Investing.com - Les bourses européennes faisaient ce qu'elles pouvaient ce jeudi matin, mais elles subissaient toujours la pression des inquiétudes au sujet de la gestion des problèmes de surendettement de l'Espagne et de la Grèce.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.09%, le CAC 40 français de 0.09% aussi, et le DAX 30 allemand de 0.27%.
La circonspection restait à l'ordre du jour, sur fond d'incertitudes concernant l'éventuel appel au secours de Madrid, ainsi que l'attribution ou non de la prochaine tranche d'aides à Athènes.
Mais le soulagement avait été général après que des chiffres officiels aient montré que l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier de la Chine était remonté depuis 49.8 jusqu'à 50.2 pour octobre, soit à peine moins que les 50.3 escomptés.
La valeur finale de celui établi dans le même secteur par la banque HSBC se situait quand à elle à 49.5 pour septembre, sa plus forte valeur en huit mois.
La finance était mi-figue, mi-raisin, le français BNP Paribas empochant 0.46% tandis que son compatriote Société Génrale laissait échapper 0.33%, la Deutsche Bank allemande grignotant par contre 0.2%.
Le pétrole était quand à lui en berne, le groupe espagnol Repsol plongeant de 1.75% et l'italien ENI SpA de 1.07%, tandis qu'en France, le sidérurgiste ArcelorMittal confirmait le manque de forme des valeurs liées aux produits bruts en dérapant de 1.36%.
A Londres, le FTSE 100 a avancé de 0.3%, encouragé par les bonnes performances des établissements financiers.
Barclays a bondi de 0.78%, et HSBC holdings de 0.87, la Royal Bank of Scotland et Lloyds Banking les laissant derrière avec 2.03 et 3.08%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton tâchaient de suivre avec 0.43 et 0.03%, de même que les cuivriers Xstrata et Kazakhmys avec 0.46 et 1.06%.
Parmi les autres bonnes nouvelles, British Sk Broadcasting a engrangé 3.42% après avoir enregistré 16% de bénéfices trimestriels supplémentaires, l'augmentation des tarifs et du nombre des produits proposés à ses clients éclipsant un recrutement de nouveaux abonnés sans éclat.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.13%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.22% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.07%.
L'agence de gestion des ressources humaines américaine ADP comptait de son côté diffuser en fin de journée une étude au sujet des emplois hors agriculture, tandis que le gouvernement rendra son décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, et l'institut de gestion des approvisionnements fera de même avec ses informations concernant l'activité manufacturière nationale.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.09%, le CAC 40 français de 0.09% aussi, et le DAX 30 allemand de 0.27%.
La circonspection restait à l'ordre du jour, sur fond d'incertitudes concernant l'éventuel appel au secours de Madrid, ainsi que l'attribution ou non de la prochaine tranche d'aides à Athènes.
Mais le soulagement avait été général après que des chiffres officiels aient montré que l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier de la Chine était remonté depuis 49.8 jusqu'à 50.2 pour octobre, soit à peine moins que les 50.3 escomptés.
La valeur finale de celui établi dans le même secteur par la banque HSBC se situait quand à elle à 49.5 pour septembre, sa plus forte valeur en huit mois.
La finance était mi-figue, mi-raisin, le français BNP Paribas empochant 0.46% tandis que son compatriote Société Génrale laissait échapper 0.33%, la Deutsche Bank allemande grignotant par contre 0.2%.
Le pétrole était quand à lui en berne, le groupe espagnol Repsol plongeant de 1.75% et l'italien ENI SpA de 1.07%, tandis qu'en France, le sidérurgiste ArcelorMittal confirmait le manque de forme des valeurs liées aux produits bruts en dérapant de 1.36%.
A Londres, le FTSE 100 a avancé de 0.3%, encouragé par les bonnes performances des établissements financiers.
Barclays a bondi de 0.78%, et HSBC holdings de 0.87, la Royal Bank of Scotland et Lloyds Banking les laissant derrière avec 2.03 et 3.08%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton tâchaient de suivre avec 0.43 et 0.03%, de même que les cuivriers Xstrata et Kazakhmys avec 0.46 et 1.06%.
Parmi les autres bonnes nouvelles, British Sk Broadcasting a engrangé 3.42% après avoir enregistré 16% de bénéfices trimestriels supplémentaires, l'augmentation des tarifs et du nombre des produits proposés à ses clients éclipsant un recrutement de nouveaux abonnés sans éclat.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.13%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.22% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.07%.
L'agence de gestion des ressources humaines américaine ADP comptait de son côté diffuser en fin de journée une étude au sujet des emplois hors agriculture, tandis que le gouvernement rendra son décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, et l'institut de gestion des approvisionnements fera de même avec ses informations concernant l'activité manufacturière nationale.