Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris pliait de 1,32% à mi-séance mercredi, alors que les inquiétudes au sujet du sauvetage financier de Chypre continuaient de dominer l'attention des marchés.
Nicosie doit préciser dans la journée les mesures de contrôle des flux de capitaux destinées à empêcher un mouvement de retraits massif, à la veille de la réouverture des banques et à deux jours de la signature du plan de sauvetage.
Sur le front des statistiques, la confiance du consommateur allemand devrait se stabiliser en avril, l’indice établi par GfK ressortant à 5,9 points, comme en mars.
En France, la contraction du PIB a été confirmée à 0,3% au quatrième trimestre, selon les chiffres définitifs de l’Insee, qui a révisé en hausse de 0,1 point à 0,2% la croissance des trois mois précédents. Il confirme par ailleurs son estimation de croissance nulle pour l’ensemble de 2012.
Du côté des valeurs, les banques signaient les plus fortes baisses de l'indice parisien. Crédit Agricole abandonnait 2,73% à mi-séance, tandis que Société Générale et BNP Paribas lâchaient 2,64% et 3,52% respectivement.
Par ailleurs, le journal Les Echos rapportait, plus tôt, que l’Etat belge envisage de céder sa participation de 10% dans la BNP, ou une partie de celle détenue dans Belgacom, afin de réduire son déficit budgétaire.
Egalement dans le rouge, Safran perdait 2,79% en milieu de séance, après que le ministère de l'Economie a annoncé que l’Etat a engagé la cession d’une participation de 3,12% du capital du groupe afin de dégager des ressources pour soutenir l’économie.
L’Etat restera toutefois le premier actionnaire de l’équipementier aéronautique avec 27,08% du capital.
EADS cédait aussi du terrain, en repli de 2,65% à la mi-journée. Le groupe devait tenir une assemblée générale extraordinaire à Amsterdam, mardi, consacrée au changement de gouvernance du groupe via un rachat d’actions qui pourrait porter sur 15% du capital.
A l'inverse, LVMH engrangeait 1,79% en milieu de séance, alors que Bank of America Merrill Lynch a relevé sa recommandation sur le titre de "neutre" à "achat".
L'intermédiaire a également écrit dans une note que Louis Vuitton a procédé à des hausses de prix importantes depuis le début de l’année sur ses sacs de toile et dans la plupart de ses grands marchés.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 abandonnait 1,20%, tandis que le DAX reculait de 0,80% et le Footsie 100 cédait 0,58%.
Un seul indicateur américain était attendu dans l’après-midi : les promesses de vente de logements de mars.
Nicosie doit préciser dans la journée les mesures de contrôle des flux de capitaux destinées à empêcher un mouvement de retraits massif, à la veille de la réouverture des banques et à deux jours de la signature du plan de sauvetage.
Sur le front des statistiques, la confiance du consommateur allemand devrait se stabiliser en avril, l’indice établi par GfK ressortant à 5,9 points, comme en mars.
En France, la contraction du PIB a été confirmée à 0,3% au quatrième trimestre, selon les chiffres définitifs de l’Insee, qui a révisé en hausse de 0,1 point à 0,2% la croissance des trois mois précédents. Il confirme par ailleurs son estimation de croissance nulle pour l’ensemble de 2012.
Du côté des valeurs, les banques signaient les plus fortes baisses de l'indice parisien. Crédit Agricole abandonnait 2,73% à mi-séance, tandis que Société Générale et BNP Paribas lâchaient 2,64% et 3,52% respectivement.
Par ailleurs, le journal Les Echos rapportait, plus tôt, que l’Etat belge envisage de céder sa participation de 10% dans la BNP, ou une partie de celle détenue dans Belgacom, afin de réduire son déficit budgétaire.
Egalement dans le rouge, Safran perdait 2,79% en milieu de séance, après que le ministère de l'Economie a annoncé que l’Etat a engagé la cession d’une participation de 3,12% du capital du groupe afin de dégager des ressources pour soutenir l’économie.
L’Etat restera toutefois le premier actionnaire de l’équipementier aéronautique avec 27,08% du capital.
EADS cédait aussi du terrain, en repli de 2,65% à la mi-journée. Le groupe devait tenir une assemblée générale extraordinaire à Amsterdam, mardi, consacrée au changement de gouvernance du groupe via un rachat d’actions qui pourrait porter sur 15% du capital.
A l'inverse, LVMH engrangeait 1,79% en milieu de séance, alors que Bank of America Merrill Lynch a relevé sa recommandation sur le titre de "neutre" à "achat".
L'intermédiaire a également écrit dans une note que Louis Vuitton a procédé à des hausses de prix importantes depuis le début de l’année sur ses sacs de toile et dans la plupart de ses grands marchés.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 abandonnait 1,20%, tandis que le DAX reculait de 0,80% et le Footsie 100 cédait 0,58%.
Un seul indicateur américain était attendu dans l’après-midi : les promesses de vente de logements de mars.