Investing.com - Les bourses européennes étaient en bonne forme ce jeudi, le moral des investisseurs s'améliorant lors d'échanges peu importants, tandis que flottait encore le spectre des effets de l'opération encore jamais vue de la Banque Centrale Européenne.
En première partie de séance en Europe, l'EURO STOXX 50 a progressé de 1.12%, le CAC 40 français de 1.13%, et le DAX 30 allemand de 1.12% aussi.
La BCE a ainsi accordé 489.19 milliards d'euros, le montant le plus important jamais alloué à une opération de refinancement à long terme, dans l'espoir d'éviter une pénurie des liquiditésdans le bloc ayant adopté la monnaie unique.
La manoeuvre tendait aussi à augenter les achats d'obligations de ses états membres surendettés, mais la demande d'une force inattendue de la part de 523 banques européennes a toutefois souligné la sévérité du côté financier de la crise.
La finance se plaçait donc au tableau d'honneur, la Deutsche Bank allemande engrangeant 2.92% et le prêteur néerlandais ING Groep 2.32%, les français BNP Paribas et Crédit Agricole se contentant respectivement de 1.39 et 1.13%.
Ceux de la périphérie étaient également à la fête, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit bondissant de 1.07 et 1.17%, tandis que les espagnols BBVA et Banco Santander se limitaient à 0.47 et 0.05%.
La compagnie aérienne germanique Lufthansa a quand à elle pris 1.37% après qu'International Consolidated Airlines ait signé une promesse d'achat de sa branche BMI britannique.
A Londres, le FTSE 100 a raflé 0.94%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux à l'approche de la publication du rapport définitif sur le produit intérieur brut national du troisième trimestre.
La banque Barclays s'est envolée de 2.3%, la Royal Bank of Scotland de 1.92%, HSBC holdings et Lloyds Banking n'étant pas en reste avec 1.58 et 0.9%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton se sont élevés de 0.98 et 0.78%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys gagnant 0.68 et 1.47%
Parmi les moins bonnes nouvelles, Stagecoach, opérateur de la première franchise de transport de passagers du pays a reculé de 1.22% après que JP Morgan en ait rabaissé l'appréciation, passant de "neutre" à "poids faible".
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.38%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.38% également et celles sur le Nasdaq 100 à 0.34%.
MArio Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, devrait pour sa part tenir un conférence de presse à Francfort après sa réunion avec le conseil européen sur le risque systémique.
Les Etats-Unis ont quand à eux prévu de révéler dans l'après-midi leur PIB du troisième trimestre ainsi qu e leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
En première partie de séance en Europe, l'EURO STOXX 50 a progressé de 1.12%, le CAC 40 français de 1.13%, et le DAX 30 allemand de 1.12% aussi.
La BCE a ainsi accordé 489.19 milliards d'euros, le montant le plus important jamais alloué à une opération de refinancement à long terme, dans l'espoir d'éviter une pénurie des liquiditésdans le bloc ayant adopté la monnaie unique.
La manoeuvre tendait aussi à augenter les achats d'obligations de ses états membres surendettés, mais la demande d'une force inattendue de la part de 523 banques européennes a toutefois souligné la sévérité du côté financier de la crise.
La finance se plaçait donc au tableau d'honneur, la Deutsche Bank allemande engrangeant 2.92% et le prêteur néerlandais ING Groep 2.32%, les français BNP Paribas et Crédit Agricole se contentant respectivement de 1.39 et 1.13%.
Ceux de la périphérie étaient également à la fête, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit bondissant de 1.07 et 1.17%, tandis que les espagnols BBVA et Banco Santander se limitaient à 0.47 et 0.05%.
La compagnie aérienne germanique Lufthansa a quand à elle pris 1.37% après qu'International Consolidated Airlines ait signé une promesse d'achat de sa branche BMI britannique.
A Londres, le FTSE 100 a raflé 0.94%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux à l'approche de la publication du rapport définitif sur le produit intérieur brut national du troisième trimestre.
La banque Barclays s'est envolée de 2.3%, la Royal Bank of Scotland de 1.92%, HSBC holdings et Lloyds Banking n'étant pas en reste avec 1.58 et 0.9%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton se sont élevés de 0.98 et 0.78%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys gagnant 0.68 et 1.47%
Parmi les moins bonnes nouvelles, Stagecoach, opérateur de la première franchise de transport de passagers du pays a reculé de 1.22% après que JP Morgan en ait rabaissé l'appréciation, passant de "neutre" à "poids faible".
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.38%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.38% également et celles sur le Nasdaq 100 à 0.34%.
MArio Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, devrait pour sa part tenir un conférence de presse à Francfort après sa réunion avec le conseil européen sur le risque systémique.
Les Etats-Unis ont quand à eux prévu de révéler dans l'après-midi leur PIB du troisième trimestre ainsi qu e leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.