Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris a clôturé en hausse de 0,22% jeudi, suivant la publication d'indicateurs mitigés en provenance des Etats-Unis et de la Chine ainsi qu'une adjudication espagnole réussie.
Sur le front macroéconomique, les inscriptions au chômage ont augmenté de 46.000 à 388.000 aux Etats-Unis la semaine dernière, là où le consensus Thomson Reuters tablait sur 365.000 demandes.
L’indice d’activité de la Fed de Philadelphie est remonté à 5,7 points en octobre, au plus haut depuis avril, contre -1,9 le mois précédent et 1 points anticipé.
Le PIB de la Chine a enregistré une croissance de 7,4% sur un an au troisième trimestre, soit le rythme le plus faible depuis les trois premiers mois de 2009, mais ce chiffre est néanmoins conforme aux attentes.
Les données concernant la production industrielle (+9,2% après +8,9% en août) et les ventes au détail (+14,2% après 13,2%) sont ressorties légèrement au-dessus du consensus, renforçant ainsi le sentiment que la croissance chinoise est en voie amélioration.
Par ailleurs, Madrid a adjugé pour 4,61 milliards d’euros d’obligations à moyen-long terme, contre 4,5 milliards prévus, à des rendements en baisse. Celui du papier à trois ans se détend à 3,22%, contre 3,67% précédemment, celui de l’obligation 2016 diminue à 3,97% contre 4,60%, et celui de l’emprunt 2022 ressort à 5,45%, contre 5,66%.
Du côté des valeurs, Pernod Ricard restait en forte baisse en fin de séance. Le titre abandonnait 2,88% à la fermeture du marché, dans le sillage de Rémy Cointreau, qui a accusé un net ralentissement de son chiffre d’affaires du deuxième trimestre à 324,1 millions d’euros, soit une croissance organique de 5,3%, après +24,4% au premier.
Egalement dans le rouge, Danone reculait de 0,50% en fin de séance, alors que le suisse Nestlé a fait état d'un ralentissement plus marqué que prévu de sa croissance organique sur les neuf premiers mois de l'année.
A l'inverse, Alcatel-Lucent engrangeait 7,62%, à la clôture du CAC 40, au lendemain de l’annonce d’un important contrat en Chine.
Selon Reuters, l'équipementier télécoms prévoit par ailleurs de supprimer près de 1.500 emplois en France dans le cadre d'un vaste plan de restructuration mondial incluant au total 5.490 réductions d'effectifs.
Dans le secteur automobile, Renault s'octroyait 2,53% en fin de journée, alors que Bernstein juge l’action incroyablement bon marché au regard d’un bilan solide, de sa diversification géographique et d’actifs attrayants, comme sa participation de 44% dans Nissan.
Quant aux valeurs financières, elles sont repassées dans le vert en fin de séance. BNP Paribas s'appréciait de 0,10% à la clôture, tandis que Société Générale grimpait de 2,41% et Crédit Agricole s'octroyait 1,72%.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 avançait de 0,18%, le DAX gagnait 0,57% et le Footsie 100 prenait 0,09%.
Sur le front macroéconomique, les inscriptions au chômage ont augmenté de 46.000 à 388.000 aux Etats-Unis la semaine dernière, là où le consensus Thomson Reuters tablait sur 365.000 demandes.
L’indice d’activité de la Fed de Philadelphie est remonté à 5,7 points en octobre, au plus haut depuis avril, contre -1,9 le mois précédent et 1 points anticipé.
Le PIB de la Chine a enregistré une croissance de 7,4% sur un an au troisième trimestre, soit le rythme le plus faible depuis les trois premiers mois de 2009, mais ce chiffre est néanmoins conforme aux attentes.
Les données concernant la production industrielle (+9,2% après +8,9% en août) et les ventes au détail (+14,2% après 13,2%) sont ressorties légèrement au-dessus du consensus, renforçant ainsi le sentiment que la croissance chinoise est en voie amélioration.
Par ailleurs, Madrid a adjugé pour 4,61 milliards d’euros d’obligations à moyen-long terme, contre 4,5 milliards prévus, à des rendements en baisse. Celui du papier à trois ans se détend à 3,22%, contre 3,67% précédemment, celui de l’obligation 2016 diminue à 3,97% contre 4,60%, et celui de l’emprunt 2022 ressort à 5,45%, contre 5,66%.
Du côté des valeurs, Pernod Ricard restait en forte baisse en fin de séance. Le titre abandonnait 2,88% à la fermeture du marché, dans le sillage de Rémy Cointreau, qui a accusé un net ralentissement de son chiffre d’affaires du deuxième trimestre à 324,1 millions d’euros, soit une croissance organique de 5,3%, après +24,4% au premier.
Egalement dans le rouge, Danone reculait de 0,50% en fin de séance, alors que le suisse Nestlé a fait état d'un ralentissement plus marqué que prévu de sa croissance organique sur les neuf premiers mois de l'année.
A l'inverse, Alcatel-Lucent engrangeait 7,62%, à la clôture du CAC 40, au lendemain de l’annonce d’un important contrat en Chine.
Selon Reuters, l'équipementier télécoms prévoit par ailleurs de supprimer près de 1.500 emplois en France dans le cadre d'un vaste plan de restructuration mondial incluant au total 5.490 réductions d'effectifs.
Dans le secteur automobile, Renault s'octroyait 2,53% en fin de journée, alors que Bernstein juge l’action incroyablement bon marché au regard d’un bilan solide, de sa diversification géographique et d’actifs attrayants, comme sa participation de 44% dans Nissan.
Quant aux valeurs financières, elles sont repassées dans le vert en fin de séance. BNP Paribas s'appréciait de 0,10% à la clôture, tandis que Société Générale grimpait de 2,41% et Crédit Agricole s'octroyait 1,72%.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 avançait de 0,18%, le DAX gagnait 0,57% et le Footsie 100 prenait 0,09%.