Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture positive ce mardi, les chargés des finances de l'Europe ayant ratifié les termes d'un accord de sauvetage de la finance espagnole, tandis que les yeux se tournaient vers la poursuite des négociations se déroulant aujourd'hui.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.43%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.35% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.39%.
La réunino des ministres des finances de l'Union Européenne était guettée avec impatience, après que leurs collègues du bloc euro soient tombés d'accord hier pour fournir 30 milliards d'euros d'ici le fin du mois au secteur bancaire espagnol, en pleine déliquescence, tout en approuvant l'idée de reporter d'un an l'échéance à laquelle Madrid aura dû réduire ses déficits, lui laissant ainsi jusqu'à 2014.
Aucune avancée ne semblait toutefois avoir eu lieu du côté de la mise en place d'interventions des fonds de secours sur les marchés obligataires afin de juguler l'envolée des coûts des emprunts de l'Espagne et de l'Italie.
Les bons du trésors à dix ans de la première ont vu leur taux redescendre à 6.9%, demeurant malgré tout dangereusement proche du seuil des 7% largement considéré comme intenable sur le long terme.
L'aluminier Alcoa semblait devoir rester sur le devant de la scène pour la seconde journée d'affilée, après avoir annoncé dans la soirée d'hier des recettes et des énéfices dépassant les espérances, et ce bien que les cours de son cheval de bataille se situent à leur plus bas niveau en deux ans.
L'informatique était aussi sous les feux de l'actualité, alors que des bruits affirmaient que Google serait proche de trouver un arrangement à hauteur de 22.5 millions d'USD afin de faire abandonner les poursuites selon lesquelles il aurait contourné les réglages protégeant la vie privée des utilisateurs du navigateur Safari d'Apple, lequel a grignoté 0.29% à la pré-ouverture.
Intel a par contre dérapé de 1.07% dans le même temps, après qu'il ait été rapporté qu'il comptait dépenser plus de 4 milliards d'USD pour acquérir jusqu'à 15% d'ASML, et d'alimenter en fonds les recherches de la compagnie néerlandaise afin de lui faire effectuer le coûteux défrichage de nouvelles technologies de fabrication de microprocesseurs.
Parmi les entreprises faisant l'actualité, Hawker Beechcraft, constructeur d'avions en faillite, a déclaré être en négociations exclusives avec un collègue chinois peu connu, visant une reprise se montant à 1.79 milliards d'USD.
United Technologies a pour sa part révélé que sa branche Sikorsky Aircraft avait signé un contrat quinquennal à hauteur de 8.5 milliards d'USD afin de fournir 653 hélicoptères H-60 Blackhawk et Seahawk à l'armée et la marine des Etats-Unis.
Du côté des banques, Wall Street avait toutes les chances de suivre le chemin tracé par le Vieux Continent, en raison de la bouée de sauvetage attribuée à l'Espagne.
Marcus Agius, président de Barclays, devrait pour sa part comparaître devant le parlement britannique à propos de ce qu'il savait du scandale du Libor menaçant une douzaine d'autres acteurs majeurs du secteur.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement en hausse, l'EURO STOXX 50 bondissant de 1.46%, le CAC 40 français de 1.31%, le DAX 30 allemand de 1.46% et le FTSE 100 britannique de 0.9%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait laissé échapper 0.1%, et le Nikkei 225 japonais 0.4%.
Des informations émanant des autorités chinoises avaient montré ce matin que les importations et les exportations nationales avaient nettement ralenti en juin, mettant en relief un net coup de frein de la demande extérieure.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.43%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.35% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.39%.
La réunino des ministres des finances de l'Union Européenne était guettée avec impatience, après que leurs collègues du bloc euro soient tombés d'accord hier pour fournir 30 milliards d'euros d'ici le fin du mois au secteur bancaire espagnol, en pleine déliquescence, tout en approuvant l'idée de reporter d'un an l'échéance à laquelle Madrid aura dû réduire ses déficits, lui laissant ainsi jusqu'à 2014.
Aucune avancée ne semblait toutefois avoir eu lieu du côté de la mise en place d'interventions des fonds de secours sur les marchés obligataires afin de juguler l'envolée des coûts des emprunts de l'Espagne et de l'Italie.
Les bons du trésors à dix ans de la première ont vu leur taux redescendre à 6.9%, demeurant malgré tout dangereusement proche du seuil des 7% largement considéré comme intenable sur le long terme.
L'aluminier Alcoa semblait devoir rester sur le devant de la scène pour la seconde journée d'affilée, après avoir annoncé dans la soirée d'hier des recettes et des énéfices dépassant les espérances, et ce bien que les cours de son cheval de bataille se situent à leur plus bas niveau en deux ans.
L'informatique était aussi sous les feux de l'actualité, alors que des bruits affirmaient que Google serait proche de trouver un arrangement à hauteur de 22.5 millions d'USD afin de faire abandonner les poursuites selon lesquelles il aurait contourné les réglages protégeant la vie privée des utilisateurs du navigateur Safari d'Apple, lequel a grignoté 0.29% à la pré-ouverture.
Intel a par contre dérapé de 1.07% dans le même temps, après qu'il ait été rapporté qu'il comptait dépenser plus de 4 milliards d'USD pour acquérir jusqu'à 15% d'ASML, et d'alimenter en fonds les recherches de la compagnie néerlandaise afin de lui faire effectuer le coûteux défrichage de nouvelles technologies de fabrication de microprocesseurs.
Parmi les entreprises faisant l'actualité, Hawker Beechcraft, constructeur d'avions en faillite, a déclaré être en négociations exclusives avec un collègue chinois peu connu, visant une reprise se montant à 1.79 milliards d'USD.
United Technologies a pour sa part révélé que sa branche Sikorsky Aircraft avait signé un contrat quinquennal à hauteur de 8.5 milliards d'USD afin de fournir 653 hélicoptères H-60 Blackhawk et Seahawk à l'armée et la marine des Etats-Unis.
Du côté des banques, Wall Street avait toutes les chances de suivre le chemin tracé par le Vieux Continent, en raison de la bouée de sauvetage attribuée à l'Espagne.
Marcus Agius, président de Barclays, devrait pour sa part comparaître devant le parlement britannique à propos de ce qu'il savait du scandale du Libor menaçant une douzaine d'autres acteurs majeurs du secteur.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement en hausse, l'EURO STOXX 50 bondissant de 1.46%, le CAC 40 français de 1.31%, le DAX 30 allemand de 1.46% et le FTSE 100 britannique de 0.9%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait laissé échapper 0.1%, et le Nikkei 225 japonais 0.4%.
Des informations émanant des autorités chinoises avaient montré ce matin que les importations et les exportations nationales avaient nettement ralenti en juin, mettant en relief un net coup de frein de la demande extérieure.