Investing.com - Les bourses européennes restaient sur la défensive ce mardi après-midi, après la diffusion d'un baromètre inquiétant du moral économique germanique, l'ambiance se trouvant toujours plombée par la renouvellement des inquiétudes au sujet de la Grèce.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.41%, le CAC 40 français de 0.54%, et le DAX 30 allemand de 0.82%.
Le centre d'études sur l'économie ZEW avait en effet déclaré dans la matinée que son indice de la confiance économique de l'Allemagne était tombé de -11.5 à -15.7 pour novembre, alors qu'une remontée à -9.8 était espérée.
Les membres de l'Eurogroupe et le Fonds Monétaire International n'avaient déjà pas réussi à se mettre d'accord hier sur un plan de réduction à long terme des dettes grecques, bloquant du même coup l'attribution des aides d'urgence.
Ils ont laissé à Athènes jusqu'à 2016 pour réduire son déficit à 20% du produit intérieur brut, mais ont repoussé jusqu'au 20 novembre toute prise de décision concernant une somme qui pourrait atteindre 32.6 milliards d'euros dont elle a besoin, tout en entretenant le flou sur la poursuite de la participation du FMI.
E.ON AG, géant germanique de l'électricité et du gaz, voyait son effondrement se prolonger à 11.42% après avoir déploré un passage à des pertes nettes au troisième trimestre, en raisn de frais importants dûs à l'inactivité des centrales à travers toute l'Europe, la faible demande ayant tiré les prix de gros au plus bas.
Mais la finance redressait par contre la tête, notamment à la périphérie, les italiens Unicredit et Intesa sanpaolo grimpant respectivement de 1.96 et 3.02%, tandis que les espagnols BBVA et Banco santander leur emboîtaient le pas de 1 et 0.68%.
Il en était de même parmi les plus grosses puissances régionales, les français BNP Paribas et Société Générale grignotant 0.03 et 0.08%, suivis l'allemand Deutsche Bank avec 0.54%.
A Londres, le FTSE 100, chargé en produits bruts, a glissé de 0.49%, handicapé par le pétrole et les mines, tandis que des chiffres montraient une inflation des prix à la consommation supérieure aux attentes pour le mois dernier.
Eurasian Natural Resources demeurait en difficulté en dévissant de 1.28%, imité par les cuivriers Xstrata et Kazakhmys avec 0.75 et 1.35%.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, n'était pas mieux loti avec une dégringolade de 3.12%, son rival BP limitant les dégâts à 0.77%.
La City évoluait en grande partie conformément à la tendance, HCBS Holdings se rétractant de 0.15%, la Royal Bank of Scotland de 0.62%, et Barclays de 1.17, tandis que Lloyds Banking nageait à contre-courant avec un sursaut de 0.78%.
Vodafone dérapait de 4.44% dans le même temps suite à l'aveu d'un chiffre d'affaires nominal de es services inférieur aux espérances, et au rabaissement de 9.3 milliards d'USD de la valeur de ses opérations en Espagne et en Italie, lui faisant subir des pertes sèches au premier semestre fiscal.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.41%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.52% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.67%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le solde officiel de leur budget fédéral.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.41%, le CAC 40 français de 0.54%, et le DAX 30 allemand de 0.82%.
Le centre d'études sur l'économie ZEW avait en effet déclaré dans la matinée que son indice de la confiance économique de l'Allemagne était tombé de -11.5 à -15.7 pour novembre, alors qu'une remontée à -9.8 était espérée.
Les membres de l'Eurogroupe et le Fonds Monétaire International n'avaient déjà pas réussi à se mettre d'accord hier sur un plan de réduction à long terme des dettes grecques, bloquant du même coup l'attribution des aides d'urgence.
Ils ont laissé à Athènes jusqu'à 2016 pour réduire son déficit à 20% du produit intérieur brut, mais ont repoussé jusqu'au 20 novembre toute prise de décision concernant une somme qui pourrait atteindre 32.6 milliards d'euros dont elle a besoin, tout en entretenant le flou sur la poursuite de la participation du FMI.
E.ON AG, géant germanique de l'électricité et du gaz, voyait son effondrement se prolonger à 11.42% après avoir déploré un passage à des pertes nettes au troisième trimestre, en raisn de frais importants dûs à l'inactivité des centrales à travers toute l'Europe, la faible demande ayant tiré les prix de gros au plus bas.
Mais la finance redressait par contre la tête, notamment à la périphérie, les italiens Unicredit et Intesa sanpaolo grimpant respectivement de 1.96 et 3.02%, tandis que les espagnols BBVA et Banco santander leur emboîtaient le pas de 1 et 0.68%.
Il en était de même parmi les plus grosses puissances régionales, les français BNP Paribas et Société Générale grignotant 0.03 et 0.08%, suivis l'allemand Deutsche Bank avec 0.54%.
A Londres, le FTSE 100, chargé en produits bruts, a glissé de 0.49%, handicapé par le pétrole et les mines, tandis que des chiffres montraient une inflation des prix à la consommation supérieure aux attentes pour le mois dernier.
Eurasian Natural Resources demeurait en difficulté en dévissant de 1.28%, imité par les cuivriers Xstrata et Kazakhmys avec 0.75 et 1.35%.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, n'était pas mieux loti avec une dégringolade de 3.12%, son rival BP limitant les dégâts à 0.77%.
La City évoluait en grande partie conformément à la tendance, HCBS Holdings se rétractant de 0.15%, la Royal Bank of Scotland de 0.62%, et Barclays de 1.17, tandis que Lloyds Banking nageait à contre-courant avec un sursaut de 0.78%.
Vodafone dérapait de 4.44% dans le même temps suite à l'aveu d'un chiffre d'affaires nominal de es services inférieur aux espérances, et au rabaissement de 9.3 milliards d'USD de la valeur de ses opérations en Espagne et en Italie, lui faisant subir des pertes sèches au premier semestre fiscal.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.41%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.52% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.67%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le solde officiel de leur budget fédéral.