Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce mardi matin, dans l'expectative des résultats allemands, sur fond de rumeurs sur les orientations futures de la banque centrale des Etats-Unis.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,54%, le CAC 40 français de 0,40%, et le DAX 30 allemand de 0,89%.
Les cours du monde entier ont plongé hier, en raison de l'idée selon laquelle un volume important des ventes au détail des Etats-Unis qui seront dévoilées aujourd'hui pourraient confirmer les rumeurs persistantes d'une fermeture imminente des robinets de la Réserve Fédérale.
Les Etats-Unis comptaient aussi faire connaître en cours de semaine une série de statistiques portant notamment sur l'inflation, la production industrielle, les lancements de chantiers et la confiance de leurs consommateurs.
La finance était mitigée, la Deutsche Bank allemande empochant 0,34%, alors que les français BNP Paribas et Société Générale laissaient respectivement échapper 0,17 et 1,80%.
La périphérie était plus unanime, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,19 et 0,28%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,74 et 0,85%.
A Franctfort, le fournisseur d'électricité E.ON bondissait de 4,09% après avoir revendiqué des profits nets courants de 1,91 milliards d'euros pour le premier semestre, au lieu des 1,79 milliards anticipés.
Le fabricant danois de bracelets et bijoux fantaisie Pandora enregistrait de son côté des rentrées supérieures aux espérances pour le second trimestre, grâce au développement de nouveaux produits.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, conquérait 0,52%, tiré vers le haut par des exploitants qui avaient le sourire.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto bondissaient de 0,55 et 2,34%, leurs rivaux Evraz et Fresnillo n'étant pas en reste avec 2,35 et 5,53%.
La City suivait quand à elle majoritairement le chemin tracé sur le continent, Barclays frémissant de 0,08%, la Royal Bank of Scotland de 0,55% et HSBC Holdings 0,87%, tandis que Lloyds Banking décevait avec un faux pas de 0,38%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,29%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,26% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,36%.
Le centre de recherches économiques ZEW s'apprêtait pour sa part à rendre incessamment une étude sur l'humeur économique allemande.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,54%, le CAC 40 français de 0,40%, et le DAX 30 allemand de 0,89%.
Les cours du monde entier ont plongé hier, en raison de l'idée selon laquelle un volume important des ventes au détail des Etats-Unis qui seront dévoilées aujourd'hui pourraient confirmer les rumeurs persistantes d'une fermeture imminente des robinets de la Réserve Fédérale.
Les Etats-Unis comptaient aussi faire connaître en cours de semaine une série de statistiques portant notamment sur l'inflation, la production industrielle, les lancements de chantiers et la confiance de leurs consommateurs.
La finance était mitigée, la Deutsche Bank allemande empochant 0,34%, alors que les français BNP Paribas et Société Générale laissaient respectivement échapper 0,17 et 1,80%.
La périphérie était plus unanime, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,19 et 0,28%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,74 et 0,85%.
A Franctfort, le fournisseur d'électricité E.ON bondissait de 4,09% après avoir revendiqué des profits nets courants de 1,91 milliards d'euros pour le premier semestre, au lieu des 1,79 milliards anticipés.
Le fabricant danois de bracelets et bijoux fantaisie Pandora enregistrait de son côté des rentrées supérieures aux espérances pour le second trimestre, grâce au développement de nouveaux produits.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, conquérait 0,52%, tiré vers le haut par des exploitants qui avaient le sourire.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto bondissaient de 0,55 et 2,34%, leurs rivaux Evraz et Fresnillo n'étant pas en reste avec 2,35 et 5,53%.
La City suivait quand à elle majoritairement le chemin tracé sur le continent, Barclays frémissant de 0,08%, la Royal Bank of Scotland de 0,55% et HSBC Holdings 0,87%, tandis que Lloyds Banking décevait avec un faux pas de 0,38%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,29%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,26% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,36%.
Le centre de recherches économiques ZEW s'apprêtait pour sa part à rendre incessamment une étude sur l'humeur économique allemande.