Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris s'inscrivait en forte hausse vendredi, affichant un rebond de 1,17% à mi-séance, suivant l'annonce par le président de la Banque centrale européenne, Mario Draghi, d'un nouveau plan de rachat d'obligations.
Lors d'une conférence de presse organisée à l'issue de la réunion mensuelle de politique monétaire de la BCE, jeudi, Draghi a annoncé la mise en oeuvre d'un programme de rachat de dettes souveraines, dans le but de faire baisser les coûts de financement des Etats de la zone euro.
La BCE achètera sur le marché secondaire des obligations d'Etat de maturité allant de 1 à 3 ans et ne fixera 'pas de limite quantitative' à ces achats. La procédure devra toutefois se faire sous conditions.
Sur le front des statistiques, l'excédent commercial de l'Allemagne s'est légèrement réduit à 16,1 milliards d'euros en juillet, contre 16,3 milliards en juin.
En France, le déficit du commerce extérieur s'est tassé à 4,27 milliards d'euros en juillet, contre 6,06 milliards en juin. Le déficit budgétaire a également diminué à 85,5 milliards d'euros, contre 86,6 milliards un an plus tôt.
En Grande-Bretagne, les prix à la production ont augmenté de 0,5%, tandis que la production la production industrielle a progressé de 2,9%, soit sa plus forte hausse depuis février 1987.
Du côté des valeurs, les banques été particulièrement recherchées suivant l'annonce de la BCE. A mi-séance, Crédit Agricole engrangeait 7,72%, Société Générale grimpait de 4,80% et BNP Paribas s'octroyait 4,15%.
Par ailleurs, JPMorgan a relevé sa recommandation sur le titre du Crédit Agricole de "sous-pondérer" à "neutre" et porté son objectif de cours de 5 à 5,50 euros, estimant que la cession d'Emporiki est positive.
Egalement dans le vert, les valeurs cycliques ont été dopées par l'annonce d'une augmentation des dépenses dans les infrastructures en Chine. Selon le China Securities Journal, le gouvernement a lancé un programme d'investissement de 157 milliards de dollars, comprenant 60 projets d'infrastructures.
En milieu de séance, ArcelorMittal progressait de 3,36%, tandis que Schneider Electric et Alstom s'appréciaient de 2,96% et de 2,30% respectivement.
Dans le secteur automobile, Peugeot affichait un rebond de 3,21% à la mi-journée, alors que son concurrent Renault grimpait de 2,56%.
Le conseil scientifique des indices de NYSE Euronext a annoncé, plus tôt dans la journée, que la sortie de Peugeot du Cac 40 se fera à compter du 24 septembre prochain. Le constructeur français sera remplacé par le chimiste Solvay.
Contre la tendance, Pernod-Ricard reculait de 1,40% à mi-séance. Selon le journal La Tribune, le groupe figure pourtant parmi les 100 entreprises les plus innovantes du monde, dans le classement établi par le magasine Forbes. Classé en 15e position, le groupe français s'est placé devant quelques géants américains, dont Google et Apple.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 s'octroyait 1,87%, le DAX s'adjugeait 0,83% et le Footsie 100 prenait 0,19%.
Un indicateur était particulièrement attendu dans l'après-midi : les chiffres de l'emploi américain pour le mois d'août.
Lors d'une conférence de presse organisée à l'issue de la réunion mensuelle de politique monétaire de la BCE, jeudi, Draghi a annoncé la mise en oeuvre d'un programme de rachat de dettes souveraines, dans le but de faire baisser les coûts de financement des Etats de la zone euro.
La BCE achètera sur le marché secondaire des obligations d'Etat de maturité allant de 1 à 3 ans et ne fixera 'pas de limite quantitative' à ces achats. La procédure devra toutefois se faire sous conditions.
Sur le front des statistiques, l'excédent commercial de l'Allemagne s'est légèrement réduit à 16,1 milliards d'euros en juillet, contre 16,3 milliards en juin.
En France, le déficit du commerce extérieur s'est tassé à 4,27 milliards d'euros en juillet, contre 6,06 milliards en juin. Le déficit budgétaire a également diminué à 85,5 milliards d'euros, contre 86,6 milliards un an plus tôt.
En Grande-Bretagne, les prix à la production ont augmenté de 0,5%, tandis que la production la production industrielle a progressé de 2,9%, soit sa plus forte hausse depuis février 1987.
Du côté des valeurs, les banques été particulièrement recherchées suivant l'annonce de la BCE. A mi-séance, Crédit Agricole engrangeait 7,72%, Société Générale grimpait de 4,80% et BNP Paribas s'octroyait 4,15%.
Par ailleurs, JPMorgan a relevé sa recommandation sur le titre du Crédit Agricole de "sous-pondérer" à "neutre" et porté son objectif de cours de 5 à 5,50 euros, estimant que la cession d'Emporiki est positive.
Egalement dans le vert, les valeurs cycliques ont été dopées par l'annonce d'une augmentation des dépenses dans les infrastructures en Chine. Selon le China Securities Journal, le gouvernement a lancé un programme d'investissement de 157 milliards de dollars, comprenant 60 projets d'infrastructures.
En milieu de séance, ArcelorMittal progressait de 3,36%, tandis que Schneider Electric et Alstom s'appréciaient de 2,96% et de 2,30% respectivement.
Dans le secteur automobile, Peugeot affichait un rebond de 3,21% à la mi-journée, alors que son concurrent Renault grimpait de 2,56%.
Le conseil scientifique des indices de NYSE Euronext a annoncé, plus tôt dans la journée, que la sortie de Peugeot du Cac 40 se fera à compter du 24 septembre prochain. Le constructeur français sera remplacé par le chimiste Solvay.
Contre la tendance, Pernod-Ricard reculait de 1,40% à mi-séance. Selon le journal La Tribune, le groupe figure pourtant parmi les 100 entreprises les plus innovantes du monde, dans le classement établi par le magasine Forbes. Classé en 15e position, le groupe français s'est placé devant quelques géants américains, dont Google et Apple.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 s'octroyait 1,87%, le DAX s'adjugeait 0,83% et le Footsie 100 prenait 0,19%.
Un indicateur était particulièrement attendu dans l'après-midi : les chiffres de l'emploi américain pour le mois d'août.