Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris affichait un léger retrait de 0,05% à mi-séance jeudi, freiné par certains résultats d'entreprises décevants, même si le moral des investisseurs restait soutenu par une adjudication espagnole réussie.
Madrid a adjugé pour 4,61 milliards d’euros d’obligations à moyen-long terme, contre 4,5 milliards prévus, à des rendements en baisse. Celui du papier à trois ans se détend à 3,22%, contre 3,67% précédemment, celui de l’obligation 2016 diminue à 3,97% contre 4,60%, et celui de l’emprunt 2022 ressort à 5,45%, contre 5,66%.
Sur le front macroéconomique, le PIB de la Chine a enregistré une croissance de 7,4% sur un an au troisième trimestre, soit le rythme le plus faible depuis les trois premiers mois de 2009, mais ce chiffre est néanmoins conforme aux attentes.
Les données concernant la production industrielle (+9,2% après +8,9% en août) et les ventes au détail (+14,2% après 13,2%) sont ressorties légèrement au-dessus du consensus, renforçant ainsi le sentiment que la croissance chinoise est en voie amélioration.
En Grande-Bretagne, les ventes au détail ont rebondi de 0,6% le mois dernier et affichent une progression de 2,5% sur un an.
Du côté des valeurs, Pernod Ricard affichait l'une des plus fortes baisses de l'indice parisien, jeudi. Le titre abandonnait 3,38+, dans le sillage de Rémy Cointreau, qui a accusé un net ralentissement de son chiffre d’affaires du deuxième trimestre à 324,1 millions d’euros, soit une croissance organique de 5,3%, après +24,4% au premier.
Egalement dans le rouge, Danone perdait 0,71% en milieu de séance, alors que le suisse Nestlé a fait état d'un ralentissement plus marqué que prévu de sa croissance organique sur les neuf premiers mois de l'année.
A l'inverse, Alcatel-Lucent engrangeait 8,08% au lendemain de l’annonce d’un important contrat en Chine.
Selon Reuters, l'équipementier télécoms prévoit par ailleurs de supprimer près de 1.500 emplois en France dans le cadre d'un vaste plan de restructuration mondial incluant au total 5.490 réductions d'effectifs.
Dans le secteur automobile, Renault s'octroyait 2,60% à mi-séance, alors que Bernstein juge l’action incroyablement bon marché au regard d’un bilan solide, de sa diversification géographique et d’actifs attrayants, comme sa participation de 44% dans Nissan.
Enfin, les valeurs financières évoluaient sans tendance, jeudi. A la mi-séance, BNP Paribas perdait 0,19%, tandis que Société Générale grimpait de 1% et Crédit Agricole s'appréciait de 1,37%.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 cédait 0,01%, le DAX gagnait 0,36% et le Footsie 100 avançait de 0,19%.
Trois statistiques américaines étaient attendues dans l'après-midi: les inscriptions hebdomadaires au chômage, l’indice des indicateurs avancés de septembre et l’indice de la Fed de Philadelphie d’octobre.
Madrid a adjugé pour 4,61 milliards d’euros d’obligations à moyen-long terme, contre 4,5 milliards prévus, à des rendements en baisse. Celui du papier à trois ans se détend à 3,22%, contre 3,67% précédemment, celui de l’obligation 2016 diminue à 3,97% contre 4,60%, et celui de l’emprunt 2022 ressort à 5,45%, contre 5,66%.
Sur le front macroéconomique, le PIB de la Chine a enregistré une croissance de 7,4% sur un an au troisième trimestre, soit le rythme le plus faible depuis les trois premiers mois de 2009, mais ce chiffre est néanmoins conforme aux attentes.
Les données concernant la production industrielle (+9,2% après +8,9% en août) et les ventes au détail (+14,2% après 13,2%) sont ressorties légèrement au-dessus du consensus, renforçant ainsi le sentiment que la croissance chinoise est en voie amélioration.
En Grande-Bretagne, les ventes au détail ont rebondi de 0,6% le mois dernier et affichent une progression de 2,5% sur un an.
Du côté des valeurs, Pernod Ricard affichait l'une des plus fortes baisses de l'indice parisien, jeudi. Le titre abandonnait 3,38+, dans le sillage de Rémy Cointreau, qui a accusé un net ralentissement de son chiffre d’affaires du deuxième trimestre à 324,1 millions d’euros, soit une croissance organique de 5,3%, après +24,4% au premier.
Egalement dans le rouge, Danone perdait 0,71% en milieu de séance, alors que le suisse Nestlé a fait état d'un ralentissement plus marqué que prévu de sa croissance organique sur les neuf premiers mois de l'année.
A l'inverse, Alcatel-Lucent engrangeait 8,08% au lendemain de l’annonce d’un important contrat en Chine.
Selon Reuters, l'équipementier télécoms prévoit par ailleurs de supprimer près de 1.500 emplois en France dans le cadre d'un vaste plan de restructuration mondial incluant au total 5.490 réductions d'effectifs.
Dans le secteur automobile, Renault s'octroyait 2,60% à mi-séance, alors que Bernstein juge l’action incroyablement bon marché au regard d’un bilan solide, de sa diversification géographique et d’actifs attrayants, comme sa participation de 44% dans Nissan.
Enfin, les valeurs financières évoluaient sans tendance, jeudi. A la mi-séance, BNP Paribas perdait 0,19%, tandis que Société Générale grimpait de 1% et Crédit Agricole s'appréciait de 1,37%.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 cédait 0,01%, le DAX gagnait 0,36% et le Footsie 100 avançait de 0,19%.
Trois statistiques américaines étaient attendues dans l'après-midi: les inscriptions hebdomadaires au chômage, l’indice des indicateurs avancés de septembre et l’indice de la Fed de Philadelphie d’octobre.