Investing.com - Les bourses d'Europe étaient en forme ce mercredi, la confiance des investisseurs se trouvant renforcée par les bruits parlant d'un accord franco-allemand de renforcement du fonds de secours européen.
En preière partie de séance, l'EuRO STOXX 50 prenait 0.64%, le CAC 40 français 0.55% et le DAX 30 allemand 0.42%.
Les moral des investisseurs s'est trouvé ragaillardi hier après que le quotidien britannique Guardian ait affirmé que l'Allemagne et la France se seraient mises d'accord pour agrandir la taille du Mécanisme de Stabilisation Financière Européen jusqu'à 2 billions d'euros, ce qu'ont ensuite démenti les autorités des deux pays.
Les craintes liées à la crise de la dette souveraine de la zone euro se trouvaient également apaisées par Angela Merkel, la chancelière allemande, reconnaissant que le sommet européen du 23 octobre sserait "une étape importante" dans la résolution du problème du surendettement régional.
La finance a servi de locomotive, BNP Paribas s'envolant de 4.02%, la Société Générale de 2.5%, la Deutsche Bank allemande de 3.43% et l'ING Groep néerlandais de 4.34%.
Les banques espagnoles ont également suivi le mouvement, ne tenant aucun compte de l'annonce du début de journée de la rétrogradation par l'agence Moody's de la notation monétaire du pays de deux crans, passant de A1 vers Aa2, Banco Santander gagnant 1.01% et BBVA 1.27%.
Les secteurs de l'énergie et de l'automobile n'étaient pas en reste, les français EDF et Total prenant respectivement 1.04 et 0.89%, et le constructeur automobile Renault 2.9%, tandis qu'en Allemagne, le fournisseur d'électricité RWE AG raflait 1.97% et Daimler et BMW 1.71 et 0.69%.
A Londres, le FTSE 100 a progressé de 0.81%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Lloyds banking et la Royal Bank of Scotland se trouvaient en haut du tableau avec 3.07 et 2.84%, tandis que Barclays avançait de 0.71% et HSBC de 0.71%.
British Petroleum a également été de la fête avec 1.49%, taandis que les compagnies minières reculaient avec les prix des matières premières, Rio Tinto trébuchant de 0.77% et BHP Billiton de 0.13%.
Les perspectives américaines étaient toutefois moroses avant l'ouverture: les options sur le Dow Jones pointant vers une ouverture en régression de 0.36%, celles sur le S&P 500 l'etimant à 0.52% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.89%.
Les Etats-Unis devraient quand à eux dévoiler dans la journée leurs rapports gouvernementaux portant notament sur le nombre des permis de construire accordés et l'évolution des prix à au détail constatée par les autorités.
En preière partie de séance, l'EuRO STOXX 50 prenait 0.64%, le CAC 40 français 0.55% et le DAX 30 allemand 0.42%.
Les moral des investisseurs s'est trouvé ragaillardi hier après que le quotidien britannique Guardian ait affirmé que l'Allemagne et la France se seraient mises d'accord pour agrandir la taille du Mécanisme de Stabilisation Financière Européen jusqu'à 2 billions d'euros, ce qu'ont ensuite démenti les autorités des deux pays.
Les craintes liées à la crise de la dette souveraine de la zone euro se trouvaient également apaisées par Angela Merkel, la chancelière allemande, reconnaissant que le sommet européen du 23 octobre sserait "une étape importante" dans la résolution du problème du surendettement régional.
La finance a servi de locomotive, BNP Paribas s'envolant de 4.02%, la Société Générale de 2.5%, la Deutsche Bank allemande de 3.43% et l'ING Groep néerlandais de 4.34%.
Les banques espagnoles ont également suivi le mouvement, ne tenant aucun compte de l'annonce du début de journée de la rétrogradation par l'agence Moody's de la notation monétaire du pays de deux crans, passant de A1 vers Aa2, Banco Santander gagnant 1.01% et BBVA 1.27%.
Les secteurs de l'énergie et de l'automobile n'étaient pas en reste, les français EDF et Total prenant respectivement 1.04 et 0.89%, et le constructeur automobile Renault 2.9%, tandis qu'en Allemagne, le fournisseur d'électricité RWE AG raflait 1.97% et Daimler et BMW 1.71 et 0.69%.
A Londres, le FTSE 100 a progressé de 0.81%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Lloyds banking et la Royal Bank of Scotland se trouvaient en haut du tableau avec 3.07 et 2.84%, tandis que Barclays avançait de 0.71% et HSBC de 0.71%.
British Petroleum a également été de la fête avec 1.49%, taandis que les compagnies minières reculaient avec les prix des matières premières, Rio Tinto trébuchant de 0.77% et BHP Billiton de 0.13%.
Les perspectives américaines étaient toutefois moroses avant l'ouverture: les options sur le Dow Jones pointant vers une ouverture en régression de 0.36%, celles sur le S&P 500 l'etimant à 0.52% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.89%.
Les Etats-Unis devraient quand à eux dévoiler dans la journée leurs rapports gouvernementaux portant notament sur le nombre des permis de construire accordés et l'évolution des prix à au détail constatée par les autorités.