Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris cédait 0,27% à mi-séance mardi, après des statistiques décevantes en provenance de la zone euro, même si l'annonce de la formation d'un nouveau gouvernement en Italie continuait de soutenir le moral des investisseurs.
Lundi, le nouveau président du Conseil italien, Enrico Letta, a dit souhaiter des résultats "sous 18 mois" pour les réformes économiques, sociales et politiques qu'il va engager.
Sur le front des statistiques, le taux de chômage a atteint un nouveau record en mars dans la zone euro à 12,1% de la population active, contre 12% en février.
En Allemagne, l’indice de confiance du consommateur établi par GfK pour le mois de mai est ressorti à 6,2 points, au plus haut depuis octobre 2007, contre 6 en avril. En revanche, les ventes au détail ont diminué de 0,3% outre-Rhin le mois dernier et de 2,8% sur un an.
En France, les prix à la production sont restés stables en mars et affichent une hausse de 1,9 sur un an. Toujours dans l’Hexagone, les mises en chantier de logements ont augmenté de 0,5% et le nombre permis de construire délivrés de 0,9% le mois dernier, tandis que la consommation des ménages français en biens a progressé de 1,3% sur la période.
Du côté des valeurs, les banques étaient bien orientées, mardi, toujours soutenues par les espoirs de voir la Banque centrale européenne réduire les taux d'intérêt. A mi-séance, BNP Paribas s'octroyait 0,87%, tandis que Société Générale et Crédit Agricole engrangeaient 2,57% et 0,72% respectivement.
A l'inverse, Michelin pliait de 2,11% à la mi-journée, alors que le finlandais Nokian Renkaat a annoncé un retrait plus marqué qu’attendu de son bénéfice trimestriel, en raison de la baisse de la demande en Europe.
Renault évoluait aussi dans le rouge et reculait de 2,11% à mi-séance.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 cédait 0,12%, tandis que le DAX progressait 0,56% et le Footsie 100 cédait 0,05%.
Trois indicateurs américains étaient attendus dans l’après-midi : l’indice S&P Case-Shiller du prix des maisons dans 20 métropoles en février, l’indice des directeurs d’achat de Chicago en avril, puis l’indice de confiance du consommateur tel que calculé par le Conference Board pour le même mois.
Lundi, le nouveau président du Conseil italien, Enrico Letta, a dit souhaiter des résultats "sous 18 mois" pour les réformes économiques, sociales et politiques qu'il va engager.
Sur le front des statistiques, le taux de chômage a atteint un nouveau record en mars dans la zone euro à 12,1% de la population active, contre 12% en février.
En Allemagne, l’indice de confiance du consommateur établi par GfK pour le mois de mai est ressorti à 6,2 points, au plus haut depuis octobre 2007, contre 6 en avril. En revanche, les ventes au détail ont diminué de 0,3% outre-Rhin le mois dernier et de 2,8% sur un an.
En France, les prix à la production sont restés stables en mars et affichent une hausse de 1,9 sur un an. Toujours dans l’Hexagone, les mises en chantier de logements ont augmenté de 0,5% et le nombre permis de construire délivrés de 0,9% le mois dernier, tandis que la consommation des ménages français en biens a progressé de 1,3% sur la période.
Du côté des valeurs, les banques étaient bien orientées, mardi, toujours soutenues par les espoirs de voir la Banque centrale européenne réduire les taux d'intérêt. A mi-séance, BNP Paribas s'octroyait 0,87%, tandis que Société Générale et Crédit Agricole engrangeaient 2,57% et 0,72% respectivement.
A l'inverse, Michelin pliait de 2,11% à la mi-journée, alors que le finlandais Nokian Renkaat a annoncé un retrait plus marqué qu’attendu de son bénéfice trimestriel, en raison de la baisse de la demande en Europe.
Renault évoluait aussi dans le rouge et reculait de 2,11% à mi-séance.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 cédait 0,12%, tandis que le DAX progressait 0,56% et le Footsie 100 cédait 0,05%.
Trois indicateurs américains étaient attendus dans l’après-midi : l’indice S&P Case-Shiller du prix des maisons dans 20 métropoles en février, l’indice des directeurs d’achat de Chicago en avril, puis l’indice de confiance du consommateur tel que calculé par le Conference Board pour le même mois.