Investing.com - Les bourses européennes étaient plutôt moroses ce mecredi matin, surveillant avec inquiétude les performances du bloc euro après que les chiffres de la croissance de l'Allemagne et de la Frane aient alimenté l'inquiétude au sujet de la vigueur de son économie.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,18% et le CAC 40 français de 0,15%, mais le DAX 30 allemand arrachait 0,06%.
Les premières évaluations montraient en effet que le produit intérieur brut de l'Allemagne a moins augmenté au premier trimestre qu'espéré, frémissant de 0,1% après avoir sombré de 0,7% lors du précédent, alors que les experts pensaient le voir gonfler de 0,3%.
Il aurait du coup diminué de 1,7% d'une année sur l'autre, une déception par rapport au frémissement de 0,2% attendu, après avoir arraché 0,1% pour les trois derniers mois de l'année.
Il était aussi à noter que celui de la France s'était rétracté de 0,2% entre début janvier et fin mars, au lieu des 0,1% déjà redoutés à la suite des 0,2% subis auparavant.
La finance était sur la défensive, l'allemand Commerzbank s'effondrant de 16,59% après avoir dévoilé un plan d'émission d'actions à moins de 50% du prix actuel, les français BNP Paribas et Société Générale jugulant l'hémorragie à respectivement 0,93 et 0,57%.
Il en était de même à la périphérie, l'espagnol BBVA plongeant de 1,95%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit lui emboîtant le pas avec 0,14 et 0,34%.
Tout n'était cependant pas désespéré, le sidérurgiste germanique ThyssenKrupp raflant 4,04% après avoir dépassé, avec 241 millions d'euros, les estimations de ses revenus du second trimestre, subissant cependant des pertes nettes de 621 millions d'euros au premier semestre en raison de la dépréciation de sa branche américaine.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, laissait échapper 0,09%, tiré vers le bas par des exploitants en difficulté.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto s'enfonçaient de 0,55 et 1,10%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American suivant le même chemin avec 0,10%.
La City suivait quand à elle le chemin tracé sur le continent, Lloyds Banking se repliant de 0,10%, et Barclays de 0,11%, HSBC Holdings et la Royal Bank of Scotland se retrouvant en sueue de peloton avec 0,32 et 0,45%.
La troisième avait fait savoir lors de la présentation du plan visant à économiser 3 milliards d'USD de frais de son directeur général Stuart Gulliver qu'elle comptait supprimer jusqu'à 14.000 emplois.
Severn Trent s'écroulait de 1,25% dans le même temps après avoir rejeté l'offre formulée par un fonds d'investissement souverain koweïtien et un spécialiste canadien des services collectifs l'évaluant à près de 5 milliards de GBP.
Les perspectives des marchés américains semblaient peu enthousisastes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,01%, celles sur le S&P 500 tablant sur un faux pas de 0,08% et celles sur le Nasdaq 100 laissant espéré un frémissement de 0,02%.
La zone euro fera quand à elle connaître en fin de matinée l'estimation préliminaire de son produit intérieur brut, et les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec leur inflation des prix d'usine, leur production industrielle, le taux d'utilisation des capacités et un rapport sur l'activité du secteur secondaire de la région de New York.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,18% et le CAC 40 français de 0,15%, mais le DAX 30 allemand arrachait 0,06%.
Les premières évaluations montraient en effet que le produit intérieur brut de l'Allemagne a moins augmenté au premier trimestre qu'espéré, frémissant de 0,1% après avoir sombré de 0,7% lors du précédent, alors que les experts pensaient le voir gonfler de 0,3%.
Il aurait du coup diminué de 1,7% d'une année sur l'autre, une déception par rapport au frémissement de 0,2% attendu, après avoir arraché 0,1% pour les trois derniers mois de l'année.
Il était aussi à noter que celui de la France s'était rétracté de 0,2% entre début janvier et fin mars, au lieu des 0,1% déjà redoutés à la suite des 0,2% subis auparavant.
La finance était sur la défensive, l'allemand Commerzbank s'effondrant de 16,59% après avoir dévoilé un plan d'émission d'actions à moins de 50% du prix actuel, les français BNP Paribas et Société Générale jugulant l'hémorragie à respectivement 0,93 et 0,57%.
Il en était de même à la périphérie, l'espagnol BBVA plongeant de 1,95%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit lui emboîtant le pas avec 0,14 et 0,34%.
Tout n'était cependant pas désespéré, le sidérurgiste germanique ThyssenKrupp raflant 4,04% après avoir dépassé, avec 241 millions d'euros, les estimations de ses revenus du second trimestre, subissant cependant des pertes nettes de 621 millions d'euros au premier semestre en raison de la dépréciation de sa branche américaine.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, laissait échapper 0,09%, tiré vers le bas par des exploitants en difficulté.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto s'enfonçaient de 0,55 et 1,10%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American suivant le même chemin avec 0,10%.
La City suivait quand à elle le chemin tracé sur le continent, Lloyds Banking se repliant de 0,10%, et Barclays de 0,11%, HSBC Holdings et la Royal Bank of Scotland se retrouvant en sueue de peloton avec 0,32 et 0,45%.
La troisième avait fait savoir lors de la présentation du plan visant à économiser 3 milliards d'USD de frais de son directeur général Stuart Gulliver qu'elle comptait supprimer jusqu'à 14.000 emplois.
Severn Trent s'écroulait de 1,25% dans le même temps après avoir rejeté l'offre formulée par un fonds d'investissement souverain koweïtien et un spécialiste canadien des services collectifs l'évaluant à près de 5 milliards de GBP.
Les perspectives des marchés américains semblaient peu enthousisastes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,01%, celles sur le S&P 500 tablant sur un faux pas de 0,08% et celles sur le Nasdaq 100 laissant espéré un frémissement de 0,02%.
La zone euro fera quand à elle connaître en fin de matinée l'estimation préliminaire de son produit intérieur brut, et les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec leur inflation des prix d'usine, leur production industrielle, le taux d'utilisation des capacités et un rapport sur l'activité du secteur secondaire de la région de New York.