Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce mardi matin, dans l'attennte des chiffres imminents de l'activité manufacturière et de l'emploi régionaux, bien que l'ombre de l'impasse politique de l'Italie persiste.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 0.25%, le CAC 40 français de 0.39%, et le DAX 30 allemand de 0.48%.
Le président italien Giorgio Napolitano devait se réunir aujourd'hui avec un comité de conseillers dans l'espoir de trouver une porte de sortie nationale.
Ce groupe de dix "sages" devant se rencontrer à Rome inclut notamment un mebmre de la banque centrale du pays, le directeur de l'agence chargée de ses statistiques et des politiciens de gauche comme de droite.
Des représentants du gouvernement chypriote se préparaient aussi à des pourparlers avec des envoyés de l'Union Européenne et du Fonds Monétaire International en vue d'obtenir un assouplissement de leurs conditions de sauvetage.
La finance était du coup mi-figue, mi-raisin, la Deutsche Bank allemande plongeant de 0.72%, tandis que les français BNP Paribas et Société Générale s'élevaient respectivement de 0.12 et 0.39%.
La périphérie était plus unie dans l'adversité, les espagnols Banco Santander et BBVA glissant de 0.89 et 0.19%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit faisant pire avec 1.05 et 2.4%.
Syngenta, spécialisé dans l'agroindustrie, dérapait de 2.4% après que Liberum Capital Ltd. en ait dégradé l'appréciation vers la neutralité.
A Londres, le FTSE 100 avançait de 0.54%.
L'opérateur téléphonique Vodafone s'envolait de 3.8% après avoir accusé le gouvernementi indien d'engager des actions "contradictoires et incohérentes" dans le cadre de leur dispute concernant les précieuses attributions de fréquences.
ICAP participait de 3.24% à l'offensive après que le Nasdaq OMX Group ait déclaré son achat d'eSpeed, le système d'opérations électroniques pour les bons du trésor américains, à BGC Partners pour environ 750 millions d'USD de liquidités.
La City n'était par contre pas à la fête, HSBC Holdings trébuchant de 0.03%, Barclays de 0.16%, Lloyds Banking de 0.33% et la Royal Bank of Scotland de 1.92%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, le mastodonte minier Rio Tinto fondant de 0.62%, et ses rivaux Eurasian Natural Resources et Evraz de 2.44 et 2.61%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.19%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.14% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.22%.
Le groupe de recherches économiques Markit avait fait savoir en début de journée de son baromètre de l'activité du secteur secondaie espagnol avait glissé de 46.8 vers 44.2 pour mas, et que celui de l'Italie n'avait guère brillé en passant de 45.8 à 44.5 dans le même temps.
Les Etats-Unis comptaient pour leur part fournir cet après-midi leur rapport sur les commandes passées auprès des usines.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 0.25%, le CAC 40 français de 0.39%, et le DAX 30 allemand de 0.48%.
Le président italien Giorgio Napolitano devait se réunir aujourd'hui avec un comité de conseillers dans l'espoir de trouver une porte de sortie nationale.
Ce groupe de dix "sages" devant se rencontrer à Rome inclut notamment un mebmre de la banque centrale du pays, le directeur de l'agence chargée de ses statistiques et des politiciens de gauche comme de droite.
Des représentants du gouvernement chypriote se préparaient aussi à des pourparlers avec des envoyés de l'Union Européenne et du Fonds Monétaire International en vue d'obtenir un assouplissement de leurs conditions de sauvetage.
La finance était du coup mi-figue, mi-raisin, la Deutsche Bank allemande plongeant de 0.72%, tandis que les français BNP Paribas et Société Générale s'élevaient respectivement de 0.12 et 0.39%.
La périphérie était plus unie dans l'adversité, les espagnols Banco Santander et BBVA glissant de 0.89 et 0.19%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit faisant pire avec 1.05 et 2.4%.
Syngenta, spécialisé dans l'agroindustrie, dérapait de 2.4% après que Liberum Capital Ltd. en ait dégradé l'appréciation vers la neutralité.
A Londres, le FTSE 100 avançait de 0.54%.
L'opérateur téléphonique Vodafone s'envolait de 3.8% après avoir accusé le gouvernementi indien d'engager des actions "contradictoires et incohérentes" dans le cadre de leur dispute concernant les précieuses attributions de fréquences.
ICAP participait de 3.24% à l'offensive après que le Nasdaq OMX Group ait déclaré son achat d'eSpeed, le système d'opérations électroniques pour les bons du trésor américains, à BGC Partners pour environ 750 millions d'USD de liquidités.
La City n'était par contre pas à la fête, HSBC Holdings trébuchant de 0.03%, Barclays de 0.16%, Lloyds Banking de 0.33% et la Royal Bank of Scotland de 1.92%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, le mastodonte minier Rio Tinto fondant de 0.62%, et ses rivaux Eurasian Natural Resources et Evraz de 2.44 et 2.61%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.19%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.14% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.22%.
Le groupe de recherches économiques Markit avait fait savoir en début de journée de son baromètre de l'activité du secteur secondaie espagnol avait glissé de 46.8 vers 44.2 pour mas, et que celui de l'Italie n'avait guère brillé en passant de 45.8 à 44.5 dans le même temps.
Les Etats-Unis comptaient pour leur part fournir cet après-midi leur rapport sur les commandes passées auprès des usines.