Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris a clôturé sur une hausse de 1,99% mercredi, après ainsi le compte-rendu de la dernière réunion de la Réserve fédérale américaine, alors que l'envolée des importations chinoises continuait de soutenir le moral des investisseurs.
La Chine a enregistré, le mois dernier, un surprenant déficit commercial de 880 millions de dollars. Ses exportations ont progressé, en glissement annuel, de 10% pour atteindre 182,19 milliards ont révélé les douanes.
Dans le même temps, ses importations ont bondi de 14,1% et ont été évaluées sur un mois à 183,07 milliards de dollars.
Dans le compte rendu de la réunion de son conseil de politique monétaire des 22 et 23 mars, la Fed indique que certains de ses membres ont estimé que les risques et le coût des achats d’actifs, couplés à l’amélioration des perspectives depuis l’automne, pourraient justifier un ralentissement du rythme de ces achats à partir du milieu de l’année.
Sur le front des statistiques, la production industrielle de la France a rebondi de 0,7% en février après un repli de 0,8% en janvier, tandis que la production manufacturière a augmenté de 0,8% (-1,3% en janvier).
Du côté des valeurs, les banques restaient en très forte hausse, en fin de séance. BNP Paribas s'octroyait 5,61%, tandis que Société Générale et Crédit Agricole engrangeaient 6,18% et 5,97% respectivement.
Plus tôt, Les Echos ont rapporté que la BNP s’apprête à lancer sa banque 100% numérique, pour laquelle elle vise 25.000 clients d’ici à la fin de l’année et la rentabilité à l’horizon de 3 ou 4 ans.
Egalement dans le vert, EADS progressait de 2,22% à la clôture, alors que Lufthansa a dit étudier une nouvelle commande de plusieurs dizaines de biréacteurs longs courriers Airbus ou Boeing.
EDF gagnait aussi du terrain et s'adjugeait 3,80% en fin de journée, après que Morgan Stanley a intégré le titre à la liste de valeurs préférées dans les "utilities" européennes.
France Télécom a effacé des pertes de première moitié de séance et bondissait de 1,04% à la fermeture du marché, alors que Goldman Sachs a intégré le titre à sa "conviction sell list".
Par ailleurs, Stéphane Richard a confié au Figaro être prêt à réduire sa rémunération si la loi instaurant une taxe à 75% sur les salaires supérieurs à 1 million d’euros est adoptée.
Contre la tendance, Michelin pliait de 0,54% à la clôture du CAC 40, alors que Credit Suisse a passé le titre de "surperformance" à "neutre" avec un objectif de cours ramené de 70 à 60 euros.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 engrangeait 2,56%, tandis que le DAX s'octroyait 2,28% et le Footsie 100 gagnait 1,20%.
Autre information de la journée, l’Italie a adjugé pour 11 milliards d’euros de bons du Trésor à trois mois et un an à des rendements en baisse.
Celui du papier à 3 mois ressort à 0,24%, contre 0,77% en octobre dernier, et celui de l’échéance 2014 recule à 0,92%, au plus bas depuis janvier, contre 1,28% le mois dernier.
La Chine a enregistré, le mois dernier, un surprenant déficit commercial de 880 millions de dollars. Ses exportations ont progressé, en glissement annuel, de 10% pour atteindre 182,19 milliards ont révélé les douanes.
Dans le même temps, ses importations ont bondi de 14,1% et ont été évaluées sur un mois à 183,07 milliards de dollars.
Dans le compte rendu de la réunion de son conseil de politique monétaire des 22 et 23 mars, la Fed indique que certains de ses membres ont estimé que les risques et le coût des achats d’actifs, couplés à l’amélioration des perspectives depuis l’automne, pourraient justifier un ralentissement du rythme de ces achats à partir du milieu de l’année.
Sur le front des statistiques, la production industrielle de la France a rebondi de 0,7% en février après un repli de 0,8% en janvier, tandis que la production manufacturière a augmenté de 0,8% (-1,3% en janvier).
Du côté des valeurs, les banques restaient en très forte hausse, en fin de séance. BNP Paribas s'octroyait 5,61%, tandis que Société Générale et Crédit Agricole engrangeaient 6,18% et 5,97% respectivement.
Plus tôt, Les Echos ont rapporté que la BNP s’apprête à lancer sa banque 100% numérique, pour laquelle elle vise 25.000 clients d’ici à la fin de l’année et la rentabilité à l’horizon de 3 ou 4 ans.
Egalement dans le vert, EADS progressait de 2,22% à la clôture, alors que Lufthansa a dit étudier une nouvelle commande de plusieurs dizaines de biréacteurs longs courriers Airbus ou Boeing.
EDF gagnait aussi du terrain et s'adjugeait 3,80% en fin de journée, après que Morgan Stanley a intégré le titre à la liste de valeurs préférées dans les "utilities" européennes.
France Télécom a effacé des pertes de première moitié de séance et bondissait de 1,04% à la fermeture du marché, alors que Goldman Sachs a intégré le titre à sa "conviction sell list".
Par ailleurs, Stéphane Richard a confié au Figaro être prêt à réduire sa rémunération si la loi instaurant une taxe à 75% sur les salaires supérieurs à 1 million d’euros est adoptée.
Contre la tendance, Michelin pliait de 0,54% à la clôture du CAC 40, alors que Credit Suisse a passé le titre de "surperformance" à "neutre" avec un objectif de cours ramené de 70 à 60 euros.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 engrangeait 2,56%, tandis que le DAX s'octroyait 2,28% et le Footsie 100 gagnait 1,20%.
Autre information de la journée, l’Italie a adjugé pour 11 milliards d’euros de bons du Trésor à trois mois et un an à des rendements en baisse.
Celui du papier à 3 mois ressort à 0,24%, contre 0,77% en octobre dernier, et celui de l’échéance 2014 recule à 0,92%, au plus bas depuis janvier, contre 1,28% le mois dernier.