net du deuxième trimestre a chuté de 42%, à 433 millions d'euros, plombé par des dépréciations de 476 millions liées à la Russie et aux Etats-Unis.
Enfin, Vinci pliait de 3,30% à mi-séance après s'est montré prudent mardi sur la conjoncture économique mondiale du second semestre. Le constructeur a toutefois confirmé ses objectifs 2012 après une première moitié d'année en ligne avec les prévisions d'analystes.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 avançait de 0,25%, le DAX cédait 0,01% et le Footsie 100 progressait de 0,71%.
Trois statistiques américaines étaient attendues plus tard dans la journée : l'enquête emploi ADP du secteur privé de juillet, l'indice ISM des directeurs des achats du secteur manufacturier du même mois et les dépenses de construction de juin.