Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce mardi, dans le sillage de résultats encourageants de la part de l'Allemagne, la nervosité étant palpable à l'approche des prises de cap de la Réserve Fédérale, de la Banque Centrale Européenne et de la Banque d'Angleterre.
En fin de première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,45%, le CAC 40 français de 0,,36%, et le DAX 30 allemand de 0,47%.
Le groupe de recherches économiques Gfk avait auparavant signalé que son baromètre du moral des consommateurs avait davantage progressé ce mois-ci qu'espéré, en frémissant depuis 6,8 vers 7,0.
Les experts ne pensaient pourtant pas le voir dépasser 6,9 pour la période considérée.
La finance était en berne, la Deutsche Bank allemande dégringolant de 3,96% après avoir déploré un plongeon de 49% de ses bénéfices au second trimestre, ayant dû mettre 600 millions d'euros de côté pour couvrir des frais judiciaires, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,15 et 0,65%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA laissant échapper 0,57 et 0,01%, l'italien Intesa Sanpaolo leur emboîtant le pas avec 0,10%.
Tout n'était cependant pas désespéré, le fournisseur d'électricité EdF bondissant de 5,59% après avoir vu ses prévisions de rentrées rvues à la hausse pour l'année en cours.
Alcatel-Lucent a fait savoir que son chiffre d'affaires et ses bénéfices avaient dépassé les estimations des analystes, et que Qualcomm avait accepté d'en devenir actionnaire minoritaire, faisant grimper ses parts de 8,71%.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,28%, bien que les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivent le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
La City était majoritairement en difficulté, Lloyds Banking chutant de 0,63%, la Royal Bank of Scotland de 1,92% et Barclays de 3,77%.
Cette dernière avait auparavant annoncé son intention de lever 5,8 milliards de GBP avec des émissions de droits afin de de se renflouer, ses bénéfices du premier semestre s'étant effondrés de 17%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, le mastodonte minier BHP Billiton fondant respectivement de 0,26%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American et Evraz n'étant épargnés avec 0,32 et 1,26%.
British Petroleum, concurrent du second, subissait un revers de 3,21% suite à la mauvaise surprise découlant de l'aveu de profits passant de 3,6 à 2,7 milliards de GBP d'une année sur l'autre pour le second semestre.
Les perspectives des marchés américains partageaient le pessimisme de la finance: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,24%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,37% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,24%.
Des informations préliminaires avaient aussi mis en relief une contraction de 0,1% du produit intérieur brut de l'Espagne au second trimestre, conforément aux prédictions, suite aux 0,5% déjà déplorés pour le précédent.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec l'indice Standard & Poor's/Case-Shiller des prix des logements établi à partir de 20 composantes, après quoi le groupe de recherches sur les marchés Conference Board sur la confiance des particuliers américains.
En fin de première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,45%, le CAC 40 français de 0,,36%, et le DAX 30 allemand de 0,47%.
Le groupe de recherches économiques Gfk avait auparavant signalé que son baromètre du moral des consommateurs avait davantage progressé ce mois-ci qu'espéré, en frémissant depuis 6,8 vers 7,0.
Les experts ne pensaient pourtant pas le voir dépasser 6,9 pour la période considérée.
La finance était en berne, la Deutsche Bank allemande dégringolant de 3,96% après avoir déploré un plongeon de 49% de ses bénéfices au second trimestre, ayant dû mettre 600 millions d'euros de côté pour couvrir des frais judiciaires, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,15 et 0,65%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA laissant échapper 0,57 et 0,01%, l'italien Intesa Sanpaolo leur emboîtant le pas avec 0,10%.
Tout n'était cependant pas désespéré, le fournisseur d'électricité EdF bondissant de 5,59% après avoir vu ses prévisions de rentrées rvues à la hausse pour l'année en cours.
Alcatel-Lucent a fait savoir que son chiffre d'affaires et ses bénéfices avaient dépassé les estimations des analystes, et que Qualcomm avait accepté d'en devenir actionnaire minoritaire, faisant grimper ses parts de 8,71%.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,28%, bien que les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivent le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
La City était majoritairement en difficulté, Lloyds Banking chutant de 0,63%, la Royal Bank of Scotland de 1,92% et Barclays de 3,77%.
Cette dernière avait auparavant annoncé son intention de lever 5,8 milliards de GBP avec des émissions de droits afin de de se renflouer, ses bénéfices du premier semestre s'étant effondrés de 17%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, le mastodonte minier BHP Billiton fondant respectivement de 0,26%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American et Evraz n'étant épargnés avec 0,32 et 1,26%.
British Petroleum, concurrent du second, subissait un revers de 3,21% suite à la mauvaise surprise découlant de l'aveu de profits passant de 3,6 à 2,7 milliards de GBP d'une année sur l'autre pour le second semestre.
Les perspectives des marchés américains partageaient le pessimisme de la finance: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,24%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,37% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,24%.
Des informations préliminaires avaient aussi mis en relief une contraction de 0,1% du produit intérieur brut de l'Espagne au second trimestre, conforément aux prédictions, suite aux 0,5% déjà déplorés pour le précédent.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec l'indice Standard & Poor's/Case-Shiller des prix des logements établi à partir de 20 composantes, après quoi le groupe de recherches sur les marchés Conference Board sur la confiance des particuliers américains.