Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris a clôturé sur une baisse de 0,77% lundi, alors que l'incertitude entourrant une éventuelle demande d'aide financière de l'Espagne continuait de peser sur les marchés.
Les inquiétudes au sujet de l'économie américaine, et notamment le "mur fiscal" qui approche à grands pas encourageaient également les investisseurs à privilégier la prudence.
Les volumes d’échanges restaient, par ailleurs, limités en raison de la fermeture de Wall Street du fait de l’arrivée de l’ouragan Sandy sur la côte Est des Etats-Unis.
Sur le front des statistiques, les revenus des ménages aux Etats-Unis ont augmenté de 0,4% le mois dernier, tandis que leurs dépenses ont progressé de 0,8%, leur meilleure performance depuis février. Le consensus Thomson Reuters tablait sur des hausses de respectivement 0,4% et 0,6%.
En Allemagne, les prix à la consommation sont restés stables en octobre et affichent une hausse de 2% sur un an, selon la première estimation de l’Office fédéral des statistiques.
Du côté des valeurs, les banques restaient dans le rouge en fin de séance. BNP Paribas abandonnait 0,43% à la fermeture du marché, tandis que Crédit Agricole reculait de 0,68% et Société Générale perdait 1,38%.
Egalement dans le rouge, les valeurs cycliques pâtissaient des inquiétudes constantes au sujet du ralentissement de la croissance mondiale. En fin de journée, Vallourec abandonnait 2,50%, tandis que Renault pliait de 1,78% et Lafarge lâchait 0,82%.
Par ailleurs, Carrefour a effacé ses gains de première moitié de séance et cédait 0,70% à la clôture du CAC40, après avoir bénéficié vendredi du relèvement de la recommandation de Morgan Stanley à "surpondérer", ainsi que d’informations selon lesquelles le japonais Aeon devrait racheter les actifs du groupe français en Malaisie pour environ 250 millions de dollars.
A l'inverse, Unibail-Rodamco s'appréciait de 0,47% à mi-séance, après avoir annoncé, vendredi soir, une progression de 7,5% de ses revenus locatifs bruts à 1,13 milliard d’euros au troisième trimestre, son portefeuille de centres commerciaux en Europe lui permettant de résister au ralentissement économique.
Essilor International gagnait aussi du terrain et avançait de 0,11% à la fermture, alors que Barclays a entamé la couverture du titre à "surpondérer" avec un objectif de cours à 84 euros, citant les perspectives de croissance sur les marchés émergents au cours des prochaines années.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 reculait de 0,73%, le DAX pliait de 0,40% et le Footsie 100 cédait 0,22%.
Les inquiétudes au sujet de l'économie américaine, et notamment le "mur fiscal" qui approche à grands pas encourageaient également les investisseurs à privilégier la prudence.
Les volumes d’échanges restaient, par ailleurs, limités en raison de la fermeture de Wall Street du fait de l’arrivée de l’ouragan Sandy sur la côte Est des Etats-Unis.
Sur le front des statistiques, les revenus des ménages aux Etats-Unis ont augmenté de 0,4% le mois dernier, tandis que leurs dépenses ont progressé de 0,8%, leur meilleure performance depuis février. Le consensus Thomson Reuters tablait sur des hausses de respectivement 0,4% et 0,6%.
En Allemagne, les prix à la consommation sont restés stables en octobre et affichent une hausse de 2% sur un an, selon la première estimation de l’Office fédéral des statistiques.
Du côté des valeurs, les banques restaient dans le rouge en fin de séance. BNP Paribas abandonnait 0,43% à la fermeture du marché, tandis que Crédit Agricole reculait de 0,68% et Société Générale perdait 1,38%.
Egalement dans le rouge, les valeurs cycliques pâtissaient des inquiétudes constantes au sujet du ralentissement de la croissance mondiale. En fin de journée, Vallourec abandonnait 2,50%, tandis que Renault pliait de 1,78% et Lafarge lâchait 0,82%.
Par ailleurs, Carrefour a effacé ses gains de première moitié de séance et cédait 0,70% à la clôture du CAC40, après avoir bénéficié vendredi du relèvement de la recommandation de Morgan Stanley à "surpondérer", ainsi que d’informations selon lesquelles le japonais Aeon devrait racheter les actifs du groupe français en Malaisie pour environ 250 millions de dollars.
A l'inverse, Unibail-Rodamco s'appréciait de 0,47% à mi-séance, après avoir annoncé, vendredi soir, une progression de 7,5% de ses revenus locatifs bruts à 1,13 milliard d’euros au troisième trimestre, son portefeuille de centres commerciaux en Europe lui permettant de résister au ralentissement économique.
Essilor International gagnait aussi du terrain et avançait de 0,11% à la fermture, alors que Barclays a entamé la couverture du titre à "surpondérer" avec un objectif de cours à 84 euros, citant les perspectives de croissance sur les marchés émergents au cours des prochaines années.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 reculait de 0,73%, le DAX pliait de 0,40% et le Footsie 100 cédait 0,22%.