Investing.com - Les bourses européennes faisaient preuve d'un optimisme mitigé ce vendredi, après que l'humeur des ménages de l'Allemagne ait montré des signaux positifs, dans l'expectative de celle des entreprises nationales.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,14%, le CAC 40 français de 0,34%, et le DAX 30 allemand de 0,05%.
Le groupe de recherches économiques Gfk a en effet montré que son baromètre du moral des particuliers de l'Allemagne avait fait la bonne surprise de remonter en mai, frémissant depuis les 6,2 précédent vers 6,5, alors qu'une stagnation semblait probable.
Le billet vert gardait toutefois des couleurs deux jours après l'évocation par le chef de la banque centrale des Etats-Unis de la possibilité d'une diminution de ses apports de capitaux.
Lors de son témoignage de mercredi devant le comité économique conjoint, Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a ainsi semé la confusion en rappelant qu'une réduction de la voilure de son programme d'achats "dès les prochaines prises de cap" en cas de poursuite de l'amélioration des résultats économiques était possible.
La finance restait aux abris, la Deutsche Bank allemande sombrant de 1,64%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,36 et 0,13%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA laissant échapper 0,37 et 0,42%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit nageant cependant à contre-courant avec des sursauts de 0,86 et 0,48%.
Les laboratoires pharmaceutiques danois Novo Nordisk empochaient aussi 0,84% après avoir déclaré que son traitement au liraglutide avait permis à des patients obèses mais non diabétiques de perdre 8% de leur poids, contre seulement 2,6% avec un placebo.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, trébuchait de 0,06%, tiré vers le bas par des exploitants et des extracteurs en difficulté.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto s'enfonçaient de 0,71 et 0,49%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American partageant le même sort avec 0,02%.
La City suivait majoritairement le chemin tracé sur le continent, Lloyds Banking reculant de 0,08%, la Royal Bank of Scotland de 0,12% et HSBC Holdings de 0,88%, tandis que Barclays défiait la tendance en arrachant 0,35%.
Les perspectives des marchés américains étaient pour leur plutôt prudentes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,07%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,17% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,13%.
L'institut Ifo pour la recherche sur l'économie comptait pour sa part diffuser aujourd'hui son indice crucial de la confiance dans les affaires germaniques, après quoi les Etats-Unis concluront de leur côté la semaine avec le volume des commandes de biens durables.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,14%, le CAC 40 français de 0,34%, et le DAX 30 allemand de 0,05%.
Le groupe de recherches économiques Gfk a en effet montré que son baromètre du moral des particuliers de l'Allemagne avait fait la bonne surprise de remonter en mai, frémissant depuis les 6,2 précédent vers 6,5, alors qu'une stagnation semblait probable.
Le billet vert gardait toutefois des couleurs deux jours après l'évocation par le chef de la banque centrale des Etats-Unis de la possibilité d'une diminution de ses apports de capitaux.
Lors de son témoignage de mercredi devant le comité économique conjoint, Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a ainsi semé la confusion en rappelant qu'une réduction de la voilure de son programme d'achats "dès les prochaines prises de cap" en cas de poursuite de l'amélioration des résultats économiques était possible.
La finance restait aux abris, la Deutsche Bank allemande sombrant de 1,64%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,36 et 0,13%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA laissant échapper 0,37 et 0,42%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit nageant cependant à contre-courant avec des sursauts de 0,86 et 0,48%.
Les laboratoires pharmaceutiques danois Novo Nordisk empochaient aussi 0,84% après avoir déclaré que son traitement au liraglutide avait permis à des patients obèses mais non diabétiques de perdre 8% de leur poids, contre seulement 2,6% avec un placebo.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, trébuchait de 0,06%, tiré vers le bas par des exploitants et des extracteurs en difficulté.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto s'enfonçaient de 0,71 et 0,49%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American partageant le même sort avec 0,02%.
La City suivait majoritairement le chemin tracé sur le continent, Lloyds Banking reculant de 0,08%, la Royal Bank of Scotland de 0,12% et HSBC Holdings de 0,88%, tandis que Barclays défiait la tendance en arrachant 0,35%.
Les perspectives des marchés américains étaient pour leur plutôt prudentes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,07%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,17% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,13%.
L'institut Ifo pour la recherche sur l'économie comptait pour sa part diffuser aujourd'hui son indice crucial de la confiance dans les affaires germaniques, après quoi les Etats-Unis concluront de leur côté la semaine avec le volume des commandes de biens durables.