Investing.com - Les bourses européennes étaient en recul ce vendredi matin, la nervosité étant palpable alors que les ministres des finances et les chefs des banques centrales du groupe des 20 pays les plus développés se rassemblaient à Moscou afin d'évoquer la volatilité touchant les marchés, le chômage et la lenteur de la relance économique.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,39%, le CAC 40 français de 0,42%, et le DAX 30 allemand de 0,45%.
Une étude officielle avait aussi fait savoir à l'aube que les coûts de production de l'Allemagne avaient stagné en juin, alors qu'une érosion de 0,1% était pressentie, suite à celle de 0,3% enregistrée auparavant.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a quand à lui rappelé hier que la politique monétaire demeurerait fortement assouplie, même en cas de diminution de ses injections de liquidités.
Il tenait ses propos lors du second jour de son audition semestrielle devant les élus du pays.
La finance avait cependant le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 0,55%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,19 et 0,33%.
Il en était de même à la périphérie, l'espagnol BBVA encaissant 0,15%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit lui emboîtant le pas avec 2,27 et 2,33%.
L'éditeur de logiciel finlandais Tieto Oyj dégringolait par contre de 3,68% après avoir déploré des revenus nets de 7,4 millions d'euros pour lse second trimestre, soit moins de la moitié des 17,2 millions avancés par les experts.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, sombrait de 0,44%, tiré vers le bas par des exploitants en difficulté.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondaient ainsi de 2,22 et 2,40%, leurs rivaux Evraz et Fresnillo n'étant pas à l'abri avec 2,65 et 3,27%.
La City ne suivait guère le chemin tracé sur le continent, Barclays laissant échapper 0,27%, HSBC Holdings 0,96% et Lloyds Banking 1,20%, tandis que la Royal Bank of Scotland émergeait cependant de 1,06%.
Tout n'était cependant pas désespéré, l'opérateur de téléphonie mobile Vodafone engrangeant 0,47%, malgré des recettes en chute au premier trimestre en raison d'une guerre des prix en Allemagne, aggravant son recul triennal dans le sud de l'Europe.
Les perspectives des marchés américains partageaient le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,20%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,14% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,17%.
Le volume des transactions d'aujourd'hui semblait toutefois devoir demeurer faible, en l'absence d'informations économiques majeures provenant des Etats-Unis.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,39%, le CAC 40 français de 0,42%, et le DAX 30 allemand de 0,45%.
Une étude officielle avait aussi fait savoir à l'aube que les coûts de production de l'Allemagne avaient stagné en juin, alors qu'une érosion de 0,1% était pressentie, suite à celle de 0,3% enregistrée auparavant.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a quand à lui rappelé hier que la politique monétaire demeurerait fortement assouplie, même en cas de diminution de ses injections de liquidités.
Il tenait ses propos lors du second jour de son audition semestrielle devant les élus du pays.
La finance avait cependant le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 0,55%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,19 et 0,33%.
Il en était de même à la périphérie, l'espagnol BBVA encaissant 0,15%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit lui emboîtant le pas avec 2,27 et 2,33%.
L'éditeur de logiciel finlandais Tieto Oyj dégringolait par contre de 3,68% après avoir déploré des revenus nets de 7,4 millions d'euros pour lse second trimestre, soit moins de la moitié des 17,2 millions avancés par les experts.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, sombrait de 0,44%, tiré vers le bas par des exploitants en difficulté.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondaient ainsi de 2,22 et 2,40%, leurs rivaux Evraz et Fresnillo n'étant pas à l'abri avec 2,65 et 3,27%.
La City ne suivait guère le chemin tracé sur le continent, Barclays laissant échapper 0,27%, HSBC Holdings 0,96% et Lloyds Banking 1,20%, tandis que la Royal Bank of Scotland émergeait cependant de 1,06%.
Tout n'était cependant pas désespéré, l'opérateur de téléphonie mobile Vodafone engrangeant 0,47%, malgré des recettes en chute au premier trimestre en raison d'une guerre des prix en Allemagne, aggravant son recul triennal dans le sud de l'Europe.
Les perspectives des marchés américains partageaient le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,20%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,14% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,17%.
Le volume des transactions d'aujourd'hui semblait toutefois devoir demeurer faible, en l'absence d'informations économiques majeures provenant des Etats-Unis.