Investing.com - Les bourses européennes gardaient la forme ce jeudi après-midi, suite au succès des émissions de dettes espagnoles, tandis que les observateurs guettaient la conférence de Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, après que celle-ci ait maintenu ses taux d'intérêt aux alentours de zéro.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 0.92%, le CAC 40 français de 0.71%, et le DAX 30 allemand de 0.48%.
La nervosité était en effet de mise, dans l'hypothèse où la réussite des enchères d'obligations de l'Espagne pourrait réduire la pression poussant son premier ministre Mariano Rajoy à demander de l'aide.
Madrid ainsi écoulé pour 4.76 milliards d'euros de bons du trésor à trois, cinq et vingt ans, qui devraient lui permettre de faire face à ses engagements financiers de l'année 2012.
Mais les inquiétudes au sujet de la Grèce restaient au premier plan après que son parlement avait approuvé de peu hier soir les nouvelles mesures de rigueur destinées à lui assurer l'attribution de la prochaine tranche d'aides internationales, bien qu'elles semblent poser le risque d'une aggravation de la récession nationale.
La finance avait majoritairement le sourire, les français BNP Paribas et Société Générale en tête avec respectivement 2.28 et 1.14% d'amélioration, suivis par la Deutsche Bank allemande avec 0.44%.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo encaissant 0.41 et 0.66%, dépasés par les espagnols Banco Santander et BBVA avec 1.25 et 1.27%.
Parmi les proclamations de résultats, Repsol émergeait de 2.4% après avoir revendiqué des bénéfices trimestriels en augmentation grâce à une renforcement de la production.
Le réassureur Swiss Re a pour sa part gagné 1.6%, ses revenus nets ayant gonflé grâce à la diminution des pertes dûes aux catastrophes naturelles.
A Londres, le FTSE 100 a conquis 0.32%, les établissements financiers de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
La Royal Bank of Scotland et Barclays étaient en tête de peloton avec des bonds de 1.3 et 1.2%, tandis que Lloyds Banking et HSBC Holdings dérapaient par contre de 0.52% et 0.05%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ne faiblissaient pas, empochant 0.26 et 1.02%, imités par le cuivrier Xstrata avec 0.43%.
Les supermarchés Tesco ont quand à eux connu une poussée de 1.03% suite à l'annonce de 25 milliards de GBP d'investissements annuels dans l'agriculture britannique.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.37%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.32% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.31%.
Les ministres des finances de l'Eurogroupe comptaient tenir dans la journée des pourparlers à Bruxelles au sujet des difficultés financières du bloc euro.
Les Etats-Unis révèleront de leur côté le résultat de leurs transactions avec l'étranger, sans oublier leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 0.92%, le CAC 40 français de 0.71%, et le DAX 30 allemand de 0.48%.
La nervosité était en effet de mise, dans l'hypothèse où la réussite des enchères d'obligations de l'Espagne pourrait réduire la pression poussant son premier ministre Mariano Rajoy à demander de l'aide.
Madrid ainsi écoulé pour 4.76 milliards d'euros de bons du trésor à trois, cinq et vingt ans, qui devraient lui permettre de faire face à ses engagements financiers de l'année 2012.
Mais les inquiétudes au sujet de la Grèce restaient au premier plan après que son parlement avait approuvé de peu hier soir les nouvelles mesures de rigueur destinées à lui assurer l'attribution de la prochaine tranche d'aides internationales, bien qu'elles semblent poser le risque d'une aggravation de la récession nationale.
La finance avait majoritairement le sourire, les français BNP Paribas et Société Générale en tête avec respectivement 2.28 et 1.14% d'amélioration, suivis par la Deutsche Bank allemande avec 0.44%.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo encaissant 0.41 et 0.66%, dépasés par les espagnols Banco Santander et BBVA avec 1.25 et 1.27%.
Parmi les proclamations de résultats, Repsol émergeait de 2.4% après avoir revendiqué des bénéfices trimestriels en augmentation grâce à une renforcement de la production.
Le réassureur Swiss Re a pour sa part gagné 1.6%, ses revenus nets ayant gonflé grâce à la diminution des pertes dûes aux catastrophes naturelles.
A Londres, le FTSE 100 a conquis 0.32%, les établissements financiers de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
La Royal Bank of Scotland et Barclays étaient en tête de peloton avec des bonds de 1.3 et 1.2%, tandis que Lloyds Banking et HSBC Holdings dérapaient par contre de 0.52% et 0.05%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ne faiblissaient pas, empochant 0.26 et 1.02%, imités par le cuivrier Xstrata avec 0.43%.
Les supermarchés Tesco ont quand à eux connu une poussée de 1.03% suite à l'annonce de 25 milliards de GBP d'investissements annuels dans l'agriculture britannique.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.37%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.32% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.31%.
Les ministres des finances de l'Eurogroupe comptaient tenir dans la journée des pourparlers à Bruxelles au sujet des difficultés financières du bloc euro.
Les Etats-Unis révèleront de leur côté le résultat de leurs transactions avec l'étranger, sans oublier leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.