Investing.com - Les bourses européennes étaient majoritairement sur la défensive ce mardi matin, à l'approche des résultats de l'Allemagne, à la veille l'intervention du chef de la banque centrale des Etats-Unis.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,27%, le CAC 40 français de 0,36%, et le DAX 30 allemand de 0,17%.
Les observateurs guettent en effet l'audition de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, au sujet de sa politique monétaire, sur fond de rumeurs d'une diminution de ses 85 milliards d'USD rachats mensuels.
Les places mondiales avaient retrouvé des couleurs après qu'il ait rappelé la semaine passée que l'économie américaine nécessitait le maintien des aides en place.
La finance était morose, la Deutsche Bank allemande se repliant de 0,30%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,46 et 0,38%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA chutant de 0,20 et 0,19%, l'italien Intesa Sanpaolo leur emboîtant le pas avec 0,63%.
L'opérateur Telecom Italia plongeait pour sa part de 3,14% après avoir interrompu le plan de séparation de ses réseaux, estimant que la décision des autorités nationales du secteur de rabaisser les coûts de l'accès à ses infrastructures pourrait "affecter sa sa faisabilité".
Tout n'était cependant pas désespéré, le transporteur aérien Deutsche Lufthansa s'envolant de 2,12% après que Goldman Sachs en ait remonté l'appréciation depuis le conseil de vente vers la neutralité.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, conquérait par contre 0,19%, tiré vers le haut par des exploitants et des extracteurs dopés par la hausse des cours des métaux.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassaient ainsi 0,91 et 2,12%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American partageant le même sort avec 0,96% et Eurasian Natural Resources aussi avec 1,87%.
Le deuxième avait annoncé à l'aube que la production de minerai de fer mondiale avait explosé de 7% au second trimestre.
La City était moins unanime, Barclays empochant 0,60% et la Royal Bank of Scotland 0,89%, tandis que Lloyds Banking et HSBC Holdings laissaient échapper 0,12 et 0,44%.
Les perspectives des marchés américains n'étaient pas non plus très optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,03%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,01% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,06%.
Le centre de recherches économiques ZEW rendra quand à lui aujourd'hui son rapport crucial sur le moral économique de l'Allemagne, ainsi que sur celui de la zone euro dans son entier, et le bloc ayant adopté la monnaie unique communiquera aussi les variations officielles de ses prix au détail.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec l'évolution de leurs prix à la consommation, les chiffres de leur production industrielle et le taux d'utilisation de leurs capacités.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,27%, le CAC 40 français de 0,36%, et le DAX 30 allemand de 0,17%.
Les observateurs guettent en effet l'audition de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, au sujet de sa politique monétaire, sur fond de rumeurs d'une diminution de ses 85 milliards d'USD rachats mensuels.
Les places mondiales avaient retrouvé des couleurs après qu'il ait rappelé la semaine passée que l'économie américaine nécessitait le maintien des aides en place.
La finance était morose, la Deutsche Bank allemande se repliant de 0,30%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,46 et 0,38%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA chutant de 0,20 et 0,19%, l'italien Intesa Sanpaolo leur emboîtant le pas avec 0,63%.
L'opérateur Telecom Italia plongeait pour sa part de 3,14% après avoir interrompu le plan de séparation de ses réseaux, estimant que la décision des autorités nationales du secteur de rabaisser les coûts de l'accès à ses infrastructures pourrait "affecter sa sa faisabilité".
Tout n'était cependant pas désespéré, le transporteur aérien Deutsche Lufthansa s'envolant de 2,12% après que Goldman Sachs en ait remonté l'appréciation depuis le conseil de vente vers la neutralité.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, conquérait par contre 0,19%, tiré vers le haut par des exploitants et des extracteurs dopés par la hausse des cours des métaux.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassaient ainsi 0,91 et 2,12%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American partageant le même sort avec 0,96% et Eurasian Natural Resources aussi avec 1,87%.
Le deuxième avait annoncé à l'aube que la production de minerai de fer mondiale avait explosé de 7% au second trimestre.
La City était moins unanime, Barclays empochant 0,60% et la Royal Bank of Scotland 0,89%, tandis que Lloyds Banking et HSBC Holdings laissaient échapper 0,12 et 0,44%.
Les perspectives des marchés américains n'étaient pas non plus très optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,03%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,01% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,06%.
Le centre de recherches économiques ZEW rendra quand à lui aujourd'hui son rapport crucial sur le moral économique de l'Allemagne, ainsi que sur celui de la zone euro dans son entier, et le bloc ayant adopté la monnaie unique communiquera aussi les variations officielles de ses prix au détail.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec l'évolution de leurs prix à la consommation, les chiffres de leur production industrielle et le taux d'utilisation de leurs capacités.