Investing.com - Les bourses asiatiques ont vu leur progression s'infléchir, voire se renverser ce mardi, danslecas de celle de Hong Kong et d'Australie, l'optimisme dû aux forts gains enregistrés à Wall Street de dissipant alors que les investisseurs scrutaient une rencontre cruciale entre Angela Merkel, la chancelière allemande, et son homologue français à venir en cours de journée.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong perdait 0.3% et l'ASX/200 australien 0.83%, tandis que le Nikkei 225 japonais prenait 0.23%.
Les actions américaines avaient en effet montré une grande forme hier, le Dow Jones s'envolant de 1.9% après avoir été tiré vers le haut par l'optimisme entourant l'acquisition à hauteur de 12.5 milliards de dollars de Motorola Mobility par Google.
Foxconn International, partenaire de Motorola, a engrangé 12.5% à Hong Kong, déclarant que l'opération serait positive pour ce dernier mais aussi pour son propre compte.
A Séoul, Samsung Electronics, vendeur de téléphones utilisant le système d'exploitation Android de Google, a bondi de 3.85%.
Les valeurs technologiques n'ont pasété en reste, Elpida Memory, fournisseur de puces électroniques, raflant 5.05% et Renesas Electronics 1.85%.
En Australie, la Westpac Banking Corporation a dérapé de 4.35% après avoir avoué une baisse de 2% de ses bénéfices nets du troisième trimestre.
La déception résultante a pesé sur le reste du secteur, la National Australia Bank chutant de 1.5 et la Commonwealth Bank of Australia de 1.15%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement morose alors que les observateurs économiques attendaient avec impatience l'entretien entre Angela Merkel et Nicolas Sarkozy prévu pour aujourd'hui à Paris.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une baisse de 1.1%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.9%, celles sur le DAX allemand à 1.4% et sur le FTSE 100 britannique à 0.85%.
La zone euro dévoilera aujourd'hui l'évaluation de son PIB ainsi que le solde de son commerce extérieur.
Les autorités américaines feront de même avec le nombre des permis de construire qu'elles ont délivrés et celui des lancements de chantiers, sans oublier les prix à l'import, la production industrielle, indice crucial de santé économique, et le taux d'utilisation des capacités productives.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong perdait 0.3% et l'ASX/200 australien 0.83%, tandis que le Nikkei 225 japonais prenait 0.23%.
Les actions américaines avaient en effet montré une grande forme hier, le Dow Jones s'envolant de 1.9% après avoir été tiré vers le haut par l'optimisme entourant l'acquisition à hauteur de 12.5 milliards de dollars de Motorola Mobility par Google.
Foxconn International, partenaire de Motorola, a engrangé 12.5% à Hong Kong, déclarant que l'opération serait positive pour ce dernier mais aussi pour son propre compte.
A Séoul, Samsung Electronics, vendeur de téléphones utilisant le système d'exploitation Android de Google, a bondi de 3.85%.
Les valeurs technologiques n'ont pasété en reste, Elpida Memory, fournisseur de puces électroniques, raflant 5.05% et Renesas Electronics 1.85%.
En Australie, la Westpac Banking Corporation a dérapé de 4.35% après avoir avoué une baisse de 2% de ses bénéfices nets du troisième trimestre.
La déception résultante a pesé sur le reste du secteur, la National Australia Bank chutant de 1.5 et la Commonwealth Bank of Australia de 1.15%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement morose alors que les observateurs économiques attendaient avec impatience l'entretien entre Angela Merkel et Nicolas Sarkozy prévu pour aujourd'hui à Paris.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une baisse de 1.1%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.9%, celles sur le DAX allemand à 1.4% et sur le FTSE 100 britannique à 0.85%.
La zone euro dévoilera aujourd'hui l'évaluation de son PIB ainsi que le solde de son commerce extérieur.
Les autorités américaines feront de même avec le nombre des permis de construire qu'elles ont délivrés et celui des lancements de chantiers, sans oublier les prix à l'import, la production industrielle, indice crucial de santé économique, et le taux d'utilisation des capacités productives.