Investing.com - Les bourses européennes étaient en net recul ce lundi matin, les résultats manufacturiers chinois contradictoires ayant ravivé les incertitudes au sujet du futur de la croissance mondiale.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 1%, le CAC 40 français de 1,15%, et le DAX 30 allemand de 1,15% aussi.
Une étude officielle a en ainsi signalé samedi que l'indice des directeurs des achats du secteur secondaire de la Chine avait frémi depuis 50,6 vers 50,8 pour mai.
Il était cependant à noter à l'aube que son équivalent établi par HSBC subissait dans le même temps une érosion de 49,6 vers 49,2, son pire niveau depuis octobre 2012.
La finance était en difficulté, la Deutsche Bank allemande sombrant de 1,30%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,99 et 1,39%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA chutant de 1,08 et 0,97%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,99 et 1,46%.
Sur le front de l'industrie pharmaceutique, Sanofi s'écroulait de 1,94%, avouant qu'il devrait être malmené par l'échec de son Iniparib lors de la troisième phase des tests cliniques dans le traitement du cancer du poumon.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,83%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Lloyds Banking trébuchait de 0,08%, et la Royal Bank of Scotland de 0,19%, HSBC Holdings et Barclays se retrouvant lanternes rouges avec 0,24 et 1,23%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient par contre plutôt en forme, le mastodonte minier Rio Tinto frémissant de 0,21% et Eurasian Natural Resources de 1,13%, tandis que Tullow Oil s'élevait de 0,77%.
Polymetal bondissait carrément de 2,97% après quue JP Morgan en ait remonté son appréciation depuis la neutralité vers la bienveillance, invoquant les évolution des cours et de la production.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles mitigées: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,15% et celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,01%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 semblaient pointer vers un faux pas de 0,08%.
Il a aussi été montré ce matin que le baromètre de l'activité des industries de l'Espagne était remonté depuis 44,7 jusqu'à 48,1, dépassant largement les 45,5 espérés.
L'institut de gestion des approvisionnements conclura de son côté la journée avec son baromètre de l'activité des industries des Etats-Unis.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 1%, le CAC 40 français de 1,15%, et le DAX 30 allemand de 1,15% aussi.
Une étude officielle a en ainsi signalé samedi que l'indice des directeurs des achats du secteur secondaire de la Chine avait frémi depuis 50,6 vers 50,8 pour mai.
Il était cependant à noter à l'aube que son équivalent établi par HSBC subissait dans le même temps une érosion de 49,6 vers 49,2, son pire niveau depuis octobre 2012.
La finance était en difficulté, la Deutsche Bank allemande sombrant de 1,30%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,99 et 1,39%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA chutant de 1,08 et 0,97%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,99 et 1,46%.
Sur le front de l'industrie pharmaceutique, Sanofi s'écroulait de 1,94%, avouant qu'il devrait être malmené par l'échec de son Iniparib lors de la troisième phase des tests cliniques dans le traitement du cancer du poumon.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,83%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Lloyds Banking trébuchait de 0,08%, et la Royal Bank of Scotland de 0,19%, HSBC Holdings et Barclays se retrouvant lanternes rouges avec 0,24 et 1,23%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient par contre plutôt en forme, le mastodonte minier Rio Tinto frémissant de 0,21% et Eurasian Natural Resources de 1,13%, tandis que Tullow Oil s'élevait de 0,77%.
Polymetal bondissait carrément de 2,97% après quue JP Morgan en ait remonté son appréciation depuis la neutralité vers la bienveillance, invoquant les évolution des cours et de la production.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles mitigées: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,15% et celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,01%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 semblaient pointer vers un faux pas de 0,08%.
Il a aussi été montré ce matin que le baromètre de l'activité des industries de l'Espagne était remonté depuis 44,7 jusqu'à 48,1, dépassant largement les 45,5 espérés.
L'institut de gestion des approvisionnements conclura de son côté la journée avec son baromètre de l'activité des industries des Etats-Unis.