Investing.com - Les bourses européennes avançaient à pas de loup ce jeudi matin, dans l'expectative des conclusions imminentes de la prise de cap de la Banque Centrale Européenne, sur fond de signes d'avancées dans la gestion de la crise régionale.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.27%, le CAC 40 français de 0.07%, et le DAX 30 allemand de 0.06%.
L'autorité monétaire de l'Europe maintiendra en effet selon toute vraisemblance son taux directeur à 0.75%, mais sa conférence de presse post-réunion tenue par son président Mario Draghi sera sans doute surveillée de près afin de tenter d'y glaner des indices sur ses orientations futures.
Un représentant du gouvernement allemand a pour sa part déclaré hier que la monnaie unique n'était pas surévaluée et que les manipulations des taux de change n'étaient pas une manière d'augmenter la compétitivité.
Cette intervention est survenue après que François Hollande, président de la France, ait appelé mardi à établir un objectif pour ces derniers.
La finance était largement en forme, les français BNP Paribas et Société Générale prenant respectivement 1.17 et 0.54%, suivis des allemands Commerzbank et Deutsche Bank avec 0.13 et 0.22%.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit s'élevant de 0.29% et 1.31%, et les espagnols Banco Santander et BBVA bondissant de 1.02 et 1.4%.
Le fournisseur de téléphones Alcatel-Lucent s'est pour sa part envolé de 9.81%, son directeur général Ben Verwaayen ayant présenté sa démission après de nombreuses tentatives pour le redresser, alors que ses pertes l'élevaient à 1.37 milliards d'euros puor le quatrième trimestre.
A Londres, le FTSE 100 a conquis 0.09%, avec les yeux sur le conseil de direction de la Banque d'Angleterre d'aujourd'hui.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto grignotaient 0.53 et 0.08%, le cuivrier Kazakhmys leur emboîtant le pas de 0.1%.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, n'était pas en reste avec 0.22%, et son rival BP non plus avec 0.52%.
La City ne partageait cependant pas l'enthousiasme du continent, Lloyds Banking dérapant de 0.27%, HSBC Holdings de 0.32%, et la Royal Bank of Scotland de 0.32%, tandis que Barlays nageait à contre-courant avec 0.48% d'amélioration.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles plutot ternes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.02%, et celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.04%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 frémissaient de 0.08%.
Les Etats-Unis rendront de leur côté en fin de journée leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.27%, le CAC 40 français de 0.07%, et le DAX 30 allemand de 0.06%.
L'autorité monétaire de l'Europe maintiendra en effet selon toute vraisemblance son taux directeur à 0.75%, mais sa conférence de presse post-réunion tenue par son président Mario Draghi sera sans doute surveillée de près afin de tenter d'y glaner des indices sur ses orientations futures.
Un représentant du gouvernement allemand a pour sa part déclaré hier que la monnaie unique n'était pas surévaluée et que les manipulations des taux de change n'étaient pas une manière d'augmenter la compétitivité.
Cette intervention est survenue après que François Hollande, président de la France, ait appelé mardi à établir un objectif pour ces derniers.
La finance était largement en forme, les français BNP Paribas et Société Générale prenant respectivement 1.17 et 0.54%, suivis des allemands Commerzbank et Deutsche Bank avec 0.13 et 0.22%.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit s'élevant de 0.29% et 1.31%, et les espagnols Banco Santander et BBVA bondissant de 1.02 et 1.4%.
Le fournisseur de téléphones Alcatel-Lucent s'est pour sa part envolé de 9.81%, son directeur général Ben Verwaayen ayant présenté sa démission après de nombreuses tentatives pour le redresser, alors que ses pertes l'élevaient à 1.37 milliards d'euros puor le quatrième trimestre.
A Londres, le FTSE 100 a conquis 0.09%, avec les yeux sur le conseil de direction de la Banque d'Angleterre d'aujourd'hui.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto grignotaient 0.53 et 0.08%, le cuivrier Kazakhmys leur emboîtant le pas de 0.1%.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, n'était pas en reste avec 0.22%, et son rival BP non plus avec 0.52%.
La City ne partageait cependant pas l'enthousiasme du continent, Lloyds Banking dérapant de 0.27%, HSBC Holdings de 0.32%, et la Royal Bank of Scotland de 0.32%, tandis que Barlays nageait à contre-courant avec 0.48% d'amélioration.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles plutot ternes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.02%, et celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.04%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 frémissaient de 0.08%.
Les Etats-Unis rendront de leur côté en fin de journée leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.