Investing.com - Les bourses européennes étaient en bonne forme ce jeudi, alors que les investisseurs guettaient les résultats des enchères cruciales de dettes espagnoles devant avoir lieu à la mi-journée, sur fond de craintes que le pays ne devienne le prochain membre de la zone euro à nécessiter un plan de sauvetage.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.8%, le CAC 40 français de 0.99%, et le DAX 30 allemand de 0.71%.
Madrid comptait en effet émettre aujourd'hui pour 2.5 milliards d'obligations bi et décennales, alors que les taux de ses emprunts décennaux avaient dépassé les 6% en début de semaine, alimentant la crainte que le pays ne soit le prochain à demander une bouée salvatrice.
Les adjuducations espagnoles à court terme d'avant-hier avaient légèrement rassuré en remplissant les objectifs d'émission de 3 milliards d'euros en bons du trésor, mais leurs frais ont presque doublé.
Le moral avait encore reculé d'un cran après que la banque centrale espagnole ait révélé hier que la quantité des prêts indésirables détenus par les établissements financiers du pays avait atteint en février son plus haut niveau en 18 ans, ravivant les craintes concernant la santé du secteur bancaire national.
Le domaine a toutefois repris des couleurs, BNP Paribas et Société Générale bondissant respectivement pour la France de 1.37 et 1.28%, l'allemand Deutsche Bank de 1.04% et l'ING Groep néerlandais de 1.14%.
La périphérie n'était pas en reste, les espagnols BBVA et Banco Santander suivant le mouvement de 0.73 et 1.08%, et les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit de 0.76 et 1.69%.
Le groupe pharmaceutique suisse Roche Holding a pour sa part raflé 0.93% suit à l'aveu de l'abandon de son offre d'achat de 6.7 miliards d'USD pour Illumina Inc. en raison des inquiétudes de ses actionnaires concernant la viabilité de la technologie de décodage génétique de ce dernier.
Parmi les moins bonnes nouvelles, l'empire médiatique français Vivendi a reculé de 0.24% alors que Jean-Bernard Levy, son directeur général, s'apprêtait à s'adresser en cours de journée devant une assemblée générale, sur fond d'appels à l'audit des actifs et à la restructuration.
A Londres, le FTSE 100 a grimpé de 0.41%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin ascendant général.
Lloyds Banking s'est envolé de 1.3%, et HSBC Holdings de 0.66%, tandis que la Royal Bank of Scotland et Barclays se contentaient de 0.65 et 0.54%.
Les matières premières étaient aussi de la fête, Rio Tinto et BHP Billiton engrangeant 0.67 et 1.21%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys n'étant pas en reste avec 0.15 et 0.93%.
Cable & Wireless Worldwide s'est pour sa part effondré de 20.36% après que le Vodafone Group s'en soit retrouvé comme seul acheteur potentiel, Tata Communications n'ayant pas réussi à dégager une offre consensuelle et s'étant donc abstenu de faire une proposition à l'opérateur réseau britannique.
Il était d'ailleurs à noter que Vodafone encaissait 0.88% dans le même temps.
Les perspectives des marchés américains étaient eux aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.54%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.6% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.74%.
Les Etats-Unis rendront quand à eux dans l'après-midi leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, puis le nombre des ventes de maisons d'occasion enregistrées par les experts immobiliers, et enfin une étude sur l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.8%, le CAC 40 français de 0.99%, et le DAX 30 allemand de 0.71%.
Madrid comptait en effet émettre aujourd'hui pour 2.5 milliards d'obligations bi et décennales, alors que les taux de ses emprunts décennaux avaient dépassé les 6% en début de semaine, alimentant la crainte que le pays ne soit le prochain à demander une bouée salvatrice.
Les adjuducations espagnoles à court terme d'avant-hier avaient légèrement rassuré en remplissant les objectifs d'émission de 3 milliards d'euros en bons du trésor, mais leurs frais ont presque doublé.
Le moral avait encore reculé d'un cran après que la banque centrale espagnole ait révélé hier que la quantité des prêts indésirables détenus par les établissements financiers du pays avait atteint en février son plus haut niveau en 18 ans, ravivant les craintes concernant la santé du secteur bancaire national.
Le domaine a toutefois repris des couleurs, BNP Paribas et Société Générale bondissant respectivement pour la France de 1.37 et 1.28%, l'allemand Deutsche Bank de 1.04% et l'ING Groep néerlandais de 1.14%.
La périphérie n'était pas en reste, les espagnols BBVA et Banco Santander suivant le mouvement de 0.73 et 1.08%, et les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit de 0.76 et 1.69%.
Le groupe pharmaceutique suisse Roche Holding a pour sa part raflé 0.93% suit à l'aveu de l'abandon de son offre d'achat de 6.7 miliards d'USD pour Illumina Inc. en raison des inquiétudes de ses actionnaires concernant la viabilité de la technologie de décodage génétique de ce dernier.
Parmi les moins bonnes nouvelles, l'empire médiatique français Vivendi a reculé de 0.24% alors que Jean-Bernard Levy, son directeur général, s'apprêtait à s'adresser en cours de journée devant une assemblée générale, sur fond d'appels à l'audit des actifs et à la restructuration.
A Londres, le FTSE 100 a grimpé de 0.41%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin ascendant général.
Lloyds Banking s'est envolé de 1.3%, et HSBC Holdings de 0.66%, tandis que la Royal Bank of Scotland et Barclays se contentaient de 0.65 et 0.54%.
Les matières premières étaient aussi de la fête, Rio Tinto et BHP Billiton engrangeant 0.67 et 1.21%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys n'étant pas en reste avec 0.15 et 0.93%.
Cable & Wireless Worldwide s'est pour sa part effondré de 20.36% après que le Vodafone Group s'en soit retrouvé comme seul acheteur potentiel, Tata Communications n'ayant pas réussi à dégager une offre consensuelle et s'étant donc abstenu de faire une proposition à l'opérateur réseau britannique.
Il était d'ailleurs à noter que Vodafone encaissait 0.88% dans le même temps.
Les perspectives des marchés américains étaient eux aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.54%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.6% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.74%.
Les Etats-Unis rendront quand à eux dans l'après-midi leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, puis le nombre des ventes de maisons d'occasion enregistrées par les experts immobiliers, et enfin une étude sur l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.