Investing.com - Les bourses européennes étaient sur la défensive ce mercredi matin, la nervosité étant palpable dans l'expectative d'informations à propos du marché de l'emploi des Etats-Unis, sur fond de rumeurs concernant leur banque centrale.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,26%, le CAC 40 français de 0,38%, et le DAX 30 allemand de 0,26%.
Le rapport de l'agence de gestion des ressources humaines ADP sur l'emploi privé aux Etats-Unis faisait en effet des gorges chaudes, devant donner des indices sur l'étude officielle qui sera publiée vendredi à ce sujet.
Il avait été montré lundi que l'activité du secteur manufacturier des Etats-Unis avait subi en mai sa première rétraction en six mois, constituant une contre-performance qui est venue étouffer les bruits selon lesquels la Réserve Fédérale compterait réduire dès cette année l'ampleur de ses apports mensuels de capitaux.
La finance était mitigée, la Deutsche Bank allemande se repliant de 0,44%, suivie du français BNP Paribas avec 0,24%, alors que son compatriote Société Générale dérapait de 0,32%.
La périphérie était plus unanimement positive, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant respectivement 0,72 et 0,55%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,07 et 0,75%.
Les supermarchés français Carrefour dégringolaient par contre de 3,75% après qu'il ait été affirmé qu'ils comptaient s'associer à la centrale de distribution CFAO, basée en Afrique, afin de renforcer sa présence sur le continent.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, glissait quand à lui de 0,52%, tiré vers le bas par des exploitants en berne.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto s'enfonçaient de 0,75 et 0,01%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American partageant le même sort avec 1,14%.
La City prtageait ce pessimisme, Barclays laissant échapper 0,01%, et Lloyds Banking 0,10%, la Royal Bank of Scotland et HSBC Holdings en lanternes rouges avec 0,19 et 1,09%.
Tesco Plc, premier revendeur britannique, fondait de 2,73% suite à l'aveu de chiffres d'affaires par magasin inférieurs aux estimations.
Le gestionnaire de fortune Man Group Plc s'effondrait de 7,38% après avoir déploré une rérosion de son fonds principal.
Les perspectives des marchés américains partageaient modérément le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,05%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,11% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,05%.
Le groupe de recherches économiques Markit avait auparavant fait savoir que son baromètre de l'activité tertiaire espagnole avait avancé depuis 44,4 vers 47,3 pour mai, surpassant ainsi les 45,0 envisagés.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,26%, le CAC 40 français de 0,38%, et le DAX 30 allemand de 0,26%.
Le rapport de l'agence de gestion des ressources humaines ADP sur l'emploi privé aux Etats-Unis faisait en effet des gorges chaudes, devant donner des indices sur l'étude officielle qui sera publiée vendredi à ce sujet.
Il avait été montré lundi que l'activité du secteur manufacturier des Etats-Unis avait subi en mai sa première rétraction en six mois, constituant une contre-performance qui est venue étouffer les bruits selon lesquels la Réserve Fédérale compterait réduire dès cette année l'ampleur de ses apports mensuels de capitaux.
La finance était mitigée, la Deutsche Bank allemande se repliant de 0,44%, suivie du français BNP Paribas avec 0,24%, alors que son compatriote Société Générale dérapait de 0,32%.
La périphérie était plus unanimement positive, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant respectivement 0,72 et 0,55%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,07 et 0,75%.
Les supermarchés français Carrefour dégringolaient par contre de 3,75% après qu'il ait été affirmé qu'ils comptaient s'associer à la centrale de distribution CFAO, basée en Afrique, afin de renforcer sa présence sur le continent.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, glissait quand à lui de 0,52%, tiré vers le bas par des exploitants en berne.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto s'enfonçaient de 0,75 et 0,01%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American partageant le même sort avec 1,14%.
La City prtageait ce pessimisme, Barclays laissant échapper 0,01%, et Lloyds Banking 0,10%, la Royal Bank of Scotland et HSBC Holdings en lanternes rouges avec 0,19 et 1,09%.
Tesco Plc, premier revendeur britannique, fondait de 2,73% suite à l'aveu de chiffres d'affaires par magasin inférieurs aux estimations.
Le gestionnaire de fortune Man Group Plc s'effondrait de 7,38% après avoir déploré une rérosion de son fonds principal.
Les perspectives des marchés américains partageaient modérément le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,05%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,11% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,05%.
Le groupe de recherches économiques Markit avait auparavant fait savoir que son baromètre de l'activité tertiaire espagnole avait avancé depuis 44,4 vers 47,3 pour mai, surpassant ainsi les 45,0 envisagés.