Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris a clôturé sur un rebond de 1% jeudi, alors que la publication de statistiques américaines mitigées a fait perdurer les incertitudes concernant l'avenir du programme de rachat d'actifs de la Réserve fédérale.
Sur le front des statistiques, les dépenses des ménages américains ont rebondi de 0,3% le mois dernier, tandis que leurs revenus ont progressé de 0,5%, là où le marché tablait sur des hausses de respectivement 0,3% et 0,2%.
Les inscriptions hebdomadaires au chômage ont diminué de 9.000 à 346.000, à comparer aux 345.000 anticipées par le consensus. Par ailleurs, les promesses de vente de logements ont bondi de 6,7% à 112,3 points en mai, leur plus haut niveau depuis décembre 2006.
Dans la zone euro, l’indice du sentiment économique a progressé de 2,8 points à 91,3 en juin, celui du climat des affaires est ressorti à -0,68 point contre -0,75 en mai et celui mesurant la confiance du consommateur s'est apprécié à -18,8 points, contre -21,9.
En Allemagne, le nombre de demandeurs d’emploi a diminué de 12.000, à 2,943 millions, en juin, le taux de chômage restant inchangé à 6,8% de la population active.
En France, la confiance des ménages a atteint son plus bas niveau historique en juin, l’indicateur synthétique de l’Insee reculant de 1 point à 78.
Du côté des valeurs, Solvay abandonnait 2,29% en fin de séance, alors que la Chine prévoit d'imposer, dès vendredi, des droits de douane anti-dumping pouvant atteindre 37% sur un produit chimique importé de l’Union européenne.
Par ailleurs, JPMorgan a dégradé plusieurs chimistes européen dont Solvay, sur lequel il est passé de "neutre" à "sous-pondérer".
A l'inverse, Vinci a effacé ses pertes de première moitié de séance et s'octroyait 1,23% à la clôture. Selon l’Agefi, le groupe et Predica, filiale d’assurance du Crédit Agricole, sont tous les deux candidats au rachat du bloc de 9,5% d’Aéroports de Paris vendu par l’Etat et le fonds stratégique d’investissement.
Alcatel-Lucent gagnait aussi du terrain et bondissait de 6% à la fermeture du marché, soutenu par le succès de son émission d’Oceanes, qui lui a permis de lever au moins 550 millions d’euros.
Quant aux banques, elles continuaient d'évoluer en ordre dispersé, en fin de journée, alors que les ministres des Finances de l’UE sont parvenus à un accord sur la question du partage des pertes en cas de faillite bancaire.
L’accord entrera en vigueur d’ici à 2018 et stipule que les pays de l’UE pourront imposer des pertes aux créanciers obligataires et aux déposants dont les comptes dépassent les 100.000 euros en cas de difficultés d’un établissement bancaire.
BNP Paribas avançait de 0,33% et Crédit Agricole s'adjugeait 1,63%, tandis que Société Générale cédait 0,14%.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,72% et le DAX s'octroyait 0,66%, tandis que le Footsie 100 bondissait de 1,27%.
Sur le front des statistiques, les dépenses des ménages américains ont rebondi de 0,3% le mois dernier, tandis que leurs revenus ont progressé de 0,5%, là où le marché tablait sur des hausses de respectivement 0,3% et 0,2%.
Les inscriptions hebdomadaires au chômage ont diminué de 9.000 à 346.000, à comparer aux 345.000 anticipées par le consensus. Par ailleurs, les promesses de vente de logements ont bondi de 6,7% à 112,3 points en mai, leur plus haut niveau depuis décembre 2006.
Dans la zone euro, l’indice du sentiment économique a progressé de 2,8 points à 91,3 en juin, celui du climat des affaires est ressorti à -0,68 point contre -0,75 en mai et celui mesurant la confiance du consommateur s'est apprécié à -18,8 points, contre -21,9.
En Allemagne, le nombre de demandeurs d’emploi a diminué de 12.000, à 2,943 millions, en juin, le taux de chômage restant inchangé à 6,8% de la population active.
En France, la confiance des ménages a atteint son plus bas niveau historique en juin, l’indicateur synthétique de l’Insee reculant de 1 point à 78.
Du côté des valeurs, Solvay abandonnait 2,29% en fin de séance, alors que la Chine prévoit d'imposer, dès vendredi, des droits de douane anti-dumping pouvant atteindre 37% sur un produit chimique importé de l’Union européenne.
Par ailleurs, JPMorgan a dégradé plusieurs chimistes européen dont Solvay, sur lequel il est passé de "neutre" à "sous-pondérer".
A l'inverse, Vinci a effacé ses pertes de première moitié de séance et s'octroyait 1,23% à la clôture. Selon l’Agefi, le groupe et Predica, filiale d’assurance du Crédit Agricole, sont tous les deux candidats au rachat du bloc de 9,5% d’Aéroports de Paris vendu par l’Etat et le fonds stratégique d’investissement.
Alcatel-Lucent gagnait aussi du terrain et bondissait de 6% à la fermeture du marché, soutenu par le succès de son émission d’Oceanes, qui lui a permis de lever au moins 550 millions d’euros.
Quant aux banques, elles continuaient d'évoluer en ordre dispersé, en fin de journée, alors que les ministres des Finances de l’UE sont parvenus à un accord sur la question du partage des pertes en cas de faillite bancaire.
L’accord entrera en vigueur d’ici à 2018 et stipule que les pays de l’UE pourront imposer des pertes aux créanciers obligataires et aux déposants dont les comptes dépassent les 100.000 euros en cas de difficultés d’un établissement bancaire.
BNP Paribas avançait de 0,33% et Crédit Agricole s'adjugeait 1,63%, tandis que Société Générale cédait 0,14%.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,72% et le DAX s'octroyait 0,66%, tandis que le Footsie 100 bondissait de 1,27%.