Investing.com - L’indice-phare de la Bourse de Paris reculait de 0,54% mercredi matin, alors que les inquiétudes au sujet de la croissance mondiale et de la crise de la dette dans la zone euro continuaient de peser sur le marché.
Des craintes subsistaient après que la Cour constitutionnelle allemande a reporté de plusieurs mois, mardi, sa décision sur la compatibilité du Mécanisme européen de Stabilité ave la loi allemande.
Sans décision allemande, le fond européen ne peut être mis en place. Le ministre allemand des Finances Wolfgang Schäuble a lancé un nouvel appel en direction des juges constitutionnels afin qu'ils rendent leur décision le plus tôt possible.
Par ailleurs, les investisseurs attendaient la publication du compte-rendu de la dernière réunion de politique monétaire de la Réserve fédérale. Dans ce rapport, la Fed pourrait donner des indications quant à son intention de rejoindre la vague d'assouplissements engagée par la Banque populaire de Chine, la BCE et la Banque d'Angleterre, la semaine dernière.
Sur le front des statistiques, le déficit courant de la France s'est réduit à 4,1 milliards d'euros en mai, contre 4,4 milliards en avril. En Allemagne, les prix à la consommation ont diminué de 0,1% le mois dernier et augmenté de 1,7% sur un an.
Du côté des valeurs, EADS affichait l’un des plus forts reculs de l’indice parisien, en baisse de 3,90% en milieu de matinée, alors que la France aurait l’intention de moderniser le drone de surveillance Harfang du groupe, actuellement utilisé par l'armée française, au lieu d'opter pour celui proposé par Dassault Aviation, selon Les Echos.
Egalement dans le rouge, la marque de luxe LVMH abandonnait 2,59%, alors que son concurrent britannique Burberry annonçait, plus tôt, un ralentissement de son chiffre d’affaires au premier trimestre. Il a toutefois augmenté de 11% sur un an.
Carrefour a aussi plié de 1,82%, plombé par le recul de 6,3% des ventes du groupe au premier semestre.
Dans le secteur des télécoms, Bouygues perdait 0,89% alors que le PDG du groupe a appelé les parlementaires français à durcir le régime dont bénéficie Free, accusant le nouvel opérateur mobile d'entraîner l'ensemble du secteur dans une spirale "autodestructrice", qui va se traduire par des suppressions d'emplois massives.
Par ailleurs, Vivendi reculait de 0,90% après la publication d’un article du Financial Times selon lequel Universal Music songerait à vendre des actifs et à proposer un "manifeste" pour le rétablissement de la croissance de l'industrie du disque afin de rassurer les autorités de la concurrence, inquiètes de son projet de rachat de la musique enregistrée d'EMI.
Enfin, les banques évoluaient en ordre dispersé, effaçant une partie des gains affichés en début de séance après la publication d’une étude de Standard & Poor's selon laquelle les établissements français figurent parmi les plus solides du monde.
En milieu de matinée, BNP Paribas cédait 0,12%, tandis que Société Générale s’appréciait de 0,34% et Crédit Agricole avançait de 0,14%.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 cédait 0,06%, le DAX grappillait 0,03% et le Footsie 100 perdait 0,13%.
Plus tard dans la journée, le Département américain du Commerce devait publier les chiffres du commerce extérieur du mois de mai, suivis par l'évolution des stocks des grossistes pour le même mois.
La Fed devait publier dans la soirée le compte-rendu de la réunion du conseil de politique monétaire du mois de juin.
Des craintes subsistaient après que la Cour constitutionnelle allemande a reporté de plusieurs mois, mardi, sa décision sur la compatibilité du Mécanisme européen de Stabilité ave la loi allemande.
Sans décision allemande, le fond européen ne peut être mis en place. Le ministre allemand des Finances Wolfgang Schäuble a lancé un nouvel appel en direction des juges constitutionnels afin qu'ils rendent leur décision le plus tôt possible.
Par ailleurs, les investisseurs attendaient la publication du compte-rendu de la dernière réunion de politique monétaire de la Réserve fédérale. Dans ce rapport, la Fed pourrait donner des indications quant à son intention de rejoindre la vague d'assouplissements engagée par la Banque populaire de Chine, la BCE et la Banque d'Angleterre, la semaine dernière.
Sur le front des statistiques, le déficit courant de la France s'est réduit à 4,1 milliards d'euros en mai, contre 4,4 milliards en avril. En Allemagne, les prix à la consommation ont diminué de 0,1% le mois dernier et augmenté de 1,7% sur un an.
Du côté des valeurs, EADS affichait l’un des plus forts reculs de l’indice parisien, en baisse de 3,90% en milieu de matinée, alors que la France aurait l’intention de moderniser le drone de surveillance Harfang du groupe, actuellement utilisé par l'armée française, au lieu d'opter pour celui proposé par Dassault Aviation, selon Les Echos.
Egalement dans le rouge, la marque de luxe LVMH abandonnait 2,59%, alors que son concurrent britannique Burberry annonçait, plus tôt, un ralentissement de son chiffre d’affaires au premier trimestre. Il a toutefois augmenté de 11% sur un an.
Carrefour a aussi plié de 1,82%, plombé par le recul de 6,3% des ventes du groupe au premier semestre.
Dans le secteur des télécoms, Bouygues perdait 0,89% alors que le PDG du groupe a appelé les parlementaires français à durcir le régime dont bénéficie Free, accusant le nouvel opérateur mobile d'entraîner l'ensemble du secteur dans une spirale "autodestructrice", qui va se traduire par des suppressions d'emplois massives.
Par ailleurs, Vivendi reculait de 0,90% après la publication d’un article du Financial Times selon lequel Universal Music songerait à vendre des actifs et à proposer un "manifeste" pour le rétablissement de la croissance de l'industrie du disque afin de rassurer les autorités de la concurrence, inquiètes de son projet de rachat de la musique enregistrée d'EMI.
Enfin, les banques évoluaient en ordre dispersé, effaçant une partie des gains affichés en début de séance après la publication d’une étude de Standard & Poor's selon laquelle les établissements français figurent parmi les plus solides du monde.
En milieu de matinée, BNP Paribas cédait 0,12%, tandis que Société Générale s’appréciait de 0,34% et Crédit Agricole avançait de 0,14%.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 cédait 0,06%, le DAX grappillait 0,03% et le Footsie 100 perdait 0,13%.
Plus tard dans la journée, le Département américain du Commerce devait publier les chiffres du commerce extérieur du mois de mai, suivis par l'évolution des stocks des grossistes pour le même mois.
La Fed devait publier dans la soirée le compte-rendu de la réunion du conseil de politique monétaire du mois de juin.