Investing.com - La Bourse de Paris reculait de 0,78% à mi-séance mardi, effaçant des gains antérieurs alors que la signature d’un accord sur un second paquet de sauvetage pour la Grèce peinait à rassurer les investisseurs.
Les ministres des finances de la zone euro ont approuvé, tôt mardi matin, l'octroi de 130 milliards d'euros à la Grèce, ce qui devrait ramener la dette publique à 120,5% du PIB d'ici à 2020, tandis que les créanciers privés ont accepté une décote de 53,5% sur leurs obligations dans le cadre d'un échange de titres.
Cependant, des doutes demeurent quant aux intentions du futur gouvernement concernant la mise en place des mesures d'austérité, une fois le prêt accordé. Les investisseurs s’inquiètent également de l’absence de perspectives de croissance pour l’économie grecque.
Les banques évoluaient en baisse après l’annonce de l’accord. BNP Paribas perdait 0,40%, Société Générale 0,21% et Crédit Agricole 0,67%.
Du côté des valeurs cycliques, ArcelorMittal abandonnait 2,23% alors qu'UBS a retiré le titre du géant de la sidérurgie de sa liste de valeurs européennes favorites.
L’Oréal perdait également 1,43% après que Citi a dégradé le titre du groupe cosmétique de «achat» à «neutre» alors que le cours s'approche de son objectif de 93 euros après une progression de 11% en trois mois.
Veolia Environnement poursuivait son repli de lundi, affichant une baisse de 1,83% à une semaine d’un conseil d'administration qui devrait attirer beaucoup d’attention, même si Jean-Louis Borloo a récemment démenti les rumeurs selon lesquelles il convoiterait le poste de PDG du groupe.
Enfin, Lafarge cédait 1,34% alors que le groupe a indiqué que des réponses peuvent être apportées aux inquiétudes des autorités britanniques de la concurrence sur son projet de coentreprise avec Anglo American au Royaume-Uni.
Selon Les Echos, les deux groupes se disent confiants dans la logique stratégique de ce rapprochement. Par ailleurs, Deutsche Bank et Natixis ont relevé leurs objectifs de cours sur Lafarge de 33 à 35 euros pour le premier et de 37 à 40 euros pour le second, qui maintient son opinion à «achat».
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 reculait de 0,81%, le DAX abandonnait 0,64% et le Footsie 100 cédait 0,28%.
Les ministres des finances de la zone euro ont approuvé, tôt mardi matin, l'octroi de 130 milliards d'euros à la Grèce, ce qui devrait ramener la dette publique à 120,5% du PIB d'ici à 2020, tandis que les créanciers privés ont accepté une décote de 53,5% sur leurs obligations dans le cadre d'un échange de titres.
Cependant, des doutes demeurent quant aux intentions du futur gouvernement concernant la mise en place des mesures d'austérité, une fois le prêt accordé. Les investisseurs s’inquiètent également de l’absence de perspectives de croissance pour l’économie grecque.
Les banques évoluaient en baisse après l’annonce de l’accord. BNP Paribas perdait 0,40%, Société Générale 0,21% et Crédit Agricole 0,67%.
Du côté des valeurs cycliques, ArcelorMittal abandonnait 2,23% alors qu'UBS a retiré le titre du géant de la sidérurgie de sa liste de valeurs européennes favorites.
L’Oréal perdait également 1,43% après que Citi a dégradé le titre du groupe cosmétique de «achat» à «neutre» alors que le cours s'approche de son objectif de 93 euros après une progression de 11% en trois mois.
Veolia Environnement poursuivait son repli de lundi, affichant une baisse de 1,83% à une semaine d’un conseil d'administration qui devrait attirer beaucoup d’attention, même si Jean-Louis Borloo a récemment démenti les rumeurs selon lesquelles il convoiterait le poste de PDG du groupe.
Enfin, Lafarge cédait 1,34% alors que le groupe a indiqué que des réponses peuvent être apportées aux inquiétudes des autorités britanniques de la concurrence sur son projet de coentreprise avec Anglo American au Royaume-Uni.
Selon Les Echos, les deux groupes se disent confiants dans la logique stratégique de ce rapprochement. Par ailleurs, Deutsche Bank et Natixis ont relevé leurs objectifs de cours sur Lafarge de 33 à 35 euros pour le premier et de 37 à 40 euros pour le second, qui maintient son opinion à «achat».
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 reculait de 0,81%, le DAX abandonnait 0,64% et le Footsie 100 cédait 0,28%.