Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris a clôturé sur une hausse de 0,63% mercredi, soutenu notamment par les valeurs technologiques, alors que les signes d'un rebond économique en Chine continuaient de prendre le pas sur une série d'indicateurs décevants en provenance de la zone euro.
L'activité manufacturière en Chine a continué à se contracter en octobre, mais à un rythme moindre, l'indice PMI des directeurs d'achat atteignant 49,1, contre 47,9 en septembre, selon une estimation provisoire de la banque HSBC. Les nouvelles commandes, notamment, ont atteint leur plus haut niveau en six mois.
Dans la zone euro, l’indice PMI Markit Composite a reculé de 0,3 points à 45,8 en octobre, un plus bas de 40 mois. En Allemagne, l’institut Ifo a annoncé un sixième repli consécutif de son indice du climat des affaires en octobre à 100 points, contre 1041,4 en septembre et 101,5 anticipés par le marché.
Aux Etats-Unis, les ventes de logements neufs ont progressé de 5,7% à 389.000 unités en rythme annualisé en septembre, le plus élevé depuis septembre deux ans, contre 373.000 en août et 385.000 anticipées par le consensus Thomson Reuters.
L’activité manufacturière s’est par ailleurs légèrement accentuée dans le pays en octobre, l’indice préliminaire établi par Markit ressortant à 51,3, après 51,1 en septembre.
Du côté des valeurs, STMicroelectronics restait en tête de l'indice parisien, en fin de séance. Le titre engrangeait 3,85% à la clôture, après que le directeur général Carlo Bozzoti a déclaré qu’il n’avait pas l’intention de scinder ses activités dans le cadre du plan stratégique qui sera présenté en décembre.
Mardi soir, le groupe a fait état d’une hausse de 0,9% de son chiffre d’affaires à 2,17 milliards de dollars au troisième trimestre par rapport au deuxième. Il a également annoncé un nouveau plan d’économies de 150 millions de dollars par an à compter de la fin 2013.
Egalement dans le vert, Capgemini s'octroyait 2,51% en fin de séance, dans le sillage du groupe allemand SAP, qui a relevé sa prévision de chiffre d’affaires annuel après l’acquisition d’Ariba, spécialisé dans le cloud computing.
Michelin gagnait aussi du terrain après que JPMorgan a relevé son objectif de cours sur le titre du fabricant de pneumatiques de 59 à 62 euros tout en maintenant son opinion à "sous-pondérer". Le titre prenait 1,19% à la fermeture du marché.
A l'inverse, les constructeurs automobiles ont pâti de l'annonce par le groupe allemand Volkswagen d'une baisse de son résultat opérationnel à fin septembre, tandis que les résultats de Volvo, qui tablait sur une stagnation du marché des poids lourds en 2013, ont chuté. Renault cédait 0,11% en fin de journée et Peugeot pliait de 3,54%.
Peugeot a annoncé, par ailleurs, que le pool bancaire de Banque PSA Finance avait été sollicité pour mettre 11,5 milliards d’euros à disposition. Il a ajouté que l’Etat a l’intention d’apporter sa garantie de refinancement pour des émissions obligataires jusqu’à un montant de 7 milliards d’euros.
Le groupe a également fait état d’une baisse de 3,9% de son chiffre d’affaires à 12,93 milliards d’euros au troisième trimestre et confirmé viser l’équilibre en 2014.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 s'adjugeait 0,47%, le DAX avançait de 0,25% et le Footsie 100 s'appréciait de 0,13%.
Autre événement de la journée: le ministre grec des Finances Yiannis Stournaras a annoncé que les créditeurs internationaux de la Grèce lui ont accordé un délai supplémentaire pour atteindre ses objectifs budgétaires.
L'activité manufacturière en Chine a continué à se contracter en octobre, mais à un rythme moindre, l'indice PMI des directeurs d'achat atteignant 49,1, contre 47,9 en septembre, selon une estimation provisoire de la banque HSBC. Les nouvelles commandes, notamment, ont atteint leur plus haut niveau en six mois.
Dans la zone euro, l’indice PMI Markit Composite a reculé de 0,3 points à 45,8 en octobre, un plus bas de 40 mois. En Allemagne, l’institut Ifo a annoncé un sixième repli consécutif de son indice du climat des affaires en octobre à 100 points, contre 1041,4 en septembre et 101,5 anticipés par le marché.
Aux Etats-Unis, les ventes de logements neufs ont progressé de 5,7% à 389.000 unités en rythme annualisé en septembre, le plus élevé depuis septembre deux ans, contre 373.000 en août et 385.000 anticipées par le consensus Thomson Reuters.
L’activité manufacturière s’est par ailleurs légèrement accentuée dans le pays en octobre, l’indice préliminaire établi par Markit ressortant à 51,3, après 51,1 en septembre.
Du côté des valeurs, STMicroelectronics restait en tête de l'indice parisien, en fin de séance. Le titre engrangeait 3,85% à la clôture, après que le directeur général Carlo Bozzoti a déclaré qu’il n’avait pas l’intention de scinder ses activités dans le cadre du plan stratégique qui sera présenté en décembre.
Mardi soir, le groupe a fait état d’une hausse de 0,9% de son chiffre d’affaires à 2,17 milliards de dollars au troisième trimestre par rapport au deuxième. Il a également annoncé un nouveau plan d’économies de 150 millions de dollars par an à compter de la fin 2013.
Egalement dans le vert, Capgemini s'octroyait 2,51% en fin de séance, dans le sillage du groupe allemand SAP, qui a relevé sa prévision de chiffre d’affaires annuel après l’acquisition d’Ariba, spécialisé dans le cloud computing.
Michelin gagnait aussi du terrain après que JPMorgan a relevé son objectif de cours sur le titre du fabricant de pneumatiques de 59 à 62 euros tout en maintenant son opinion à "sous-pondérer". Le titre prenait 1,19% à la fermeture du marché.
A l'inverse, les constructeurs automobiles ont pâti de l'annonce par le groupe allemand Volkswagen d'une baisse de son résultat opérationnel à fin septembre, tandis que les résultats de Volvo, qui tablait sur une stagnation du marché des poids lourds en 2013, ont chuté. Renault cédait 0,11% en fin de journée et Peugeot pliait de 3,54%.
Peugeot a annoncé, par ailleurs, que le pool bancaire de Banque PSA Finance avait été sollicité pour mettre 11,5 milliards d’euros à disposition. Il a ajouté que l’Etat a l’intention d’apporter sa garantie de refinancement pour des émissions obligataires jusqu’à un montant de 7 milliards d’euros.
Le groupe a également fait état d’une baisse de 3,9% de son chiffre d’affaires à 12,93 milliards d’euros au troisième trimestre et confirmé viser l’équilibre en 2014.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 s'adjugeait 0,47%, le DAX avançait de 0,25% et le Footsie 100 s'appréciait de 0,13%.
Autre événement de la journée: le ministre grec des Finances Yiannis Stournaras a annoncé que les créditeurs internationaux de la Grèce lui ont accordé un délai supplémentaire pour atteindre ses objectifs budgétaires.