Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris a clôturé sur une hausse de 0,48% jeudi, soutenu par des commentaires plutôt rassurants de la part du président de la Banque centrale européenne, Mario Draghi, prononcés lors de sa conférence de presse mensuelle.
En effet, Mario Draghi a déclaré que la politique monétaire est appropriée et qu’elle restera accommodante aussi longtemps que nécessaire. Et d'ajouter que les indicateurs disponibles suggèrent que l’économie de la zone euro devrait commencer à se stabiliser au cours du premier semestre, avant de se reprendre progressivement dans le courant de l’année.
Ces commentaires sont intervenus après que la BCE a annoncé le maintien du taux refi à 0,75%, au plus bas depuis la création de l'euro.
Par ailleurs, dans ses projections, la banque centrale a dit tabler sur une inflation comprise entre 1,2% et 2% cette année et entre 0,6% et 2% en 2014. Concernant la croissance, elle anticipe une évolution du PIB de la zone euro comprise entre -0,9% et -0,1% en 2013, et entre 0% et +2% en 2014.
Sur le front des statistiques, les inscriptions au chômage ont diminué de 7.000 à 340.000 la semaine dernière aux Etats-Unis, atteignant leur niveau le plus bas depuis le 19 janvier, alors que le consensus tablait sur une hausse à 355.000. En revanche, le déficit commercial américain s’est creusé à 44,45 milliards de dollars en janvier, contre 38,14 milliards le mois précédent.
En Allemagne, les commandes à l’industrie ont reculé de 1,9% en janvier, là où le marché tablait sur une hausse de 0,5%.
Par ailleurs, le taux de chômage a augmenté de 0,3 point à 10,2% de la population active en France métropolitaine au quatrième trimestre. Il atteint 10,6% avec les départements d’outre-mer. Le déficit commercial de la France s’est creusé à 5,862 milliards d’euros en janvier, contre 5,418 milliards en décembre.
Du côté des valeurs, Carrefour est resté en tête de l'indice parisien, en fin de séance. Le titre engrangeait 3,32% à la clôture, après avoir annoncé un bénéfice net en forte hausse à 1,23 milliard d’euros, gonflé par des plus-values de cession en Colombie, en Indonésie et en Malaisie, contre 371 millions en 2011.
Le chiffre d’affaires a augmenté de 0,9% à 76,8 milliards.
Saint-Gobain restait également en forte hausse et bondissait de 2,90% à la fermeture du marché, alors que le fabricant de matériel de construction a cédé ses activités tubes et fondations en PVC à l’américain Westlake pour 136 millions d’euros.
Dans le secteur automobile, Renault a effacé ses gains de première moitié de séance et abandonnait 0,64% en fin de journée. Les syndicats CFE-CGC et Force Ouvrière ont annoncé, mercredi, leur intention de signer l’accord de compétitivité, qui prévoit la suppression de 7.500 postes à l’horizon 2016 et le gel des salaires cette année.
Quant aux banques, elles évoluaient en baisse, à la clôture du CAC 40. BNP Paribas perdait 0,42%, tandis que Crédit Agricole et Société Générale reculaient de 0,37% et de 0,56% progressivement.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,40%, le DAX s'appréciait de 0,23% et le Footsie 100 avançait de 0,18%.
Autre information de la journée, l'Espagne a émis pour 5 milliards d’euros d’obligations à long terme, soit le haut de la fourchette visée, à des rendements en baisse.
De son côté, la France a adjugé pour 7,48 milliards d’euros d’obligations, soit le maximum prévu, à des rendements également en baisse.
En effet, Mario Draghi a déclaré que la politique monétaire est appropriée et qu’elle restera accommodante aussi longtemps que nécessaire. Et d'ajouter que les indicateurs disponibles suggèrent que l’économie de la zone euro devrait commencer à se stabiliser au cours du premier semestre, avant de se reprendre progressivement dans le courant de l’année.
Ces commentaires sont intervenus après que la BCE a annoncé le maintien du taux refi à 0,75%, au plus bas depuis la création de l'euro.
Par ailleurs, dans ses projections, la banque centrale a dit tabler sur une inflation comprise entre 1,2% et 2% cette année et entre 0,6% et 2% en 2014. Concernant la croissance, elle anticipe une évolution du PIB de la zone euro comprise entre -0,9% et -0,1% en 2013, et entre 0% et +2% en 2014.
Sur le front des statistiques, les inscriptions au chômage ont diminué de 7.000 à 340.000 la semaine dernière aux Etats-Unis, atteignant leur niveau le plus bas depuis le 19 janvier, alors que le consensus tablait sur une hausse à 355.000. En revanche, le déficit commercial américain s’est creusé à 44,45 milliards de dollars en janvier, contre 38,14 milliards le mois précédent.
En Allemagne, les commandes à l’industrie ont reculé de 1,9% en janvier, là où le marché tablait sur une hausse de 0,5%.
Par ailleurs, le taux de chômage a augmenté de 0,3 point à 10,2% de la population active en France métropolitaine au quatrième trimestre. Il atteint 10,6% avec les départements d’outre-mer. Le déficit commercial de la France s’est creusé à 5,862 milliards d’euros en janvier, contre 5,418 milliards en décembre.
Du côté des valeurs, Carrefour est resté en tête de l'indice parisien, en fin de séance. Le titre engrangeait 3,32% à la clôture, après avoir annoncé un bénéfice net en forte hausse à 1,23 milliard d’euros, gonflé par des plus-values de cession en Colombie, en Indonésie et en Malaisie, contre 371 millions en 2011.
Le chiffre d’affaires a augmenté de 0,9% à 76,8 milliards.
Saint-Gobain restait également en forte hausse et bondissait de 2,90% à la fermeture du marché, alors que le fabricant de matériel de construction a cédé ses activités tubes et fondations en PVC à l’américain Westlake pour 136 millions d’euros.
Dans le secteur automobile, Renault a effacé ses gains de première moitié de séance et abandonnait 0,64% en fin de journée. Les syndicats CFE-CGC et Force Ouvrière ont annoncé, mercredi, leur intention de signer l’accord de compétitivité, qui prévoit la suppression de 7.500 postes à l’horizon 2016 et le gel des salaires cette année.
Quant aux banques, elles évoluaient en baisse, à la clôture du CAC 40. BNP Paribas perdait 0,42%, tandis que Crédit Agricole et Société Générale reculaient de 0,37% et de 0,56% progressivement.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,40%, le DAX s'appréciait de 0,23% et le Footsie 100 avançait de 0,18%.
Autre information de la journée, l'Espagne a émis pour 5 milliards d’euros d’obligations à long terme, soit le haut de la fourchette visée, à des rendements en baisse.
De son côté, la France a adjugé pour 7,48 milliards d’euros d’obligations, soit le maximum prévu, à des rendements également en baisse.