Investing.com - Les bourses européennes ont repris pied ce mercredi, l'enthousiasme étant revenu après que la Banque du Japon ait dévoilé de nouveaux accomodements, tandis que les yeux restaient tournés vers l'évolution de la situation espagnole.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.47%, le CAC 40 français de 0.46%, et le DAX 30 allemand de 0.28%.
La banque centrale nippone a en effet annoncé en début de matinée l'augmentation du montant de ses rachats mensuels de dettes jusqu'à un total de 80 billions de JPY, afin de donner un coup de fouet à l'économie tout en contrant le renforcement du yen.
L'ambiance restait à la prudence, après qu'il ait été rapporté que le premier ministre espagnol Mariano Rajoy demeurait incertain quand à un recours éventuel à la main tendue par la Banque Centrale Européenne, qui impliquerait de s'inscrire au fonds de secours permanent.
La circonspection se trouvait exacerbée par le taux des obligations décennales du pays, qui se situait vers 5.89%, et demeurait proche de la barre des 7%, généralement estimés intenables sur le long terme.
Mais la finance ne s'en trouvait pas moins en forme, les allemands Deutsche Bank et Commerzbank bondissant respectivement de 1.6 et 2.02%, les français Société Générale et BNP Paribas se contentant de 0.58 et 0.53%.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo suivant le mouvement de 1.24 et 0.4%, les espagnols Banco Santander et BBVA leur emboîtant le pas avec 0.66 et 0.15%.
Le brasseur Heineken s'est pour sa part envolé de 6.27% après que ses actionnaires aient déclaré soutenir son offre s'élevant à 4.6 milliards d'USD pour Asia Pacific Breweries Ltd.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.21%, tiré vers le haut par des extracteurs allant de l'avant.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, se situait dans le peloton de tête en engrangeant 2.18%, son rival BP lui emboîtant le pas avec 0.89%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton n'étaient pas en reste avec 0.76 et 0.68% d'amélioration, et les cuivriers Xstrata et Kazakhmys non plus avec 0.59 et 3.54%.
Lonmin a quand à lui connu une poussée de 4.29% grâce au soulagement saluant son nouvel accord sur les salaires accordés aux employés de sa mine sud-africaine de Marikana.
La City était cependant moins tranchée, HSBC Holdings arrachant 1.24%, et Royal Bank of Scotland 0.49%, tandis que Lloyds Banking et Barclays cédaient 0.15 et 0.29%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.26%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.29% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.29% également.
Les Etats-Unis devraient de leur côté conclure la journée avec le nombre des permis de construire qu'elles ont accordés, ainsi que celui des constructions entamées, sans oublir l'inventaire hebdomadaire des réserves pétrolières, ainsi qu'un rapport des spécialistes de l'immobilier concernant les ventes de logements d'occasion.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.47%, le CAC 40 français de 0.46%, et le DAX 30 allemand de 0.28%.
La banque centrale nippone a en effet annoncé en début de matinée l'augmentation du montant de ses rachats mensuels de dettes jusqu'à un total de 80 billions de JPY, afin de donner un coup de fouet à l'économie tout en contrant le renforcement du yen.
L'ambiance restait à la prudence, après qu'il ait été rapporté que le premier ministre espagnol Mariano Rajoy demeurait incertain quand à un recours éventuel à la main tendue par la Banque Centrale Européenne, qui impliquerait de s'inscrire au fonds de secours permanent.
La circonspection se trouvait exacerbée par le taux des obligations décennales du pays, qui se situait vers 5.89%, et demeurait proche de la barre des 7%, généralement estimés intenables sur le long terme.
Mais la finance ne s'en trouvait pas moins en forme, les allemands Deutsche Bank et Commerzbank bondissant respectivement de 1.6 et 2.02%, les français Société Générale et BNP Paribas se contentant de 0.58 et 0.53%.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo suivant le mouvement de 1.24 et 0.4%, les espagnols Banco Santander et BBVA leur emboîtant le pas avec 0.66 et 0.15%.
Le brasseur Heineken s'est pour sa part envolé de 6.27% après que ses actionnaires aient déclaré soutenir son offre s'élevant à 4.6 milliards d'USD pour Asia Pacific Breweries Ltd.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.21%, tiré vers le haut par des extracteurs allant de l'avant.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, se situait dans le peloton de tête en engrangeant 2.18%, son rival BP lui emboîtant le pas avec 0.89%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton n'étaient pas en reste avec 0.76 et 0.68% d'amélioration, et les cuivriers Xstrata et Kazakhmys non plus avec 0.59 et 3.54%.
Lonmin a quand à lui connu une poussée de 4.29% grâce au soulagement saluant son nouvel accord sur les salaires accordés aux employés de sa mine sud-africaine de Marikana.
La City était cependant moins tranchée, HSBC Holdings arrachant 1.24%, et Royal Bank of Scotland 0.49%, tandis que Lloyds Banking et Barclays cédaient 0.15 et 0.29%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.26%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.29% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.29% également.
Les Etats-Unis devraient de leur côté conclure la journée avec le nombre des permis de construire qu'elles ont accordés, ainsi que celui des constructions entamées, sans oublir l'inventaire hebdomadaire des réserves pétrolières, ainsi qu'un rapport des spécialistes de l'immobilier concernant les ventes de logements d'occasion.