Investing.com - Les bourses européennes étaient en net recul ce vendredi matin, dans le sillage d'une contre-performance allemande, dans l'expectative des résultats économiques d'aujourd'hui.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 chutait de 1,15%, le CAC 40 français de 1,33%, et le DAX 30 allemand de 1,02%.
Des informations émanant des autorités avaient auparavant souligné que les ventes au détail de l'Allemagne avaient diminué de 0,4% en avril, alors qu'un sursaut de 0,2% était espéré après le faux pas de 0,1% précédent.
Les mauvaises nouvelles américaines d'hier avaient déjà étouffé l'attente d'une réduction imminente des acquisitions de la Réserve Fédérale.
La finance était en berne, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,75%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,48 et 1,03%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA perdait 0,72 et 1,23%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,10 et 0,46%.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, sombrait de 0,82%, tiré vers le bas par des exploitants en difficulté.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto s'enfonçaient de 0,12 et 1,12%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American limitant les dégâts à 0,01%.
Le charbonnier Bumi Plc, actuellement dans la tourmente en raison d'un conflit entre ses fondateurs, dégringolait quand à lui de 1,82% suite à l'aveu selon lequel l'audit d'une de ses deux branches indonésiennes avait révélé 201 millions d'USD de dépenses "sans finalité précise pour l'entreprise".
L'agence de voyages TUI Travel plongeait de 1,43% après avoir déclaré compter acheter 60 appareils Boeing 737 MAX pour environ 6,1 milliards d'USD, avec une option sur 90 de plus, renouvelant sa flotte avec des avions moins coûteux à faire entretenir.
La City suivait plus ou moins le chemin tracé sur le continent, Barclays et HSBC Holdings sombrant de 0,42 et 0,66%, tandis que Lloyds Banking et la Royal Bank of Scotland grignotaient 0,06 et 0,36%.
Les perspectives des marchés américains étaient partageaient le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,47%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,57% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,60%.
La zone euro comptait dévoiler dans la matinée sa première évaluation de l'évolution des prix à au détail, ainsi que son taux de chômage.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la semaine avec l'état révisé du moral des consommateurs mesuré par l'université du Michigan, ainsi que le volume des revenus personnels et celui des dépenses individuelles, sans oublier une étude sur l'activité manufacturière de la région de Chicago.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 chutait de 1,15%, le CAC 40 français de 1,33%, et le DAX 30 allemand de 1,02%.
Des informations émanant des autorités avaient auparavant souligné que les ventes au détail de l'Allemagne avaient diminué de 0,4% en avril, alors qu'un sursaut de 0,2% était espéré après le faux pas de 0,1% précédent.
Les mauvaises nouvelles américaines d'hier avaient déjà étouffé l'attente d'une réduction imminente des acquisitions de la Réserve Fédérale.
La finance était en berne, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,75%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,48 et 1,03%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA perdait 0,72 et 1,23%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,10 et 0,46%.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, sombrait de 0,82%, tiré vers le bas par des exploitants en difficulté.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto s'enfonçaient de 0,12 et 1,12%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American limitant les dégâts à 0,01%.
Le charbonnier Bumi Plc, actuellement dans la tourmente en raison d'un conflit entre ses fondateurs, dégringolait quand à lui de 1,82% suite à l'aveu selon lequel l'audit d'une de ses deux branches indonésiennes avait révélé 201 millions d'USD de dépenses "sans finalité précise pour l'entreprise".
L'agence de voyages TUI Travel plongeait de 1,43% après avoir déclaré compter acheter 60 appareils Boeing 737 MAX pour environ 6,1 milliards d'USD, avec une option sur 90 de plus, renouvelant sa flotte avec des avions moins coûteux à faire entretenir.
La City suivait plus ou moins le chemin tracé sur le continent, Barclays et HSBC Holdings sombrant de 0,42 et 0,66%, tandis que Lloyds Banking et la Royal Bank of Scotland grignotaient 0,06 et 0,36%.
Les perspectives des marchés américains étaient partageaient le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,47%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,57% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,60%.
La zone euro comptait dévoiler dans la matinée sa première évaluation de l'évolution des prix à au détail, ainsi que son taux de chômage.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la semaine avec l'état révisé du moral des consommateurs mesuré par l'université du Michigan, ainsi que le volume des revenus personnels et celui des dépenses individuelles, sans oublier une étude sur l'activité manufacturière de la région de Chicago.