Investing.com - Les bourses européennes ont partiellement retrouvé des couleurs ce lundi après-midi, de belles performances régionales ayant éclipsé les résultats manufacturiers chinois contradictoires qui avaient ravivé les incertitudes au sujet du futur de la croissance mondiale.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,36%, le CAC 40 français de 0,47%, et le DAX 30 allemand de 0,23%.
Mais le moral est en effet revenu après qu'il ait été montré que l'indice des directeurs des achats des usines du bloc euro était remonté depuis 47,8 vers 48,3 pour le mois dernier, laissant à penser que le revers de ses industries serait en train de se résorber.
Celui de l'Allemagne suivait un chemin identique, passant des 48,1 d'avril à 49,4 après révision à la hausse des 49,0 évalués au préalable.
Une étude officielle avait d'autre part signalé samedi que l'indice des directeurs des achats du secteur secondaire de la Chine avait frémi depuis 50,6 vers 50,8 pour mai.
Il était cependant à noter à l'aube que son équivalent établi par la banque HSBC subissait dans le même temps une érosion de 49,6 vers 49,2, son pire niveau depuis octobre 2012.
La finance restait en difficulté, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank sombrant respectivement de 1,68 et 0,36%, suivis du français Société Générale avec 0,19%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA chutant de 0,90 et 0,55%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,99 et 1,23%.
Sur le front de l'industrie pharmaceutique, Sanofi s'écroulait de 1,33%, avouant qu'il devrait être malmené par l'échec de son Iniparib lors de la troisième phase des tests cliniques dans le traitement du cancer du poumon.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,19%, bien que le baromètre de l'activité du secteur secondaire britannique soit grimpé jusqu'à 51,3, soulignant sa plus forte progression en 14 mois.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient encore en forme, le mastodonte minier Rio Tinto frémissant de 0,84% le poids lourd des hydrocarbures Anglo American suivant le même chemin avec 0,88%, tandis que Tullow Oil s'élevait de 2,43%.
Polymetal bondissait carrément de 2,64% après quue JP Morgan en ait remonté son appréciation depuis la neutralité vers la bienveillance, invoquant les évolution des cours et de la production.
La City suivait toujours le chemin tracé sur le continent, Lloyds Banking trébuchait de 0,02%, et Barclays de 0,10%, HSBC Holdings et la Royal Bank of Scotland se retrouvant lanternes rouges avec 0,29 et 1,32%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,37%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,25%, et celles sur le Nasdaq 100 à 0,19%.
Il a aussi été montré ce matin que le baromètre de l'activité des industries de l'Espagne était remonté depuis 44,7 jusqu'à 48,1, dépassant largement les 45,5 espérés.
L'institut de gestion des approvisionnements conclura de son côté la journée avec son baromètre de l'activité des industries des Etats-Unis.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,36%, le CAC 40 français de 0,47%, et le DAX 30 allemand de 0,23%.
Mais le moral est en effet revenu après qu'il ait été montré que l'indice des directeurs des achats des usines du bloc euro était remonté depuis 47,8 vers 48,3 pour le mois dernier, laissant à penser que le revers de ses industries serait en train de se résorber.
Celui de l'Allemagne suivait un chemin identique, passant des 48,1 d'avril à 49,4 après révision à la hausse des 49,0 évalués au préalable.
Une étude officielle avait d'autre part signalé samedi que l'indice des directeurs des achats du secteur secondaire de la Chine avait frémi depuis 50,6 vers 50,8 pour mai.
Il était cependant à noter à l'aube que son équivalent établi par la banque HSBC subissait dans le même temps une érosion de 49,6 vers 49,2, son pire niveau depuis octobre 2012.
La finance restait en difficulté, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank sombrant respectivement de 1,68 et 0,36%, suivis du français Société Générale avec 0,19%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA chutant de 0,90 et 0,55%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,99 et 1,23%.
Sur le front de l'industrie pharmaceutique, Sanofi s'écroulait de 1,33%, avouant qu'il devrait être malmené par l'échec de son Iniparib lors de la troisième phase des tests cliniques dans le traitement du cancer du poumon.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,19%, bien que le baromètre de l'activité du secteur secondaire britannique soit grimpé jusqu'à 51,3, soulignant sa plus forte progression en 14 mois.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient encore en forme, le mastodonte minier Rio Tinto frémissant de 0,84% le poids lourd des hydrocarbures Anglo American suivant le même chemin avec 0,88%, tandis que Tullow Oil s'élevait de 2,43%.
Polymetal bondissait carrément de 2,64% après quue JP Morgan en ait remonté son appréciation depuis la neutralité vers la bienveillance, invoquant les évolution des cours et de la production.
La City suivait toujours le chemin tracé sur le continent, Lloyds Banking trébuchait de 0,02%, et Barclays de 0,10%, HSBC Holdings et la Royal Bank of Scotland se retrouvant lanternes rouges avec 0,29 et 1,32%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,37%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,25%, et celles sur le Nasdaq 100 à 0,19%.
Il a aussi été montré ce matin que le baromètre de l'activité des industries de l'Espagne était remonté depuis 44,7 jusqu'à 48,1, dépassant largement les 45,5 espérés.
L'institut de gestion des approvisionnements conclura de son côté la journée avec son baromètre de l'activité des industries des Etats-Unis.