Investing.com - Les bourses européennes étaient en forte hausse ce mardi, observateurs guettant la rencontre cruciale entre Angela Merkel, la chancelière allemande, et Christine Lagarde, présidente du Fonds Monétaire International, devant avoir lieu dans la journée.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a engrangé 1.4%, le CAC 40 français 0.89%, et le DAX 30 allemand 1.11%.
La dirigeante de l'Allemagne prévenu hier la Grèce qu'il ne serait pas possible de continuer à continuer à l'aider financièrement sans de rapides progrès dans la mise en place du second plan de secours, notamment la dévaluation volontaire des dettes détenues par des créanciers privés.
Elle a toutefois ajouté avoir bon espoir que l'Union Européenne établisse son pacte fiscal d'ici la fin du mois.
L'angoisse est encore montée d'un cran après qu'il ait été signalé ce matin que le total des dépôts journaliers effectués auprès de la Banque Centrale Européenne avait à nouveau battu des records en s'élevant à 481.935 milliards d'euros, reflétant le manque de confiance dans les prêts interbancaires.
La finance caracolait en bonne place, la Deutsche Bank allemande raflant 1.86%, et l'ING Groep néerlandais 2.35%, tandis que les français BNP Paribas et la Société Générale gagnaient respectivement 3.46 et 1.13%.
Cette dernière avait toutefois avoué en début de matinée prévoir une chute "significative" des revenus de sa branche d'investissement pour 2012 par rapport à 2011.
Swatch, premier fabricant de montres de Suisse, a pour sa part encaissé 3.51% après avoir annoncé que ses ventes brutes s'étaient envolées de 22% pour totaliser 7.14 milliards de CHF en monnaie constante, mais elle a déploré 696 millions de CHF de moins en raison de la flambée de la devise helvète.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.95%, tiré vers le haut par le secteur minier après qu'Alcoa ait donné le coup d'envoi de la saison des résultats américains, les siens ayant été conformes aux analyses des experts.
BHP Billiton et Rio Tinto ont avancé de 2.24 et 2.01% avec le rebond du cuivre hors de son ornière hebdomadaire suite aux importations record effectuées par la Chine.
Les prêteurs de Grande-Bretagne étaient aussi à a fête, Barclays grimpant de 2.92%, Lloyds Banking de 1.52%, la Royal Bank of Scotland et HSBC Holdings se cntentant de 1.44 et 0.27%.
Marks & Spencer, premier revendeur de vêtements du Royaume-Uni, a gagné 2.22% après avoir toutefois dû faire savoir que ses ventes de produits non-alimentaires avaient davantage diminué que prévu à la période des fêtes de fin d'année, et que ses marges seraient réduites en raison de la multiplication des promotions.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi au beau fixe: les options sur le Dow Jones prévoyaient une flambée de 0.59%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.66% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.68%.
Une étude officielle avait auparavant signalé que la production industrielle française avait davantage augmenté en novembre qu'il n'avait été espéré, avec 1.1% de progression contre seulement 0.1% pour le mois précédent.
Les experts n'espéraient pas la voir prendre plus de 0.1% de nouveau pour la période considérée
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a engrangé 1.4%, le CAC 40 français 0.89%, et le DAX 30 allemand 1.11%.
La dirigeante de l'Allemagne prévenu hier la Grèce qu'il ne serait pas possible de continuer à continuer à l'aider financièrement sans de rapides progrès dans la mise en place du second plan de secours, notamment la dévaluation volontaire des dettes détenues par des créanciers privés.
Elle a toutefois ajouté avoir bon espoir que l'Union Européenne établisse son pacte fiscal d'ici la fin du mois.
L'angoisse est encore montée d'un cran après qu'il ait été signalé ce matin que le total des dépôts journaliers effectués auprès de la Banque Centrale Européenne avait à nouveau battu des records en s'élevant à 481.935 milliards d'euros, reflétant le manque de confiance dans les prêts interbancaires.
La finance caracolait en bonne place, la Deutsche Bank allemande raflant 1.86%, et l'ING Groep néerlandais 2.35%, tandis que les français BNP Paribas et la Société Générale gagnaient respectivement 3.46 et 1.13%.
Cette dernière avait toutefois avoué en début de matinée prévoir une chute "significative" des revenus de sa branche d'investissement pour 2012 par rapport à 2011.
Swatch, premier fabricant de montres de Suisse, a pour sa part encaissé 3.51% après avoir annoncé que ses ventes brutes s'étaient envolées de 22% pour totaliser 7.14 milliards de CHF en monnaie constante, mais elle a déploré 696 millions de CHF de moins en raison de la flambée de la devise helvète.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.95%, tiré vers le haut par le secteur minier après qu'Alcoa ait donné le coup d'envoi de la saison des résultats américains, les siens ayant été conformes aux analyses des experts.
BHP Billiton et Rio Tinto ont avancé de 2.24 et 2.01% avec le rebond du cuivre hors de son ornière hebdomadaire suite aux importations record effectuées par la Chine.
Les prêteurs de Grande-Bretagne étaient aussi à a fête, Barclays grimpant de 2.92%, Lloyds Banking de 1.52%, la Royal Bank of Scotland et HSBC Holdings se cntentant de 1.44 et 0.27%.
Marks & Spencer, premier revendeur de vêtements du Royaume-Uni, a gagné 2.22% après avoir toutefois dû faire savoir que ses ventes de produits non-alimentaires avaient davantage diminué que prévu à la période des fêtes de fin d'année, et que ses marges seraient réduites en raison de la multiplication des promotions.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi au beau fixe: les options sur le Dow Jones prévoyaient une flambée de 0.59%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.66% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.68%.
Une étude officielle avait auparavant signalé que la production industrielle française avait davantage augmenté en novembre qu'il n'avait été espéré, avec 1.1% de progression contre seulement 0.1% pour le mois précédent.
Les experts n'espéraient pas la voir prendre plus de 0.1% de nouveau pour la période considérée