Investing.com - Les bourses européennes étaient plutôt pessimistes ce mercredi matin, la prudence restant de mise dans l'expectative de la publication du compte-rendu de la plus récente réunion de la banque centrale des Etats-Unis, sur fond d'incertitudes sur le moment où elle diminuera l'ampleur de ses coups de pouce.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,04%, mais le CAC 40 français arrachait 0,22%, et le DAX 30 allemand trébuchait de 0,11%.
Les observateurs guettaient en effet pour demain la publication du compte-rendu de la plus récente réunion de la Réserve Fédérale, en quête d'indices sur le moment où elle réduira la voilure de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
Les rumeurs évoquant une telle éventualité dès septembre avaient nettement enflé la semaine passée, après que le nombre des nouvelles inscriptions au chômage américain aient plongé à leur plus bas niveau en près de six ans.
Son président Ben Bernanke avait ainsi déclaré que cette hypothèse pourrait se matérialiser en fonction des performances de l'économie.
La finance était partagée, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 1,09%, alors que les français BNP Paribas et Société Générale empochaient respectivement 0,83 et 1,34%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA dérapant de 0,18 et 0,23%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit encaissant au contraire 0,66 et 1,21%.
Heineken, troisième brasseur au monde, coulait de 3,51%, blâmant le mauvais temps printanier subi par l'Europe pour le coup de frein que devraient subir ses revenus annuels.
Son concurrent Carlsberg lui emboîtait le pas de 1,08%, suite à des bénéfices inférieurs aux espérances pour le second trimestre, et à la révision vers le bas de ses projections annuelles concernant le marché russe.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,36%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin zigzaguant tracé par leurs homologues continentaux.
HSBC Holdings glisait ainsi de 2,58%, Barclays de 0,38% et la Royal Bank of Scotland de 0,16%, tandis que Lloyds Banking émergeait toutefois de 1,30%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également majoritairement souffert, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant respectivement de 1,62 et 2,32%, leur concurrent Glencore Xstrata raflant par contre 1,74%.
Les perspectives des marchés américains partageaient le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,11%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,14% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,15%.
Les acteurs de l'immobilier des Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le volume des ventes de logements neufs.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,04%, mais le CAC 40 français arrachait 0,22%, et le DAX 30 allemand trébuchait de 0,11%.
Les observateurs guettaient en effet pour demain la publication du compte-rendu de la plus récente réunion de la Réserve Fédérale, en quête d'indices sur le moment où elle réduira la voilure de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
Les rumeurs évoquant une telle éventualité dès septembre avaient nettement enflé la semaine passée, après que le nombre des nouvelles inscriptions au chômage américain aient plongé à leur plus bas niveau en près de six ans.
Son président Ben Bernanke avait ainsi déclaré que cette hypothèse pourrait se matérialiser en fonction des performances de l'économie.
La finance était partagée, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 1,09%, alors que les français BNP Paribas et Société Générale empochaient respectivement 0,83 et 1,34%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA dérapant de 0,18 et 0,23%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit encaissant au contraire 0,66 et 1,21%.
Heineken, troisième brasseur au monde, coulait de 3,51%, blâmant le mauvais temps printanier subi par l'Europe pour le coup de frein que devraient subir ses revenus annuels.
Son concurrent Carlsberg lui emboîtait le pas de 1,08%, suite à des bénéfices inférieurs aux espérances pour le second trimestre, et à la révision vers le bas de ses projections annuelles concernant le marché russe.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,36%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin zigzaguant tracé par leurs homologues continentaux.
HSBC Holdings glisait ainsi de 2,58%, Barclays de 0,38% et la Royal Bank of Scotland de 0,16%, tandis que Lloyds Banking émergeait toutefois de 1,30%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également majoritairement souffert, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant respectivement de 1,62 et 2,32%, leur concurrent Glencore Xstrata raflant par contre 1,74%.
Les perspectives des marchés américains partageaient le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,11%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,14% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,15%.
Les acteurs de l'immobilier des Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le volume des ventes de logements neufs.