Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris a fermé sur une baisse de 0,82% lundi, alors que les investisseurs continuaient de privilégiaier la prudence dans l'attente d'un accord sur une nouvelle aide financière à la Grèce.
Un nouveau round de discussions s'est ouvert à Bruxelles pour tenter de sauver la Grèce de l'asphyxie.
Les 17 ministres des Finances de la zone euro, la directrice générale du FMI, Christine Lagarde, ainsi que le président de la Banque centrale européenne, Mario Draghi, devraient se réunir à Bruxelles pour débloquer une tranche d'aide à la Grèce d'au moins 31,2 milliards d'euros sur les 44 milliards promis.
Du côté des valeurs, ArcelorMittal abandonnait 1,54% en fin de séance, après que le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, a déclaré qu'il travaillait sur un projet de nationalisation du group avec un partenaire industriel.
Egalement dans le rouge, Lafarge pliait de 2,35% à la fermeture du marché, plombé par la situation en Egypte, où la contestation s'est intensifiée ce week-end contre un décret renforçant les pouvoirs du président Mohamed Morsi.
Carrefour cédait aussi du terrain et lâchait 1,38% à la clôture. Les Echos rapportaient plus tôt que le PDG de Carrefour, Georges Plassat est poussé par certains de ses partenaires à repenser l'organisation des activités du géant français de la distribution dans la deuxième économie mondiale. Et pour cause, la part de marché du distributeur y est en baisse au moment où la croissance chinoise ralentit.
Quant aux valeurs financières, elles restaient elles aussi dans le rouge. En fin de journée, BNP Paribas perdait 1,90%, tandis que Société Générale et Crédit Agricole reculaient de 2,47% et de 2,93% respectivement.
Par ailleurs, EADS pliait de 1,33%. La compagnie taïwanaise TransAsia a annoncé lundi matin avoir réceptionné le premier de deux A 330-300 commandés auprès d'Airbus.
A l'inverse, France Télécom s'appréciait de à 0,85% en fin de séance, alors que CM-CIC a relevé sa recommandation sur le titre de "alléger" à "conserver" et a renouvelé son objectif de cours à 8,60 euros.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 cédait 0,55%, le DAX perdait 0,20% et le Footsie 100 reculait de 0,56%.
Autre information de la journée, la France a adjugé pour 6,78 milliards d’euros de bons du Trésor à court terme, soit le haut de la fourchette de 5,6 à 6,8 milliards prévue. Les rendements des échéances à trois et six mois restent négatifs à respectivement -0,20% et -0,10%, tandis que celui de l’emprunt à un an se détend à 0,019%, contre 0,026% précédemment.
Un nouveau round de discussions s'est ouvert à Bruxelles pour tenter de sauver la Grèce de l'asphyxie.
Les 17 ministres des Finances de la zone euro, la directrice générale du FMI, Christine Lagarde, ainsi que le président de la Banque centrale européenne, Mario Draghi, devraient se réunir à Bruxelles pour débloquer une tranche d'aide à la Grèce d'au moins 31,2 milliards d'euros sur les 44 milliards promis.
Du côté des valeurs, ArcelorMittal abandonnait 1,54% en fin de séance, après que le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, a déclaré qu'il travaillait sur un projet de nationalisation du group avec un partenaire industriel.
Egalement dans le rouge, Lafarge pliait de 2,35% à la fermeture du marché, plombé par la situation en Egypte, où la contestation s'est intensifiée ce week-end contre un décret renforçant les pouvoirs du président Mohamed Morsi.
Carrefour cédait aussi du terrain et lâchait 1,38% à la clôture. Les Echos rapportaient plus tôt que le PDG de Carrefour, Georges Plassat est poussé par certains de ses partenaires à repenser l'organisation des activités du géant français de la distribution dans la deuxième économie mondiale. Et pour cause, la part de marché du distributeur y est en baisse au moment où la croissance chinoise ralentit.
Quant aux valeurs financières, elles restaient elles aussi dans le rouge. En fin de journée, BNP Paribas perdait 1,90%, tandis que Société Générale et Crédit Agricole reculaient de 2,47% et de 2,93% respectivement.
Par ailleurs, EADS pliait de 1,33%. La compagnie taïwanaise TransAsia a annoncé lundi matin avoir réceptionné le premier de deux A 330-300 commandés auprès d'Airbus.
A l'inverse, France Télécom s'appréciait de à 0,85% en fin de séance, alors que CM-CIC a relevé sa recommandation sur le titre de "alléger" à "conserver" et a renouvelé son objectif de cours à 8,60 euros.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 cédait 0,55%, le DAX perdait 0,20% et le Footsie 100 reculait de 0,56%.
Autre information de la journée, la France a adjugé pour 6,78 milliards d’euros de bons du Trésor à court terme, soit le haut de la fourchette de 5,6 à 6,8 milliards prévue. Les rendements des échéances à trois et six mois restent négatifs à respectivement -0,20% et -0,10%, tandis que celui de l’emprunt à un an se détend à 0,019%, contre 0,026% précédemment.