Investing.com - Les bourses européennes étaient en berne ce mardi, alors que la prudence restait de mise pour la seconde journée de pourparlers des ministres des finances de la zone euro à Bruxelles, sur fond d'angoisse concernant les perspectives de croissance mondiales.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.18%, le CAC 40 français de 0.06%, et le DAX 30 allemand de 0.46%.
La tension était de mise après que la rencontre des membres de l'Eurogroupe ayant eu lieu hier ait débouché sur peu de signes de progression dans la résolution du problème du surendettement régional.
Les chargés des finances de la région se sont donc mis d'accord lors de leur réunion pour repousser à 2014 la date à partir de laquelle Madrid devra atteindre ses objectifs de réduction des déficits, en échange de nouvelles coupes budgétaires, ainsi que sur les conditions d'attribution d'aides aux banques espagnoles en détresse.
Aucune avancée ne semblait avoir eu lieu du côté de la mise en place d'interventions des fonds de secours sur les marchés obligataires afin de juguler l'envolée des coûts des emprunts de l'Espagne et de l'Italie.
Les bons du trésors à dix ans de la première se sont retrouvées à 6.94%, et ceux de la seconde à 6.05%, les uns et les autres se rapprochant dangereusement du seuil des 7% largement considéré comme intenable sur le long terme.
Les craintes concernant la croissance mondiale persistaient après qu'il ait été montré que les importations de la Chine avaient progressé en juin à la moitié du rythme espéré, mettant en relief le fait que l'économie et la demande locale baissaient rapidement, bien que les exportations aient légèrement dépassé les prévisions.
La finance ne savait sur quel pied danser, coiffant le bonnet d'âne du versant espagnol, BBVA plongeant de 1.37 et Banco Santander de 0.33%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit suivant respectivement le mouvement avec 0.97 et 0.73%.
Les français BNP PAribas et Société Générale ont par contre gagné 0.65 et 0.29%, tandis que Deutsche Bank et Commerzbank, leurs deux plus gros collègues allemands, n'étaient pas en reste avec 0.07 et 0.88%.
Les laboratoires pharmaceutiques Sanofi, basés en France, ont engrangé 0.87% après avoir déclaré vouloir se débarrasser de leurs 19.3% de parts du Yves Rocher Group d'ici la fin du troisième trimestre.
A Londres, le FTSE 100 a trébuché de 0.05%, à l'approche de la révélation des performances manufacturières et du solde du coommerce extérieur du Royaume-Uni.
La City était largement en forme, HSBC Holdings avançant de 0.36%, Lloyds Banking de 0.4%, Barclays et la Royal Bank of Scotland se contentant de 0.17 et 0.05%.
Le cuivrier Xstrata a apporté sa pierre avec 0.47% d'amélioration, alors que les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton laissaient échapper 0.87 et 0.37%.
Le secteur énergétique hésitait aussi, BP prenant 0.5%, et Cairn Energy 1.41%, tandis qu'Essar Energy dégringolait de 2.75% après que Barclays en ait rabaissé l'objectif de prix.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.28%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.45% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.41%.
Les autorités françaises avaient pour leur part signalé ce matin que la production industrielle du pays avait subi un dérapage de 1.9% en mai, dépassant largement les 0.9% redoutés, après avoir pourtant bondi de 1.4% en avril.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.18%, le CAC 40 français de 0.06%, et le DAX 30 allemand de 0.46%.
La tension était de mise après que la rencontre des membres de l'Eurogroupe ayant eu lieu hier ait débouché sur peu de signes de progression dans la résolution du problème du surendettement régional.
Les chargés des finances de la région se sont donc mis d'accord lors de leur réunion pour repousser à 2014 la date à partir de laquelle Madrid devra atteindre ses objectifs de réduction des déficits, en échange de nouvelles coupes budgétaires, ainsi que sur les conditions d'attribution d'aides aux banques espagnoles en détresse.
Aucune avancée ne semblait avoir eu lieu du côté de la mise en place d'interventions des fonds de secours sur les marchés obligataires afin de juguler l'envolée des coûts des emprunts de l'Espagne et de l'Italie.
Les bons du trésors à dix ans de la première se sont retrouvées à 6.94%, et ceux de la seconde à 6.05%, les uns et les autres se rapprochant dangereusement du seuil des 7% largement considéré comme intenable sur le long terme.
Les craintes concernant la croissance mondiale persistaient après qu'il ait été montré que les importations de la Chine avaient progressé en juin à la moitié du rythme espéré, mettant en relief le fait que l'économie et la demande locale baissaient rapidement, bien que les exportations aient légèrement dépassé les prévisions.
La finance ne savait sur quel pied danser, coiffant le bonnet d'âne du versant espagnol, BBVA plongeant de 1.37 et Banco Santander de 0.33%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit suivant respectivement le mouvement avec 0.97 et 0.73%.
Les français BNP PAribas et Société Générale ont par contre gagné 0.65 et 0.29%, tandis que Deutsche Bank et Commerzbank, leurs deux plus gros collègues allemands, n'étaient pas en reste avec 0.07 et 0.88%.
Les laboratoires pharmaceutiques Sanofi, basés en France, ont engrangé 0.87% après avoir déclaré vouloir se débarrasser de leurs 19.3% de parts du Yves Rocher Group d'ici la fin du troisième trimestre.
A Londres, le FTSE 100 a trébuché de 0.05%, à l'approche de la révélation des performances manufacturières et du solde du coommerce extérieur du Royaume-Uni.
La City était largement en forme, HSBC Holdings avançant de 0.36%, Lloyds Banking de 0.4%, Barclays et la Royal Bank of Scotland se contentant de 0.17 et 0.05%.
Le cuivrier Xstrata a apporté sa pierre avec 0.47% d'amélioration, alors que les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton laissaient échapper 0.87 et 0.37%.
Le secteur énergétique hésitait aussi, BP prenant 0.5%, et Cairn Energy 1.41%, tandis qu'Essar Energy dégringolait de 2.75% après que Barclays en ait rabaissé l'objectif de prix.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.28%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.45% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.41%.
Les autorités françaises avaient pour leur part signalé ce matin que la production industrielle du pays avait subi un dérapage de 1.9% en mai, dépassant largement les 0.9% redoutés, après avoir pourtant bondi de 1.4% en avril.