Investing.com - Les bourses européennes étaient en forte baisse ce mardi, alors que les inquiétudes concernant la croissance mondiale continuaient à peser sur la confiaance des investisseurs après les chiffres de l'emploi américain dévoilés vendredi et le solde de la balance commerciale chinoise annnoncé ce matin.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a plongé de 1.42%, le CAC 40 français de 1.53%, et le DAX 30 allemand de 1.18%.
Les actions se sont retrouvées sur la sellette après des résultats officiels aient montré que le commerce extérieur de la Chine avait enregistré un excédent de 5.35 milliards d'USD le mois dernier, les importations n'ayant progressé que de 5.3% après avoir auparavant enregistré une explosion de 39.6%.
La déception des faibles résultats de l'emploi non agricole américain divulgués en fin de semaine a quand à elle ravivé l'hypothèse d'une nouvelle série d'assoupissements quantitatifs de la part de la Réserve Fédérale, qui affaiblirait du même coup le billet vert, laissant du même coup planer le doute sur la force de la relance économique mondiale.
Ben Bernanke, président de la banque centrale des Etats-Unis, avait auparavant déclaré lors d'une conférence que l'économie des Etats-Unis était "loin d'être complètement remise" de la crise financière.
La finance coiffait le bonnet d'âne, tirée vers le bas par l'ING Groep néerlandais, dégringolant de 3.96%, les français BNP Paribas et Société Générale perdant respectivement 3.48 et 3.54% et leurs collègues allemands Deutsche Bank et Commerzbank suivant limitant les dégâts à 1.91 et 3.31%.
Les espagnols Banco Santander et BBVA n'étaient pas mieux lotis avec 2.77 et 2.2%, tandis que le directeur général de la première et d'autres décideurs du secteur devaient se rencontrer à Maddrid dans la journée afin de discuter de son futur.
Mariano Rajoy, le premier ministre espagnol, a quand à lui multiplié hier ses efforts pour convaincre les investisseurs de sa capacité à reprendre le contrôle des déficits nationaux.
Le fabricant de composants STMicroelectronics a pour sa part laissé échapper 3.82% après avoir revu à la baisse ses prévisions de marges brutes pour le premier trimestre, avouant par ailleurs avoir été contrainte par une procédure arbitrale à payer 59 millions d'USD à son concurrent NXP Semiconductors.
A Londres, le FTSE 100 a décliné de 1.02%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux, bien que des informations émanant de spécialistes aient indiqué que lles prix des logements britanniques avaient moins diminué en mars qu'il n'avait été craint.
Barclays a glissé de 3.49%, la Royal Bank of Scotland de 1.94%, Lloyds Banking et HSBC Holdings sauvant les meubles avec 1.62 et 1.07% de recul.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ont suivi le mouvement avec 2.58 et 1.81%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys n'étant pas en reste avec 2.43 et 2.21%.
Vedanta Resources a pour sa part plongé de 3.16% après avoir fait savoir que ses ventes de minerai de fer du quatrième trimestre étaient tombées à 5.2 millions de tonnes, contre 6.4 millions l'année dernière, en raison du maintien de l'interdiction d'exploiter la mine indienne de Karnataka.
Tout n'était cependant pas désespéré, Randgold Resources s'envolant de 8.83% après qu'Amadou Sanogo, chef de la junte militaire actuellement en place au Mali, ait déclaré qu'il remplirait son engagement de remise du pouvoir à un gouvernement de transition.
L'entreprise a salué cette solution pacifique dans un communiqué publié ce matin, annonçant que ses objectifs de production pour 2012 demeuraient inchangés.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois légèrement optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.13%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.11% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.18%.
uneétude émanant des autorités fraçaises avait auparavant montré que la production industrielle française avait davantage augmenté en février qu'espéré, gagnant 0.3% et accentuant les 0.2% glanés le mois précédent, alors que les experts s'attendaient un score identique.
La zone euro révèlera quand à elle son baromètre de la confiance des investisseurs dans la journée.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a plongé de 1.42%, le CAC 40 français de 1.53%, et le DAX 30 allemand de 1.18%.
Les actions se sont retrouvées sur la sellette après des résultats officiels aient montré que le commerce extérieur de la Chine avait enregistré un excédent de 5.35 milliards d'USD le mois dernier, les importations n'ayant progressé que de 5.3% après avoir auparavant enregistré une explosion de 39.6%.
La déception des faibles résultats de l'emploi non agricole américain divulgués en fin de semaine a quand à elle ravivé l'hypothèse d'une nouvelle série d'assoupissements quantitatifs de la part de la Réserve Fédérale, qui affaiblirait du même coup le billet vert, laissant du même coup planer le doute sur la force de la relance économique mondiale.
Ben Bernanke, président de la banque centrale des Etats-Unis, avait auparavant déclaré lors d'une conférence que l'économie des Etats-Unis était "loin d'être complètement remise" de la crise financière.
La finance coiffait le bonnet d'âne, tirée vers le bas par l'ING Groep néerlandais, dégringolant de 3.96%, les français BNP Paribas et Société Générale perdant respectivement 3.48 et 3.54% et leurs collègues allemands Deutsche Bank et Commerzbank suivant limitant les dégâts à 1.91 et 3.31%.
Les espagnols Banco Santander et BBVA n'étaient pas mieux lotis avec 2.77 et 2.2%, tandis que le directeur général de la première et d'autres décideurs du secteur devaient se rencontrer à Maddrid dans la journée afin de discuter de son futur.
Mariano Rajoy, le premier ministre espagnol, a quand à lui multiplié hier ses efforts pour convaincre les investisseurs de sa capacité à reprendre le contrôle des déficits nationaux.
Le fabricant de composants STMicroelectronics a pour sa part laissé échapper 3.82% après avoir revu à la baisse ses prévisions de marges brutes pour le premier trimestre, avouant par ailleurs avoir été contrainte par une procédure arbitrale à payer 59 millions d'USD à son concurrent NXP Semiconductors.
A Londres, le FTSE 100 a décliné de 1.02%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux, bien que des informations émanant de spécialistes aient indiqué que lles prix des logements britanniques avaient moins diminué en mars qu'il n'avait été craint.
Barclays a glissé de 3.49%, la Royal Bank of Scotland de 1.94%, Lloyds Banking et HSBC Holdings sauvant les meubles avec 1.62 et 1.07% de recul.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ont suivi le mouvement avec 2.58 et 1.81%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys n'étant pas en reste avec 2.43 et 2.21%.
Vedanta Resources a pour sa part plongé de 3.16% après avoir fait savoir que ses ventes de minerai de fer du quatrième trimestre étaient tombées à 5.2 millions de tonnes, contre 6.4 millions l'année dernière, en raison du maintien de l'interdiction d'exploiter la mine indienne de Karnataka.
Tout n'était cependant pas désespéré, Randgold Resources s'envolant de 8.83% après qu'Amadou Sanogo, chef de la junte militaire actuellement en place au Mali, ait déclaré qu'il remplirait son engagement de remise du pouvoir à un gouvernement de transition.
L'entreprise a salué cette solution pacifique dans un communiqué publié ce matin, annonçant que ses objectifs de production pour 2012 demeuraient inchangés.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois légèrement optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.13%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.11% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.18%.
uneétude émanant des autorités fraçaises avait auparavant montré que la production industrielle française avait davantage augmenté en février qu'espéré, gagnant 0.3% et accentuant les 0.2% glanés le mois précédent, alors que les experts s'attendaient un score identique.
La zone euro révèlera quand à elle son baromètre de la confiance des investisseurs dans la journée.