Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris a clôturé sur une baisse de 0,38% jeudi, en dépit des commentaires plutôt rassurants de la part du président de la Banque centrale européenne, Mario Draghi.
A l'issue de la réunion mensuelle de la BCE, Mario Draghi a déclaré que l’économie de la zone euro devrait se reprendre progressivement en cours d’année. Il a ajouté que les pressions sur les prix devraient rester contenues, estimant notamment que l’inflation devrait tomber sous la barre des 2% cette année.
Ces commentaires sont intervenus après que la BCE a annoncé le maintien de son taux refi à 0,75%, son plus bas niveau historique.
Avant cela, la Banque d’Angleterre avait également gardé son taux repo inchangé à 0,5% et son objectif d’achat d’obligations à 375 milliards de livres.
Sur le front des statistiques, les inscriptions hebdomadaires au chômage ont augmenté de 4.000 à 371.000 aux Etats-Unis la semaine dernière, contre 365.000 anticipées par le consensus Thomson Reuters.
Par ailleurs, la Banque de France a confirmé tabler sur une contraction de 0,1% du PIB au quatrième trimestre. Par ailleurs, la production industrielle a progressé de 0,5% en novembre, tandis que les prix à la consommation ont augmenté de 0,3% le mois dernier et de 1,3% sur un an.
En Chine, l'excédent commercial était de 31,6 milliards de dollars au cours du dernier mois de 2012, avec une hausse de 14,1% des exportations sur un an en décembre, d'après des chiffres publiés par les Douanes du pays.
Du côté des valeurs, les banques restaient en forte hausse en fin de séance. Crédit Agricole engrangeait 2,05% à la clôture et Société Générale s'octroyait 1,84%. En revanche, BNP Paribas perdait 0,15%.
ArcelorMittal a effacé ses gains de première moitié de séance et cédait 0,04% à la fermeture du marché, après qu'UBS a salué l’augmentation de capital du groupe, jugée favorable à son objectif de réduction d'endettement.
Le sidérurgiste a annoncé avoir levé 4 milliards de dollars via son offre combinée d’actions et d’obligations convertibles, contre 3,5 milliards initialement prévu.
Egalement dans le rouge, EADS perdait 0,36% en fin de journée, alors qu'UBS estime qu'Airbus accusera sans doute une perte de 500 à 700 millions d’euros à l’horizon 2014-2015 avant de renouer avec l’équilibre en 2016.
Par ailleurs, Schneider Electric pliait de 2,30% à la clôture du CAC 40, après que Bank of America Merrill Lynch a dégradé le titre de "achat" à "neutre".
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 grappillait 0,04%, le DAX cédait 0,18% et le Footsie 100 avançait de 0,08%.
Autre information de la journée, l'Espagne a émis pour 5,8 milliards d’euros d’obligations à moyen-long terme, contre un maximum de 5 milliards estimé. Le rendement de l’emprunt 2015 se détend à 2,476%, contre 3,282%, et celui du papier à cinq ans diminue à 3,988%, contre 4,68%.
A l'issue de la réunion mensuelle de la BCE, Mario Draghi a déclaré que l’économie de la zone euro devrait se reprendre progressivement en cours d’année. Il a ajouté que les pressions sur les prix devraient rester contenues, estimant notamment que l’inflation devrait tomber sous la barre des 2% cette année.
Ces commentaires sont intervenus après que la BCE a annoncé le maintien de son taux refi à 0,75%, son plus bas niveau historique.
Avant cela, la Banque d’Angleterre avait également gardé son taux repo inchangé à 0,5% et son objectif d’achat d’obligations à 375 milliards de livres.
Sur le front des statistiques, les inscriptions hebdomadaires au chômage ont augmenté de 4.000 à 371.000 aux Etats-Unis la semaine dernière, contre 365.000 anticipées par le consensus Thomson Reuters.
Par ailleurs, la Banque de France a confirmé tabler sur une contraction de 0,1% du PIB au quatrième trimestre. Par ailleurs, la production industrielle a progressé de 0,5% en novembre, tandis que les prix à la consommation ont augmenté de 0,3% le mois dernier et de 1,3% sur un an.
En Chine, l'excédent commercial était de 31,6 milliards de dollars au cours du dernier mois de 2012, avec une hausse de 14,1% des exportations sur un an en décembre, d'après des chiffres publiés par les Douanes du pays.
Du côté des valeurs, les banques restaient en forte hausse en fin de séance. Crédit Agricole engrangeait 2,05% à la clôture et Société Générale s'octroyait 1,84%. En revanche, BNP Paribas perdait 0,15%.
ArcelorMittal a effacé ses gains de première moitié de séance et cédait 0,04% à la fermeture du marché, après qu'UBS a salué l’augmentation de capital du groupe, jugée favorable à son objectif de réduction d'endettement.
Le sidérurgiste a annoncé avoir levé 4 milliards de dollars via son offre combinée d’actions et d’obligations convertibles, contre 3,5 milliards initialement prévu.
Egalement dans le rouge, EADS perdait 0,36% en fin de journée, alors qu'UBS estime qu'Airbus accusera sans doute une perte de 500 à 700 millions d’euros à l’horizon 2014-2015 avant de renouer avec l’équilibre en 2016.
Par ailleurs, Schneider Electric pliait de 2,30% à la clôture du CAC 40, après que Bank of America Merrill Lynch a dégradé le titre de "achat" à "neutre".
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 grappillait 0,04%, le DAX cédait 0,18% et le Footsie 100 avançait de 0,08%.
Autre information de la journée, l'Espagne a émis pour 5,8 milliards d’euros d’obligations à moyen-long terme, contre un maximum de 5 milliards estimé. Le rendement de l’emprunt 2015 se détend à 2,476%, contre 3,282%, et celui du papier à cinq ans diminue à 3,988%, contre 4,68%.