Investing.com - La Bourse de Paris s’inscrivait dans le rouge lundi, en baisse de 0,53% à mi-séance, alors que les inquiétudes au sujet de la croissance mondiale continuaient de peser sur le marché, suivant la publication d’une série d’indicateurs économiques inquiétants.
Les mauvais chiffres de l'emploi aux Etats-Unis vendredi et le ralentissement en Chine continuaient d’inquiéter les investisseurs, lundi.
Dans ce contexte, la publication en fin de semaine du PIB de la Chine au deuxième trimestre sera particulièrement attendue. Des statistiques ont montré lundi que les prix à la consommation en Chine ont ralenti au mois de juin à +2,2% contre +3% en mai.
Les ministres des finances de la zone euro devaient, par ailleurs, se réunir à Bruxelles, lundi et mardi, afin d’aborder le plan de relance annoncé le mois dernier et destiné à soutenir les secteurs bancaires des pays de la zone euro en difficulté.
Et ce, alors que le rendement de l'emprunt espagnol à dix ans est repassé au-dessus de la barre des 7%, à 7,06%, lundi matin.
Sur le front macroéconomique, le PIB de la France devrait se contracter de 0,1% au deuxième trimestre, après avoir stagné au premier, selon la Banque de France. Sur l'ensemble de 2012, la Banque centrale table sur une croissance de 0,4% du PIB.
Son indicateur du climat des affaires a par ailleurs reculé de 1 point à 91 en juin dans l'industrie, et celui des services a baissé de 2 points à 90.
Du côté des valeurs, Publicis reculait de 1,72% à mi-séance, après la décision de Citigroup de réduire de "neutre" à "vendre" sa recommandation, pour un objectif coupé de 43 à 35 euros.
Les banques étaient également à la peine lundi. En milieu de journée, BNP Paribas abandonnait 1,16%, Société Générale 1,31% et Crédit Agricole 1,53%.
Par ailleurs, ArcelorMittal a cédé 0,86% après avoir fait savoir que le groupe n'écartait pas de nouvelles fermetures de sites en Europe alors que la sidérurgie mondiale est entrée dans une phase de surcapacité liée aux signes de net ralentissement de la demande et de la consommation en Chine, selon le Financial Times.
A l’inverse, les valeurs automobiles gagnaient du terrain suivant les déclarations du ministre de l'Economie Pierre Moscovici, dimanche, selon lequel le gouvernement français soutiendra son industrie automobile par des mesures structurelles afin de tenter de préserver l'emploi dans ce secteur.
A mi-séance Peugeot s’appréciait de 1,13% et Renault grappillait 0,05%.
Egalement dans le vert, EADS s’est octroyé 1,43% alors que Airbus espère décrocher une nouvelle commande pour l'A350-1000, la plus grande des trois versions de son futur long-courrier, lors du salon aéronautique de Farnborough, en Grande-Bretagne, qui ouvrait ses portes lundi.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 reculait de 0,73%, le DAX cédait 0,20% et le Footsie 100 abandonnait 0,50%.
Aucun indicateur américain n’était attendu lundi.
Les mauvais chiffres de l'emploi aux Etats-Unis vendredi et le ralentissement en Chine continuaient d’inquiéter les investisseurs, lundi.
Dans ce contexte, la publication en fin de semaine du PIB de la Chine au deuxième trimestre sera particulièrement attendue. Des statistiques ont montré lundi que les prix à la consommation en Chine ont ralenti au mois de juin à +2,2% contre +3% en mai.
Les ministres des finances de la zone euro devaient, par ailleurs, se réunir à Bruxelles, lundi et mardi, afin d’aborder le plan de relance annoncé le mois dernier et destiné à soutenir les secteurs bancaires des pays de la zone euro en difficulté.
Et ce, alors que le rendement de l'emprunt espagnol à dix ans est repassé au-dessus de la barre des 7%, à 7,06%, lundi matin.
Sur le front macroéconomique, le PIB de la France devrait se contracter de 0,1% au deuxième trimestre, après avoir stagné au premier, selon la Banque de France. Sur l'ensemble de 2012, la Banque centrale table sur une croissance de 0,4% du PIB.
Son indicateur du climat des affaires a par ailleurs reculé de 1 point à 91 en juin dans l'industrie, et celui des services a baissé de 2 points à 90.
Du côté des valeurs, Publicis reculait de 1,72% à mi-séance, après la décision de Citigroup de réduire de "neutre" à "vendre" sa recommandation, pour un objectif coupé de 43 à 35 euros.
Les banques étaient également à la peine lundi. En milieu de journée, BNP Paribas abandonnait 1,16%, Société Générale 1,31% et Crédit Agricole 1,53%.
Par ailleurs, ArcelorMittal a cédé 0,86% après avoir fait savoir que le groupe n'écartait pas de nouvelles fermetures de sites en Europe alors que la sidérurgie mondiale est entrée dans une phase de surcapacité liée aux signes de net ralentissement de la demande et de la consommation en Chine, selon le Financial Times.
A l’inverse, les valeurs automobiles gagnaient du terrain suivant les déclarations du ministre de l'Economie Pierre Moscovici, dimanche, selon lequel le gouvernement français soutiendra son industrie automobile par des mesures structurelles afin de tenter de préserver l'emploi dans ce secteur.
A mi-séance Peugeot s’appréciait de 1,13% et Renault grappillait 0,05%.
Egalement dans le vert, EADS s’est octroyé 1,43% alors que Airbus espère décrocher une nouvelle commande pour l'A350-1000, la plus grande des trois versions de son futur long-courrier, lors du salon aéronautique de Farnborough, en Grande-Bretagne, qui ouvrait ses portes lundi.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 reculait de 0,73%, le DAX cédait 0,20% et le Footsie 100 abandonnait 0,50%.
Aucun indicateur américain n’était attendu lundi.