Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris a clôturé sur une hausse de 0,85% mardi, soutenu par la publication de statistiques particulièrement positives en provenance de la zone euro, tandis que les investisseurs restaient concentrés sur la réunion mensuelle de la Réserve fédérale américaine cette semaine.
Les inquiétudes au sujet de l'Italie se sont légèrement apaisées après que le président du conseil italien Mario Monti a déclaré, plus tôt, qu’il souhaitait conserver un rôle d’influence quelque soit le poste qu’il occupera à l’issue des élections législatives prévues en février.
Monti avait annoncé samedi qu’il démissionnera de son poste de chef du gouvernement une fois le budget 2013 adopté. Un vote est attendu avant Noël.
Sur le front des statistiques, le déficit commercial des Etats-Unis s’est creusé à 42,24 milliards de dollars en octobre, contre 40,28 milliards en septembre et 42,6 milliards anticipés par le consensus Thomson Reuters.
En Europe, l’indice ZEW de confiance des investisseurs et analystes allemands a rebondi à 6,9 points en décembre, repassant ainsi en territoire positif pour la première fois depuis mai dernier, après -15,7 en novembre. Le consensus établi par Bloomberg tablait sur une amélioration nettement moins marquée à -11,7.
Du côté des valeurs, Veolia Environnement restait en tête de l'indice parisien, en fin de séance. Le titre bondissait de 5,89% à la clôture, dans le sillage de Suez Environnement, pour lequel Exane BNP Paribas a revu favorablement son opinion en passant de "neutre" à "surperformance".
Egalement dans le vert, ArcelorMittal gagnait 2,16% à la fermeture du marché, après que le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, a déclaré au Parisien que l’accord conclu entre le gouvernement et le sidérurgiste pour le site de Florange est une solution "acceptable" pour son syndicat.
Dans le secteur automobile, Peugeot s'octroyait 3,71% en fin de journée, alors que le groupe tenait mardi matin un comité central d’entreprise au cours duquel le cabinet Secafi devait remettre son rapport final.
Selon l'AFP, quatre organisations (VFE-CGC, FO, la CFTC et GSEA) ont déclaré ne pas cautionner l’ampleur de la restructuration prévue par le constructeur et qu’elles y apporteront un avis défavorable.
Quant aux valeurs financières, elles ont terminé la journée en ordre dispersé, alors que la Grèce a prolongé jusqu’à ce mardi 13h00 (heure de Paris) l’offre de rachat de sa propre dette auprès des créanciers privés. En fin de séance, BNP Paribas cédait 0,05% et Crédit Agricole pliait de 1,19%, tandis que Société Générale grimpait de 1,27%.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 s'octroyait 1,02%, le DAX gagnait 0,76% et le Footsie 100 s'appréciait de 0,01%.
Autre information de la journée, l'Espagne a adjugé pour 3,89 milliards d’euros de bons du Trésor à 12 et 18 mois, soit plus que le maximum de 3,5 milliards visé, à des rendements en baisse.
Celui du papier à un an se détend à 2,556%, contre 2,797%, et celui de l’emprunt à 18 mois diminue à 2,778%, contre 3,034%.
Les inquiétudes au sujet de l'Italie se sont légèrement apaisées après que le président du conseil italien Mario Monti a déclaré, plus tôt, qu’il souhaitait conserver un rôle d’influence quelque soit le poste qu’il occupera à l’issue des élections législatives prévues en février.
Monti avait annoncé samedi qu’il démissionnera de son poste de chef du gouvernement une fois le budget 2013 adopté. Un vote est attendu avant Noël.
Sur le front des statistiques, le déficit commercial des Etats-Unis s’est creusé à 42,24 milliards de dollars en octobre, contre 40,28 milliards en septembre et 42,6 milliards anticipés par le consensus Thomson Reuters.
En Europe, l’indice ZEW de confiance des investisseurs et analystes allemands a rebondi à 6,9 points en décembre, repassant ainsi en territoire positif pour la première fois depuis mai dernier, après -15,7 en novembre. Le consensus établi par Bloomberg tablait sur une amélioration nettement moins marquée à -11,7.
Du côté des valeurs, Veolia Environnement restait en tête de l'indice parisien, en fin de séance. Le titre bondissait de 5,89% à la clôture, dans le sillage de Suez Environnement, pour lequel Exane BNP Paribas a revu favorablement son opinion en passant de "neutre" à "surperformance".
Egalement dans le vert, ArcelorMittal gagnait 2,16% à la fermeture du marché, après que le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, a déclaré au Parisien que l’accord conclu entre le gouvernement et le sidérurgiste pour le site de Florange est une solution "acceptable" pour son syndicat.
Dans le secteur automobile, Peugeot s'octroyait 3,71% en fin de journée, alors que le groupe tenait mardi matin un comité central d’entreprise au cours duquel le cabinet Secafi devait remettre son rapport final.
Selon l'AFP, quatre organisations (VFE-CGC, FO, la CFTC et GSEA) ont déclaré ne pas cautionner l’ampleur de la restructuration prévue par le constructeur et qu’elles y apporteront un avis défavorable.
Quant aux valeurs financières, elles ont terminé la journée en ordre dispersé, alors que la Grèce a prolongé jusqu’à ce mardi 13h00 (heure de Paris) l’offre de rachat de sa propre dette auprès des créanciers privés. En fin de séance, BNP Paribas cédait 0,05% et Crédit Agricole pliait de 1,19%, tandis que Société Générale grimpait de 1,27%.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 s'octroyait 1,02%, le DAX gagnait 0,76% et le Footsie 100 s'appréciait de 0,01%.
Autre information de la journée, l'Espagne a adjugé pour 3,89 milliards d’euros de bons du Trésor à 12 et 18 mois, soit plus que le maximum de 3,5 milliards visé, à des rendements en baisse.
Celui du papier à un an se détend à 2,556%, contre 2,797%, et celui de l’emprunt à 18 mois diminue à 2,778%, contre 3,034%.