Investing.com - Les bourses européennes étaient plutôt mitigées ce mardi, alors que l'Espagne restait au centre des débats, dans l'incertitude de son recours ou non à une bouée de sauvetage complète.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.45%, le CAC 40 français trébuché de 0.01%, et le DAX 30 allemand a grimpé de 0.35%.
L'humeur demeurait cependant incertaine en raison du flou concernant l'éventuelle demande espagnole d'une bouée de sauvetage qui déclencherait le plan de rachat de bons du trésor par la Banque Centrale Européenne.
Il avait de plus été rapporté hier par des responsables européens que Madrid était prête à demander un plan de secours complet dès la semaine prochaine, mais que l'Allemagne l'encouragerait à attendre.
Les conséquences de la dernière révision de la notation des dettes du pays par l'agence Moody's étaient également dans la ligne de mire, alors que tout mouvement vers le bas rendrait ses dettes indésirables.
La finance ne savait sur quel pied danser, les français BNP Paribas et Société Générale laissant respectivement échapper 0.52 et 0.22%, alors que les allemands Deutsche Bank et Commerzbank encaissaient 1.11 et 1.19%.
En Italie, Unicredit a gagné 0.9% et Intesa Sanpaolo 1.21%, tandis que les espagnols Banco Santander et BBVA ramassaient 1.26 et 1.08%.
Alstom s'est pour sa part effondré de 5.62% après avoir vendu des actions à 26.65 euros, soit 5.6% de moins que son cours de clôture d'hier, afin de financer une acquisition russe annoncée en 2009.
L'électronicien français a d'autre part confirmé ses prévisions de rentrées, ajoutant que ses mouvements de liquidités devraient êttre positifs pour les trois années à venir.
A Londres, le FTSE 100 n'a arraché que 0.02%, tiré vers le bas par la nouvelle selon laquelle l'activité dans le domaine du bâtiment national avait moins redressé la tête en septembre qu'espéré.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton gardaient le sourire avec des poussées de 1.23 et 0.32%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys n'étant pas en reste avec 0.6 et 0.63%.
Anglo American, un des poids lourd des hydrocarbures, s'est joint à la fête avec 0.33%, alors que son rivval BP dérapait de 0.34%.
La City était par contre morose, HSBC Holdings cédant 0.22%, et Barclays 0.36%, alors que la Royal Bank of Scotland et Lloyds Banking s'effondraient de 2.02 et 3.06%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.34%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.45% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.42%.
Des chiffres officiels ont quand à eux montré en début de matinée que l'Espagne avait compté 79 645 chômeurs supplémentaires le mois passé, aggravant ainsi les 38 200 d'août.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.45%, le CAC 40 français trébuché de 0.01%, et le DAX 30 allemand a grimpé de 0.35%.
L'humeur demeurait cependant incertaine en raison du flou concernant l'éventuelle demande espagnole d'une bouée de sauvetage qui déclencherait le plan de rachat de bons du trésor par la Banque Centrale Européenne.
Il avait de plus été rapporté hier par des responsables européens que Madrid était prête à demander un plan de secours complet dès la semaine prochaine, mais que l'Allemagne l'encouragerait à attendre.
Les conséquences de la dernière révision de la notation des dettes du pays par l'agence Moody's étaient également dans la ligne de mire, alors que tout mouvement vers le bas rendrait ses dettes indésirables.
La finance ne savait sur quel pied danser, les français BNP Paribas et Société Générale laissant respectivement échapper 0.52 et 0.22%, alors que les allemands Deutsche Bank et Commerzbank encaissaient 1.11 et 1.19%.
En Italie, Unicredit a gagné 0.9% et Intesa Sanpaolo 1.21%, tandis que les espagnols Banco Santander et BBVA ramassaient 1.26 et 1.08%.
Alstom s'est pour sa part effondré de 5.62% après avoir vendu des actions à 26.65 euros, soit 5.6% de moins que son cours de clôture d'hier, afin de financer une acquisition russe annoncée en 2009.
L'électronicien français a d'autre part confirmé ses prévisions de rentrées, ajoutant que ses mouvements de liquidités devraient êttre positifs pour les trois années à venir.
A Londres, le FTSE 100 n'a arraché que 0.02%, tiré vers le bas par la nouvelle selon laquelle l'activité dans le domaine du bâtiment national avait moins redressé la tête en septembre qu'espéré.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton gardaient le sourire avec des poussées de 1.23 et 0.32%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys n'étant pas en reste avec 0.6 et 0.63%.
Anglo American, un des poids lourd des hydrocarbures, s'est joint à la fête avec 0.33%, alors que son rivval BP dérapait de 0.34%.
La City était par contre morose, HSBC Holdings cédant 0.22%, et Barclays 0.36%, alors que la Royal Bank of Scotland et Lloyds Banking s'effondraient de 2.02 et 3.06%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.34%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.45% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.42%.
Des chiffres officiels ont quand à eux montré en début de matinée que l'Espagne avait compté 79 645 chômeurs supplémentaires le mois passé, aggravant ainsi les 38 200 d'août.