Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris reculait de 1,01% à mi-séance mardi, plombé par les inquiétudes au sujet de la Grèce, alors que les ministres des Finances de la zone euro a repoussé au 20 novembre les discussions au sujet de l'attribution de la nouvelle tranche d'aide financière à Athènes.
A l'issue de la réunion de l'Eurogroupe, à Bruxelles, la troïka (Commission européenne, BCE et FMI) a livré un rapport provisoire dans lequel elle confirme que la Grèce a besoin de deux ans de plus pour mettre en oeuvre le programme de restructuration dicté par ses créanciers et que ce délai supplémentaire entraîne un besoin financier de 32,6 milliards d'euros.
Sur le plan macroéconomique, l’indice ZEW du moral des investisseurs et analystes allemands a reculé à -15,7 points en novembre, contre -11,5 points en octobre et -9,8 points attendus par le consensus établi par Reuters.
En France, l’emploi salarié dans les secteurs marchands non agricoles a diminué de 0,3% au troisième trimestre, avec 50.400 postes supprimés, selon l’estimation "flash" de l’Insee.
Du côté des valeurs, Alcatel-Lucent signait la plus faible performance de l'indice parisien, mardi. A mi-séance, le titre abandonnait 4,02%, alors que le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, déclarait lundi que l'arrivée du quatrième opérateur de téléphonie mobile Free mobile sous l'impulsion du précédent gouvernement a accentué les difficultés de l'équipementier.
Le groupe a, par ailleurs, remporté deux contrats en Afrique avec Angola Cables, un consortium d'opérateurs de télécommunications angolais, et avec l'opérateur Togo Cellulaire, selon L'Express.
Egalement dans le rouge, GDF Suez pliait de 3,41% en milieu de séance, après l’abaissement de prévisions de l’allemand E.ON pour 2013 et sa mise en garde sur le risque de diminution de la demande d’électricité en Europe.
De son côté, EDF lâchait 2,33%, alors que l’électricien et Areva ont signé un accord de coopération avec le chinois CGNPC pour la construction d’un réacteur nucléaire de troisième génération, selon Les Echos.
Les valeurs financières cédaient elles aussi du terrain mardi, sur fond d'inquiétudes persistantes de dégradation économique en zone euro. A la mi-journée, BNP Paribas reculait de 0,53%, tandis que Société Générale et Crédit Agricole perdaient 0,60% et 0,16% respectivement.
A l'inverse, EADS grappillait 0,06% en milieu de séance, après que la compagnie mexicaine Interjet a annoncé une commande de 40 Airbus A320.
Par ailleurs, Exane BNP Paribas a relevé son objectif de cours sur le titre de 3% à 35 euros tout en maintenant son opinion à "surperformance".
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 abandonnait 0,89%, le DAX pliait de 0,97% et le Footsie 100 perdait 0,90%.
Aucun indicateur américain majeur n'était attendu dans la journée.
A l'issue de la réunion de l'Eurogroupe, à Bruxelles, la troïka (Commission européenne, BCE et FMI) a livré un rapport provisoire dans lequel elle confirme que la Grèce a besoin de deux ans de plus pour mettre en oeuvre le programme de restructuration dicté par ses créanciers et que ce délai supplémentaire entraîne un besoin financier de 32,6 milliards d'euros.
Sur le plan macroéconomique, l’indice ZEW du moral des investisseurs et analystes allemands a reculé à -15,7 points en novembre, contre -11,5 points en octobre et -9,8 points attendus par le consensus établi par Reuters.
En France, l’emploi salarié dans les secteurs marchands non agricoles a diminué de 0,3% au troisième trimestre, avec 50.400 postes supprimés, selon l’estimation "flash" de l’Insee.
Du côté des valeurs, Alcatel-Lucent signait la plus faible performance de l'indice parisien, mardi. A mi-séance, le titre abandonnait 4,02%, alors que le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, déclarait lundi que l'arrivée du quatrième opérateur de téléphonie mobile Free mobile sous l'impulsion du précédent gouvernement a accentué les difficultés de l'équipementier.
Le groupe a, par ailleurs, remporté deux contrats en Afrique avec Angola Cables, un consortium d'opérateurs de télécommunications angolais, et avec l'opérateur Togo Cellulaire, selon L'Express.
Egalement dans le rouge, GDF Suez pliait de 3,41% en milieu de séance, après l’abaissement de prévisions de l’allemand E.ON pour 2013 et sa mise en garde sur le risque de diminution de la demande d’électricité en Europe.
De son côté, EDF lâchait 2,33%, alors que l’électricien et Areva ont signé un accord de coopération avec le chinois CGNPC pour la construction d’un réacteur nucléaire de troisième génération, selon Les Echos.
Les valeurs financières cédaient elles aussi du terrain mardi, sur fond d'inquiétudes persistantes de dégradation économique en zone euro. A la mi-journée, BNP Paribas reculait de 0,53%, tandis que Société Générale et Crédit Agricole perdaient 0,60% et 0,16% respectivement.
A l'inverse, EADS grappillait 0,06% en milieu de séance, après que la compagnie mexicaine Interjet a annoncé une commande de 40 Airbus A320.
Par ailleurs, Exane BNP Paribas a relevé son objectif de cours sur le titre de 3% à 35 euros tout en maintenant son opinion à "surperformance".
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 abandonnait 0,89%, le DAX pliait de 0,97% et le Footsie 100 perdait 0,90%.
Aucun indicateur américain majeur n'était attendu dans la journée.