Investing.com - Les bourses européennes ne savaient toujours pas sur quel pied danser ce jeudi après-midi, alors que la prudence restait de mise à l'approche des décisions que la Banque Centrale Européenne devrait bientôt rendre publiques.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,04%, alors que le CAC 40 français se rétractait de 0,21%, et que le DAX 30 allemand arrachait 0,36%.
Les rumeurs de rabotage des taux allaient bon train dans le sillage de récentes déconvenues laissant craindre une détérioration de la situation économique régionale.
Il avait été noté hier que le chômage du bloc ayant adopté la monnaie unique avait battu tous les records en atteignant 12,1% au troisième mois de l'année, tandis que l'inflation avait été plus modérée qu'envisagée pour avril.
Des propos récemment tenus par des hauts représentants de la Banque Centrale Européenne laissaient entendre entendre que des ajustements pourraient avoir lieu en cas de dégradation économique persistante.
La finance gardait plutôt la pèche, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank empochant chacun 1,96 et 2,58%, suivis du français BNP Paribas avec 0,97%.
La périphérie était moins unanime, l'espagnol Banco Santander connaissant un passage à vide de 0,01% et l'italien Unicredit aussi, tandis que leurs compatriotes respectivs BBVA et Intesa Sanpaolo encaissaient 0,27 et 0,22%.
Il était à noter que Siemens retrouvait le sourire perdu ce matin, après avoir déploré des revenus nets annuels découlant de ses opérations en cours devant se situer dans une fouchette basse de 4,5 à 5 milliards d'euros, réalisant une poussée de fièvre de 1,33%.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, laissait échapper 0,10%, tiré vers le bas par des exploitants dans la tourmente, et par la petite forme du bâtiment britannique pour le mois dernier.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondaient de 1,68 et 1,01%, leurs rivaux Eurasian Natural Resources et Randgold resources faisant encore pire avec 1,13 et 0,91%.
La City se retrouvait uniformément en berne, Lloyds Banking glissant de 0,18%, et HSBC Holdings de 0,40%, tandis que Barclays et la Royal Bank of Scotland se retrouvaient en lanternes rouges avec 0,51 et 0,91%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,26%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,27% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,29%.
Il avait été noté en fin de matinée que le baromètre définitif de l'activité des industries du bloc ayant adopté la monnaie unique avait chuté depuis 46,8 jusqu'à 46,7 pour avril, sa valeur la plus faible en quatre mois.
Son équivalent pour l'Allemagne suivait le même chemin, passant de 49,0 à 48,1 dans le même temps.
Le gouvernement des Etats-Unis conclura de son côté la journée avec son décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage et le solde du commerce extérieur.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,04%, alors que le CAC 40 français se rétractait de 0,21%, et que le DAX 30 allemand arrachait 0,36%.
Les rumeurs de rabotage des taux allaient bon train dans le sillage de récentes déconvenues laissant craindre une détérioration de la situation économique régionale.
Il avait été noté hier que le chômage du bloc ayant adopté la monnaie unique avait battu tous les records en atteignant 12,1% au troisième mois de l'année, tandis que l'inflation avait été plus modérée qu'envisagée pour avril.
Des propos récemment tenus par des hauts représentants de la Banque Centrale Européenne laissaient entendre entendre que des ajustements pourraient avoir lieu en cas de dégradation économique persistante.
La finance gardait plutôt la pèche, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank empochant chacun 1,96 et 2,58%, suivis du français BNP Paribas avec 0,97%.
La périphérie était moins unanime, l'espagnol Banco Santander connaissant un passage à vide de 0,01% et l'italien Unicredit aussi, tandis que leurs compatriotes respectivs BBVA et Intesa Sanpaolo encaissaient 0,27 et 0,22%.
Il était à noter que Siemens retrouvait le sourire perdu ce matin, après avoir déploré des revenus nets annuels découlant de ses opérations en cours devant se situer dans une fouchette basse de 4,5 à 5 milliards d'euros, réalisant une poussée de fièvre de 1,33%.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, laissait échapper 0,10%, tiré vers le bas par des exploitants dans la tourmente, et par la petite forme du bâtiment britannique pour le mois dernier.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondaient de 1,68 et 1,01%, leurs rivaux Eurasian Natural Resources et Randgold resources faisant encore pire avec 1,13 et 0,91%.
La City se retrouvait uniformément en berne, Lloyds Banking glissant de 0,18%, et HSBC Holdings de 0,40%, tandis que Barclays et la Royal Bank of Scotland se retrouvaient en lanternes rouges avec 0,51 et 0,91%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,26%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,27% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,29%.
Il avait été noté en fin de matinée que le baromètre définitif de l'activité des industries du bloc ayant adopté la monnaie unique avait chuté depuis 46,8 jusqu'à 46,7 pour avril, sa valeur la plus faible en quatre mois.
Son équivalent pour l'Allemagne suivait le même chemin, passant de 49,0 à 48,1 dans le même temps.
Le gouvernement des Etats-Unis conclura de son côté la journée avec son décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage et le solde du commerce extérieur.