Investing.com - Les bourses européennes étaient mitigées ce mercredi, sur fond de craintes persistantes découlant de la situation grecque et de peur d'un probable retour en récession de la zone euro.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.08%, le CAC 40 français de 0.31%, mais le DAX 30 allemand a trébuché de 0.02%.
L'angoisse d'un défaut de paiement grec restait palpable à l'approche de la date limite du 8 mars pour l'acceptation ou non par les créanciers privés du plan d'échange d'obligations à hauteur de 106 milliards d'euros, condition indispensable à l'accès d'Athènes aux 130 milliards d'euros de fonds de secours.
La peur d'un recul de l'économie dans la région pesait aussi sur le moral après qu'il ait été montré le même jour que l'économie du bloc euro avait reculé de 0.3% sur les trois derniers mois de l'année 2011, les dépenses des ménages, les exportations et les importations se trouvant en berne.
La finance ne savait pas trop sur quel pied danser, les prêteurs de France BNP Paribas et Société Générale glissant respectivement de 0.2 et 0.69%, tandis que leur collègue allemande qu'est la Deutsche Bank arrachait 0.06%.
La Société Générale, seconde banque française, Assicurazioni Generali et UniCredit avaient auparavant rejoint les détenteurs d'obligations hellènes acceptant de participer à l'opération de substitution.
Adidas, second fabricant mondial d'articles de sport, a pour sa part plongé de 2.75% après avoir avoué la révision de ses objectifs de bénéfices nets pour 2012 de 770 vers 736 millions d'euros, soit nettement moins que les estimations précédentes.
A Londres, le FTSE 100 a grimpé de 0.06%, malgré le recul du secteur financier.
La Royal Bank of Scotland a dégringolé de 1.99%, Barclays de 1.81%, Lloyds Banking et HSBC Holdings limitant les dégâts à 1.74 et 0.19%.
HSBC avait auparavant accepté de vendre certaines de ses branches d'assurances généralistes en Asie et en Amérique Latine pour environ 914 millions d'USD.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ont quand à eux engrangé 0.52 et 0.53%, le cuivrier Xstrata dérapant de 0.67%.
La compagnie d'électricité Drax Group Plc a pour sa part bondi de 2.81% après que sa notation par l'UBS AG ait été passée de "neutre" à "à acheter".
Les perspectives des marchés américains étaient pour leur part optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.28%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.35% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.29%.
L'Allemagne dévoilera aujourd'hui le volume officiel des commandes aux usines, et les Etats-Unis ne seront pas en reste avec le rapport de l'agence de gestion des ressources humaines ADP sur la masse salariale hors agriculture, précédant de deux jours celui du gouvernement.
Ils révèleront ensuite ses résultats révisés de la productivité non-agricole, et les coûts de la main-d'oeuvre, ainsi que l'inventaire des réserves nationales de pétrole brut.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.08%, le CAC 40 français de 0.31%, mais le DAX 30 allemand a trébuché de 0.02%.
L'angoisse d'un défaut de paiement grec restait palpable à l'approche de la date limite du 8 mars pour l'acceptation ou non par les créanciers privés du plan d'échange d'obligations à hauteur de 106 milliards d'euros, condition indispensable à l'accès d'Athènes aux 130 milliards d'euros de fonds de secours.
La peur d'un recul de l'économie dans la région pesait aussi sur le moral après qu'il ait été montré le même jour que l'économie du bloc euro avait reculé de 0.3% sur les trois derniers mois de l'année 2011, les dépenses des ménages, les exportations et les importations se trouvant en berne.
La finance ne savait pas trop sur quel pied danser, les prêteurs de France BNP Paribas et Société Générale glissant respectivement de 0.2 et 0.69%, tandis que leur collègue allemande qu'est la Deutsche Bank arrachait 0.06%.
La Société Générale, seconde banque française, Assicurazioni Generali et UniCredit avaient auparavant rejoint les détenteurs d'obligations hellènes acceptant de participer à l'opération de substitution.
Adidas, second fabricant mondial d'articles de sport, a pour sa part plongé de 2.75% après avoir avoué la révision de ses objectifs de bénéfices nets pour 2012 de 770 vers 736 millions d'euros, soit nettement moins que les estimations précédentes.
A Londres, le FTSE 100 a grimpé de 0.06%, malgré le recul du secteur financier.
La Royal Bank of Scotland a dégringolé de 1.99%, Barclays de 1.81%, Lloyds Banking et HSBC Holdings limitant les dégâts à 1.74 et 0.19%.
HSBC avait auparavant accepté de vendre certaines de ses branches d'assurances généralistes en Asie et en Amérique Latine pour environ 914 millions d'USD.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ont quand à eux engrangé 0.52 et 0.53%, le cuivrier Xstrata dérapant de 0.67%.
La compagnie d'électricité Drax Group Plc a pour sa part bondi de 2.81% après que sa notation par l'UBS AG ait été passée de "neutre" à "à acheter".
Les perspectives des marchés américains étaient pour leur part optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.28%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.35% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.29%.
L'Allemagne dévoilera aujourd'hui le volume officiel des commandes aux usines, et les Etats-Unis ne seront pas en reste avec le rapport de l'agence de gestion des ressources humaines ADP sur la masse salariale hors agriculture, précédant de deux jours celui du gouvernement.
Ils révèleront ensuite ses résultats révisés de la productivité non-agricole, et les coûts de la main-d'oeuvre, ainsi que l'inventaire des réserves nationales de pétrole brut.