Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce jeudi, le secteur financier se trouvant ragaillardi par l'espoir d'une réponse coordonnée à la crise de la dette souveraine de la zone euro, dans l'attente de la réunion cruciale de la Banque Centrale Européenne devant avoir lieu aujourd'hui.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a bondi de 1.98%, le CAC 40 français de 2%, et le DAX 30 allemand de 2.14%.
Le goût pour le risque est revenu après que les dirigeants européens aient reconnu que de nouvelles initiatives étaient nécessaires pour soutenir un secteur bancaire régional en difficulté.
Les valeurs de la zone ont également été encouragées par l'Autorité Bancaire Européenne, déclarant qu'elle étudiait les positions des capitaux des institutions financiaires mais que de nouveaux tests d'effort ne seraient pas effectués.
Les prêteurs français ont ouvert la marche, BNP Paribas s'envolant de 6.35%, la Société Générale de 5.34% et le Crédit Agricole de 4.83%.
La banque franco-belge Dexia, subissant de graves difficultés, a repris 2.45% après qu'Yves Leterme, le premier ministre belge, aurait annoncé que le gouvernement s'assurerait de la survie de Dexia, sans toutefois écarter une nationalisation partielle ou non de sa branche belge.
Les constructeurs automobiles avaient également le sourire, Peugeot Citroën engrangeant 6.56%, BMW 4.21% et Daimler 2.77%.
A Londres, le FTSE 100 a progressé de 1.41%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Lloyds Banking s'est élevé de 5.15%, Barclays de 4.65% et la Royal Bank of Scotland de 4.25%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton n'étaient pas en reste avec respectivement 5.1 et 3.55% d'amélioration, tandis que les cuivriers Kazakhmys et Xstrata gagnaient 5.88 et 3.38%.
Les perspectives des marchés américains étaient également optimistes après qu'une étude parue hier ait montré que le secteur privé américain avait davantage créé d'emplois au cours du mois dernier que prévu.
Les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de0.68 %, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.57% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.47%.
La Banque Centrale Européenne révèlera son taux directeur dans la journée, puis Jean-Claude Trichet, son président, tiendra une dernière conférence de presse avant de libérer son poste.
Le volume des commandes passées auprès des usines allemandes sera également publié dans l'après-midi.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a bondi de 1.98%, le CAC 40 français de 2%, et le DAX 30 allemand de 2.14%.
Le goût pour le risque est revenu après que les dirigeants européens aient reconnu que de nouvelles initiatives étaient nécessaires pour soutenir un secteur bancaire régional en difficulté.
Les valeurs de la zone ont également été encouragées par l'Autorité Bancaire Européenne, déclarant qu'elle étudiait les positions des capitaux des institutions financiaires mais que de nouveaux tests d'effort ne seraient pas effectués.
Les prêteurs français ont ouvert la marche, BNP Paribas s'envolant de 6.35%, la Société Générale de 5.34% et le Crédit Agricole de 4.83%.
La banque franco-belge Dexia, subissant de graves difficultés, a repris 2.45% après qu'Yves Leterme, le premier ministre belge, aurait annoncé que le gouvernement s'assurerait de la survie de Dexia, sans toutefois écarter une nationalisation partielle ou non de sa branche belge.
Les constructeurs automobiles avaient également le sourire, Peugeot Citroën engrangeant 6.56%, BMW 4.21% et Daimler 2.77%.
A Londres, le FTSE 100 a progressé de 1.41%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Lloyds Banking s'est élevé de 5.15%, Barclays de 4.65% et la Royal Bank of Scotland de 4.25%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton n'étaient pas en reste avec respectivement 5.1 et 3.55% d'amélioration, tandis que les cuivriers Kazakhmys et Xstrata gagnaient 5.88 et 3.38%.
Les perspectives des marchés américains étaient également optimistes après qu'une étude parue hier ait montré que le secteur privé américain avait davantage créé d'emplois au cours du mois dernier que prévu.
Les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de0.68 %, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.57% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.47%.
La Banque Centrale Européenne révèlera son taux directeur dans la journée, puis Jean-Claude Trichet, son président, tiendra une dernière conférence de presse avant de libérer son poste.
Le volume des commandes passées auprès des usines allemandes sera également publié dans l'après-midi.