Investing.com - Les bourses européennes étaient sur la défensive ce vendredi matin, alors que tous les yeux étaient braqués vers le baromètre de la confiance dans les affaires allemandes, et que le doute sur la possibilité d'arracher une accord de résolution de la crise grecque avant la fin de semaine plombait l'atmosphère.
En début de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 0.24%, le CAC 40 français de 0.32%, et le DAX 30 allemand de 0.15%.
Le moral restait cependant bon après que la chancelière allemande Angela Merkel ait déclaré de son côté qu'un accord de déblocage de la tranche d'aides que la Grèce attend depuis un certain temps pourrait toujours être trouvé une fois que les membres de l'Eurogroupe reprendraient les négociations lundi.
Leurs pourparlers de mardi avec le Fonds Monétaire International se sont en effet heurtés à une impasse, privant ainsi Athènes de sa bouée de sauvetage, en raison des désaccords concernant la meilleure façon de réduire le fardeau de sa dette à un niveau gérable.
Il avait aussi été signalé hier que l'indice de l'activité manufacturière allemande avait redressé la tête depuis 46 vers 46.8 pour novembre, au lieu des 45.9 redoutés.
Celle du bloc euro n'étaient pas en reste, s'élevant de 45.4 vers 46.2, contre 45.6 envisagés sur une période identique, et celle de la France dépassait aussi les espérances.
La finance était largement en berne, les français BNP Paribas et Société Générale laissant respectivement échapper 0.33 et 0.22%, leurs dégâts étant nettement plus limités que ceux des allemands Deutsche Bank et Commerzbank avec 0.63 et 1.97%.
EADS sombrait de 3.7% après que le journal germanique Handelsblatt ait rapporté que Berlin comptait en racheter des actions à la France, affirmant que les deux gouvernements souhaiteraient en détenir 12% chacun et que l'Espagne se contenterait de 5%.
Mais toutes les nouvelles n'étaient pas mauvaises, le fournisseur de services financiers Delta Lloyd grimpant de 0.81% après avoir annulé la vente de sa branche opérant en Allemagne à Nomura Holdings, précisant étudier d'autres options stratégiques à son sujet.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a trébuché de 0.09%, tiré vers le bas par des extracteurs en difficulté.
Le sidérurgiste Evraz était parmi les lanternes rouges, fondant de 0.84%, les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton n'étant pas en reste avec 0.86 et 0.26%.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, leur emboîtait le pas avec 0.84%, suivi de son rival BP avec 0.21%.
La City était plus mitigée, Lloyds Banking commettant un faux pas de 0.02%, imité par Barclays avec 0.05%, tandis que la Royal Bank of Scotland se rétractait de 0.7%, mais que HSBC Holdings surnageait en arrachant 0.05%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.16%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.1% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.13%.
Le volume des transactions devrait toutefois être limité, la séance américaine devant être abrégée en raison du pont de Thanksgiving.
L'Allemagne comptait de son côté rendre aujourd'hui un rapport sur la confiance dans les affaires, tandis que les chefs de l'Union Européenne continueront à discuter à Bruxelles au sujet de l'Espagne et de la Grèce, ainsi que du renforcement de la coopération fiscale et monétaire régionale.
En début de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 0.24%, le CAC 40 français de 0.32%, et le DAX 30 allemand de 0.15%.
Le moral restait cependant bon après que la chancelière allemande Angela Merkel ait déclaré de son côté qu'un accord de déblocage de la tranche d'aides que la Grèce attend depuis un certain temps pourrait toujours être trouvé une fois que les membres de l'Eurogroupe reprendraient les négociations lundi.
Leurs pourparlers de mardi avec le Fonds Monétaire International se sont en effet heurtés à une impasse, privant ainsi Athènes de sa bouée de sauvetage, en raison des désaccords concernant la meilleure façon de réduire le fardeau de sa dette à un niveau gérable.
Il avait aussi été signalé hier que l'indice de l'activité manufacturière allemande avait redressé la tête depuis 46 vers 46.8 pour novembre, au lieu des 45.9 redoutés.
Celle du bloc euro n'étaient pas en reste, s'élevant de 45.4 vers 46.2, contre 45.6 envisagés sur une période identique, et celle de la France dépassait aussi les espérances.
La finance était largement en berne, les français BNP Paribas et Société Générale laissant respectivement échapper 0.33 et 0.22%, leurs dégâts étant nettement plus limités que ceux des allemands Deutsche Bank et Commerzbank avec 0.63 et 1.97%.
EADS sombrait de 3.7% après que le journal germanique Handelsblatt ait rapporté que Berlin comptait en racheter des actions à la France, affirmant que les deux gouvernements souhaiteraient en détenir 12% chacun et que l'Espagne se contenterait de 5%.
Mais toutes les nouvelles n'étaient pas mauvaises, le fournisseur de services financiers Delta Lloyd grimpant de 0.81% après avoir annulé la vente de sa branche opérant en Allemagne à Nomura Holdings, précisant étudier d'autres options stratégiques à son sujet.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a trébuché de 0.09%, tiré vers le bas par des extracteurs en difficulté.
Le sidérurgiste Evraz était parmi les lanternes rouges, fondant de 0.84%, les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton n'étant pas en reste avec 0.86 et 0.26%.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, leur emboîtait le pas avec 0.84%, suivi de son rival BP avec 0.21%.
La City était plus mitigée, Lloyds Banking commettant un faux pas de 0.02%, imité par Barclays avec 0.05%, tandis que la Royal Bank of Scotland se rétractait de 0.7%, mais que HSBC Holdings surnageait en arrachant 0.05%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.16%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.1% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.13%.
Le volume des transactions devrait toutefois être limité, la séance américaine devant être abrégée en raison du pont de Thanksgiving.
L'Allemagne comptait de son côté rendre aujourd'hui un rapport sur la confiance dans les affaires, tandis que les chefs de l'Union Européenne continueront à discuter à Bruxelles au sujet de l'Espagne et de la Grèce, ainsi que du renforcement de la coopération fiscale et monétaire régionale.