Investing.com - Les bourses européennes étaient mitigées lors des transactions sans direction claire de ce mardi, tirées vers le bas par les pertes de la finance, tandis que tous les yeux se trouvaient tournés vers la réunino de la Banque Centrale Européenne de cette semaine, sur fond de rumeurs de nouveaux accomodements.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.01%, et le CAC 40 français de 0.18%, tandis que le DAX 30 allemand arrachait 0.31%.
La réunion d'orientation de la BCE prévue jeudi était sur toutes les lèvres, après que Mario Draghi, son président, se soit engagé la semaine passée à protéger le bloc euro de l'implosion par tous les moyens nécessaires.
Ces propos ont ravivé l'espoir qu'elle pourrait bientôt réactiver son programme d'achats de bons du trésor, afin d'aider à diminuer les coûts des emprunts espagnols et italiens, mais la prudence restait toutefois de mise, la possibilité d'une déception restant présente dans tous les esprits.
Les conclusions de la réunion de la Réserve Fédérale débutant demain sont elles aussi très attendues, sur fond de rumeurs selon lesquelles elle pourrait laisser entrevoir les présages d'une série d'injections de liquidités supplémentaires.
Les valeurs financières étaient largement en berne, les français BNP Paribas et Société Générale plongeant respectivement de 1.92 et 1.55%, tandis que la Deutsche Bank allemande suivait le mouvement de 1.73% après avoir avoué une dégringolade de 46% de ses revenus pour le second trimestre, en raison des effets de la crise de la dette de la zone euro sur les activités des banques d'affaires.
L'UBS suisse n'était pas en reste avec une hémorrhagie de 5.22%, ses bénéfices nets ayant sombré depuis 1 milliard vers 425 millions de CHF, les recettes provenant de ses transactions, de ses commissions et des frais prélevés à ses clients ayant nettement fondu.
Le sous-traitant aérospatial Safran a pour sa part limité les dégâts à 0.67%, ayant enregistré une envolée de 30% de ses profits nets pour le premier semestre 2012, grâce à ses acquisitions et à l'augmentation de ses livraisons de moteurs à réaction civils.
Il a confirmé ses prévisions de résultats annuels, revoyant à peine à la hausse ses perspectives de rentrées.
A Londres, le FTSE 100 a laissé échapper 0.1%, après qu'il ait été montré que la confiance des consommateurs britanniques avait diminué en juillet.
Vedanta Resources n'était cependant pas à plaindre, en tête des avancées avec 1.59%, ses rivaux miniers BHP Billiton et Rio Tinto se contentant de 0.56 et 0.54%.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, n'était pas en reste avec 0.65%, tandis que BP dérapait de 3.31% en rison de ses pertes du second trimestre, découlant de la dévaluation de ses actifs américains et du recul de sa production.
Parmi les autres bonnes nouvelles, Vodafone a pris 1.02%, après qu'il ait été rapporté que l'opérateur téléphonique avait caractérisé sa prise de contrôle à 1.04 milliards de GBP de Cable & Wireless Worldwide en mettant son directeur général Gavin Darby à la porte pour la seconde fois.
La City a suivi le chemin tracé par ses homologues continentaux.
Barclays a glissé de 2.27%, et la Royal Bank of Scotland de 1.19%, HSBC Holdings et Lloyds Banking sauvant les meubles avec seulement 0.65 et 0.03%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.25%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.19% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.31%.
Des informations de sources officielle avaient montré ce matin que les ventes au détail allemandes avaient subi un recul inattendu de 0.1% en juin, prolongeant les 0.3% précédents, tandis que les dépenses des consommateurs français augmentaient de 0.1% dans le même temps, alors que 0.2% étaient espérés.
Le taux de chômage germanique est par contre resté stable sans surprise à 6.8% pour la période considérée.
La zone euro révèlera aujourd'hui ses résultats préliminaires portant sur son évolution des prix à la consommation.
Les Etats-Unis achèveront la journée avec des informations sur les variations des coûts des logements, la confiance des particuliers établi par des experts, ainsi que l'activité manufacturière dans la région de Chicago.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.01%, et le CAC 40 français de 0.18%, tandis que le DAX 30 allemand arrachait 0.31%.
La réunion d'orientation de la BCE prévue jeudi était sur toutes les lèvres, après que Mario Draghi, son président, se soit engagé la semaine passée à protéger le bloc euro de l'implosion par tous les moyens nécessaires.
Ces propos ont ravivé l'espoir qu'elle pourrait bientôt réactiver son programme d'achats de bons du trésor, afin d'aider à diminuer les coûts des emprunts espagnols et italiens, mais la prudence restait toutefois de mise, la possibilité d'une déception restant présente dans tous les esprits.
Les conclusions de la réunion de la Réserve Fédérale débutant demain sont elles aussi très attendues, sur fond de rumeurs selon lesquelles elle pourrait laisser entrevoir les présages d'une série d'injections de liquidités supplémentaires.
Les valeurs financières étaient largement en berne, les français BNP Paribas et Société Générale plongeant respectivement de 1.92 et 1.55%, tandis que la Deutsche Bank allemande suivait le mouvement de 1.73% après avoir avoué une dégringolade de 46% de ses revenus pour le second trimestre, en raison des effets de la crise de la dette de la zone euro sur les activités des banques d'affaires.
L'UBS suisse n'était pas en reste avec une hémorrhagie de 5.22%, ses bénéfices nets ayant sombré depuis 1 milliard vers 425 millions de CHF, les recettes provenant de ses transactions, de ses commissions et des frais prélevés à ses clients ayant nettement fondu.
Le sous-traitant aérospatial Safran a pour sa part limité les dégâts à 0.67%, ayant enregistré une envolée de 30% de ses profits nets pour le premier semestre 2012, grâce à ses acquisitions et à l'augmentation de ses livraisons de moteurs à réaction civils.
Il a confirmé ses prévisions de résultats annuels, revoyant à peine à la hausse ses perspectives de rentrées.
A Londres, le FTSE 100 a laissé échapper 0.1%, après qu'il ait été montré que la confiance des consommateurs britanniques avait diminué en juillet.
Vedanta Resources n'était cependant pas à plaindre, en tête des avancées avec 1.59%, ses rivaux miniers BHP Billiton et Rio Tinto se contentant de 0.56 et 0.54%.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, n'était pas en reste avec 0.65%, tandis que BP dérapait de 3.31% en rison de ses pertes du second trimestre, découlant de la dévaluation de ses actifs américains et du recul de sa production.
Parmi les autres bonnes nouvelles, Vodafone a pris 1.02%, après qu'il ait été rapporté que l'opérateur téléphonique avait caractérisé sa prise de contrôle à 1.04 milliards de GBP de Cable & Wireless Worldwide en mettant son directeur général Gavin Darby à la porte pour la seconde fois.
La City a suivi le chemin tracé par ses homologues continentaux.
Barclays a glissé de 2.27%, et la Royal Bank of Scotland de 1.19%, HSBC Holdings et Lloyds Banking sauvant les meubles avec seulement 0.65 et 0.03%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.25%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.19% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.31%.
Des informations de sources officielle avaient montré ce matin que les ventes au détail allemandes avaient subi un recul inattendu de 0.1% en juin, prolongeant les 0.3% précédents, tandis que les dépenses des consommateurs français augmentaient de 0.1% dans le même temps, alors que 0.2% étaient espérés.
Le taux de chômage germanique est par contre resté stable sans surprise à 6.8% pour la période considérée.
La zone euro révèlera aujourd'hui ses résultats préliminaires portant sur son évolution des prix à la consommation.
Les Etats-Unis achèveront la journée avec des informations sur les variations des coûts des logements, la confiance des particuliers établi par des experts, ainsi que l'activité manufacturière dans la région de Chicago.